Allemagne : le poids des intérêts acquis...
5 Juin 2014 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie
En matière d'énergie, il est clair que le renouvelable taille des croupières à toutes les autres formes de production d'électricité en Allemagne.
La fin du nucléaire est finalement, un "sacrifice utile", pour ne pas déstabiliser trop le gaz-pétrole, et surtout le charbon, largement utilisé.
Mais les deux sources fossiles, souffrent aussi de l'arrivée du nouveau venu auquel il faut faire une place, et souffre non pas de ses subventions, mais parce qu'il est là, et qu'il les empêche de faire du business en rond.
On imagine, d'ailleurs, la crise de la production d'électricité par les énergies fossiles, si le nucléaire n'avait pas été en partie arrêté, et sa fermeture rapide vise surtout à ne pas déstabiliser des acteurs économiques importants.
Il y a toujours deux raisons dans une décision, celle clamée, et la vraie. Le gouvernement allemand a crevé une digue, réservant la catastrophe a un endroit, à un secteur, pour ne pas trop malmener le reste. C'est, globalement, un secteur vital, mais qui risquait l'effondrement économique. Comme EDF en France.
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