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La date de l'apocalypse financière...

19 Août 2015 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

est finalement très simple à trouver. Les petites choses, dans la vie courante nous l'indique, sauf bien sûr, à toutes les excellences qui sont déconnectés.

Comme je l'ai déjà dit, il y a quelques temps, je n'avais aucun problème de pub, dans ma boîte aux lettres. Puis, celle-ci ressembla à une boîte aux lettres urbaine.

Puis, cette été, quelque chose de nouveau. Les remises pantagruéliques des supermarchés. Et sur les marques.
Rien n'indique mieux, en effet, la crise, que les remises des enseignes. Même la célèbre firme de boisson d'Atlanta s'y vautre dedans.

Pour tout ce qui est stockable, c'est encore pire. Alors, quand les grands de la finance s'y mettent, il ne font que me conforter. L'économie réelle, celle des gens de tous les jours, il y a longtemps qu'elle est en coma dépassé.

Qu'on t'ils fait depuis 2007 ? Substitué de la dette publique à de la dette privée, en essayant de la réanimer. Mais le chômeur et le précaire, ça s'endette mal. Surtout si le paquebot de l'immobilier fait défaut. Le taux de chômage US est officiellement à 5 %, en réalité il est à 25.

Et le tout à l'avenant. Il est normal, donc, que la continuation de la politique actuelle, libre échangisme, immigration, dette, finisse dans le mur.

Piller l'économie réelle pour les besoins d'une minorité de 1 % de la population, ça se finit un jour, comme en Argentine. Il n'y avait plus rien à piller.

Et ce que l'on peut piller, suppose que ce soit utilisable. Quel intérêt, en effet d'acheter un aéroport qui ne voit jamais un avion, ou une autoroute qui ne voit jamais une voiture.

Il y a longtemps, le stratège britannique Basil Liddel Hart disait que le sort de l'URSS en 1941 aurait été aussi vite plié que le sort de la Belgique et de la France, si elle avait eu le même réseau routier. En effet. Mais les soviets, habiles stratèges eux aussi, n'avaient pas jugé utile d'en constituer un, il n'y avait qu'une industrie automobile que très embryonnaire, dont les produits servaient aux réseaux urbains... Ils ont préféré, longtemps, s'en tenir aux voies de chemins de fer...

Donc, la route n'avait aucune valeur, et n'avait aucune raison d'être construite.

La croissance chinoise, réelle, comme la croissance américaine, étaient sans doute surestimée de 4 %. Ce qui donnait largement, une "croissance négative", pour les USA, depuis 25 ans, et pour la Chine, un poids bien plus modeste. Surtout si 50 % du PIB, ce sont des investissements, et 25 %, des exportations.

Il reste que l'imbrication des économies réelles, rend l'effondrement chinois particulièrement ravageur en Asie. Parce qu'en réalité, on peut sans doute parler d'effondrement. Et la position chinoise, prospérité contre dictature politique, est la même qu'en occident. La démocratie n'y est pas plus réelle.

Le pib occidental étant largement bidon, constitué, à 20 % de "services financiers", à 25 % d'immobilier, et à 25 % de marges de commerce, on voit aussi que ce sont ces trois mamelles qui sont malades.

Le nominal, donc, peut largement s'effondrer. L'immobilier, et les loyers sont susceptibles d'être avalés par un trou noir, le service financier peut lui aussi être avalé par le même trou noir, et les marges commerciales anéanties vite fait...

De toute façon, un élastique trop étiré finit toujours par claquer...

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V
"les grands de la finance" avec un lien vers un papier du Touati...là il y a comme qui dirait quelque chose de comique !
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P
"Les marchés sont en train de se rendre compte qu'il n'y a pas du tout de reprise économique", estime l'économiste Herlin Philippe dans une interview pour Sputnik. Selon l'expert, les pays émergeants, "le seul espoir qui demeurait", ont commencé à "tomber comme des dominos", et les chiffres économiques donnés par les gouvernements ne sont pas réalistes.<br /> <br /> "On est tous dans le même panier avec la mondialisation. Si un pays important comme la Chine ralentit, il y a des répercussions. Ce n'est pas en se retranchant derrière nos frontières qu'on va résoudre les problèmes", a ajouté l'économiste.<br /> <br /> http://fr.sputniknews.com/economie/20150824/1017756282.html<br /> <br /> Dingue ;-) Il n'y aurait pas de reprise... Mais ne vous trompez pas, certains continuent "as usual" de s'enrichir.
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N
J'ajoute : mon travail de salarié qui consiste essentiellement à faire le lèche-cul auprès de la hiérarchie, m'a d'une part fait perdre 99% des compétences que j'avais acquises pendant mes années d'études (yc diplôme d'ingénieur), sans créer de nouvelles vraies compétences. Mais d'un autre coté le fait d'utiliser les "jetons" que représente mon salaire pour aller faire mumuse sur les marchés financier et en immo (heureusement qu'il y a ça, sinon je m’ennuierai à mort), ma permis, à 36 ans, au bout de 12 ans de vie active de glandouille/parasitage de stocker un patrimoine relativement correct proche de 700 000 euros, patrimoine, qui, contrairement à mon activité salariée, fait l'objet de tous mes soins. Je connais des gens qui parasites encore plus que moi, mais qui d'une part ne sont pas lucides et ne s'en rendent pas compte, et d'autre part gaspillent leurs gros "jetons". Pour ma part j'accumule ces jetons dans l'espoir de ne plus devoir faire le lèche-cul un jour ... et faire des choses intéressantes ...
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B
700.000€ en douze ans... C'est bien... C'est très bien... Peut-être juste un petit peu beaucoup trop bien... Quand on veut vanter les mérites des marchés financiers un minimum de retenu reste nécessaire pour un minimum de crédibilité. Sinon on devient contre-productif. Tes commanditaires devraient se raviser.
A
Salut Nam,<br /> Avec un tel capital, j'enverrais tout péter illico, et je m'installerais à la campagne, genre Bretagne, Dordogne, Ardèche, ou autre.<br /> D'autant qu'une simple connexion Internet suffit aujourd'hui pour gérer son capital.<br /> Je trouve que la vie de salarié d'aujourd'hui n'a juste aucun sens.<br /> Pour moi, ça relève plus de l'esclavage que du travail puisqu'on ne fait que bosser pour payer, en attendant la retraite.<br /> Et je ne connais pas les stats, mais je vois régulièrement des gens mourir juste avant la retraite, ou peu après.<br /> C'est donc à se demander à quoi bon tout ça ?
S
C'état Chingen Takeda, je t'ignorais cinéphile la Gaulle
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J
Pour échapper à la réalité, les USA ont financiarisé à outrance; en fait ils pouvaient dissimuler le gouffre tant que d'autres pays avaient pris le relais de la croissance industrielle (Chine essentiellement). Mais le siphonnage de l'économie par la finance assèche indirectement le moteur de la croissance chinoise, puisque celle-ci ne tourne que sur les exportations. Les chiffres de la croissance chinoise étaient déjà bidons, tout le monde le savait, mais maintenant elle ne peut même plus atteindre la moitié de ce qu'elle prétend. A elle de financiariser, c'est ce qu'elle essaie de faire; sauf que pour elle il n'y a plus aucun autre moteur industriel sur lequel s'appuyer. Du coup ça secoue, accrochez-vous!
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L
Intéressant point de vue sur le libre-échange.<br /> http://lesakerfrancophone.net/les-traites-de-libre-echange-sont-anti-libre-echange/ <br /> <br /> En somme le protectionnisme est comme l'enfer de Sartre ; c'est toujours les autres qui le pratiquent. C'est-à-dire ceux qui préfèrent exercer leur protectionnisme en solo plutôt qu'en troupeau -comme dans le libre-échange quoi ! <br /> Paul Bairoch avait déjà énoncé implicitement cette règle là, en constatant que les premiers avaient toujours dans l'histoire remporté la mise sur les seconds. Après tout, le déclin de l'Angleterre a bel et bien commencé quand elle a prétendu imposer son protectionnisme (libre-échange) au monde entier, alors que le monstrueux poupon américain opérait sa croissance -et la relève de son ancien tuteur- à l'ombre des barrières douanières qu'avait garanties la guerre de sécession.<br /> On se demande bien pourquoi E. Todd, qui connaît bien cette histoire là, s'était embarqué un temps au service du très foireux concept de « protectionnisme européen » -la quadrature du cercle expliquée aux tout petits par des économiste eurolâtres. Il est vrai que lui n'a jamais été à court de paradoxes abscons.<br /> Finalement, le libre-échange, ce ne serait pas par hasard rien d'autre que le protectionnisme des banquiers ?<br /> <br /> Sur le Saker, j'ai vu au passage que l'Ukraine était à nouveau prête pour un tour de manège, comme c'est le cas tous les six mois pour la deuxième année consécutive. <br /> http://lesakerfrancophone.net/alerte-risque-doffensive-ukrainienne-imminente/<br /> <br /> La der des der ? Je n'en crois rien. Les américains se fichent de l'Ukraine et ne feront pas la guerre pour elle. Ce qu'ils attendent, c'est la même chose qu'attendait de son rival le prince Nobunaga dans le « Kagemusha » de Kurosawa (pour les cinéphiles), à savoir que « la montagne bouge » -entendez la Russie. Cela pour mieux creuser leur faille tellurique entre l’Europe et la Moscovie, laquelle leur permettra de mieux nous sucer avec la complicité (maquillée en opposition constructive) de nos autres zamis les zallemands. Et le temps presse vu l'état de l'économie mondiale et de la leur en particulier...<br /> <br /> A propos de l'Europe, vous avez remarqué que l'on a perdu de vue brusquement l'une des lubies géopolitiques favorites de l'UE : à savoir l'entrée de la Turquie dans l'auguste cercle ?<br /> Il faut dire que, vu le bordel qui s'installe à grandes rafales dans ce pays depuis peu (voir les derniers articles de T. Meyssan sur le réseau Voltaire sur la nouvelle donne au proche Orient), l'air du temps porte plutôt au profil bas sur le sujet. Pour résumer :<br /> http://chroniquesdugrandjeu.over-blog.com/2015/08/avis-de-gros-temps-sur-la-turquie.html
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A
Bonjour,<br /> Je suis Ingénieur en Informatique.<br /> J'ai dû quitter en 2014 mon logement situé en Pays de Loire car je ne trouvais pas de travail sur place.<br /> Depuis près d'un an, je travaille à Marseille.<br /> J'ai mis en vente mon appartement là-haut en juillet 2014.<br /> J'ai eu une seule visite malgré plusieurs baisses de prix qui me feraient perdre désormais 15% sur le prix d'achat du bien en 2013.<br /> Les agences chargées de vendre mon appartement me disent toutes que l'appartement n'est pas en cause, mais qu'au niveau des ventes, c'est le calme plat dans toute la région.<br /> Une personne du village avec laquelle je discute quand je rentre chez moi, m'a dit qu'elle connait un notaire qui commence à avoir des soucis de trésorerie.<br /> Je vais donc probablement renoncer à la vente et faire comme nombre d'autres travailleurs qui vivent loin de chez eux, en attendant une hypothétique amélioration locale de l'emploi.<br /> J'entends souvent dire que l'informatique c'est l'avenir.<br /> C'est vrai que c'est un métier où l'on gagne encore un peu correctement sa vie.<br /> Et encore, malgré 20 ans d'expérience, j'arrive difficilement à 2500 euros nets mensuels, à condition toutefois d'accepter la mobilité sur Marseille, Paris, et autres grandes villes.<br /> Avec mon crédit là-haut, et mon loyer ici, autant dire, qu'après impôts, il ne reste rien.<br /> Ce métier comme beaucoup d'autres, se dirige doucement mais sûrement vers le smic.<br /> C'est déjà le cas d'ailleurs en milieu rural.<br /> Les études ne sont plus gage de réussite sociale.<br /> Je ne me plais pas, soyons clairs.<br /> Je témoigne simplement d'un constat factuel peu enclin à l'euphorie.<br /> Et je me considère chanceux d'avoir encore un job et pouvoir ainsi simplement manger et payer factures et impôts.
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N
Témoignage factuel et parlant pour ce qui concerne la classe moyenne de province.<br /> <br /> Je trouve que l'écart est quand même important avec Paris, ou il y a encore vraiment beaucoup de "mou" : les appartements se vendent encore comme des petits pains (j'ai vendu le miens en 15 jours, et le marché se tend avec la baisse des taux), et les salaires de gens-payés-à-rien foutre est encore très élevé (observation basée sur mon cas personnel et sur ce qui se pratique dans l'entreprise ou j'officie, une grosse major du cac40). J'ai un peu honte de le dire, mais absolument perdu toute compétence et je continue à toucher 3600 euros nets par mois, et je connais des gens payés 5000 ou 6000 euros nets par moi, qui sont encore plus incompétents que moi. Je dois rester dans mon entreprise, car si je m'avise à vouloir faire des choses utiles, mon salaires baissera.
D
Oui, et puis on pourra aussi remercier nos dirigeants pour leur capacité incroyable à triturer "intelligemment" la réalité, se perdant dans un brouillard Potemkine à couper au couteau.<br /> <br /> Ainsi du taux de réussite au Bac, ce sésame pour l'entrée dans le supérieur, qui a augmenté de près de dix points depuis 2010 (faisant suite à une autre période de "croissance forte et régulière du taux de réussite au Bac", qui s'était échelonnée du milieu des années 80 au milieu des années 90, après l'échec cuisant du SMIC jeunes) , assurant ainsi le passage en douceur de centaines de milliers de jeunes à l'université, leur épargnant de pointer directement au chômage. Et puis "de toutes façons", "c'est mieux de faire des études que d'être au chômage". Oui. Et c'est bon pour les statistiques du chômage, aussi. Bien mieux que les "contrats d'avenir" en tout cas, contrats dont on peut se demander si au fond leur raison première n'était pas de dresser un autre rideau de fumée devant la flambée du taux de réussite au Bac...<br /> <br /> Et puis il y a aussi la lutte contre l'argent sale et le développement des "métiers de proximité", à grands coups de chèques emploi-service et d'incitation des particuliers à dénoncer aux URSSAF ceux qui voudraient couper à ce mode de rémunération, privant ainsi leurs employeurs de la précieuse déduction fiscale attachée aux chèques emploi-service.<br /> <br /> Combien de petits boulots de femme de ménage, d'aide ménagère, d'assistante maternelle, de jardinage, de petits travaux d'entretien, de cours particuliers,... sont désormais considérés comme du travail "honnête, dument déclaré", ne rapportent strictement aucun sou de plus à ceux qui en vivaient (en fait, ils y auront laissé pas mal de plumes) et auront fait la fortune de toutes ces sociétés "ayant pris position sur ce marché d'avenir" ?<br /> <br /> Si nos "élites" s'étaient contentées de truquer les chiffres à l'ancienne, en biffant d'un trait de plume les chiffres qui décidément ne leur plaisaient vraiment pas, au moins auraient-elles conscience de truquer les livres de compte, alors que là, non, elles ont la conscience satisfaite du devoir accompli : elles mènent comme il se doit leur lutte contre le chômage, contre l'assistanat, contre le manque de formation des jeunes,...<br /> <br /> Et elles comprennent de moins en moins pourquoi les choses vont de moins en moins bien, tant elles vivent dans leur monde... <br /> <br /> (sans oublier la vaste blague des "chômeurs découragés" : un chômeur découragé n'est plus un chômeur, c'est un "inactif", au même titre que les femmes au foyer, les retraités ou les étudiants, ce qui finit par faire beaucoup d'inactifs... Mais même là, il faut se réjouir : s'il y a autant d'inactifs, c'est la preuve que nos sociétés ont atteint le plus haut stade de développement de toute leur histoire ! etc etc...)
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J
A propos de réussite au bac, le "Che" (pas l'argentin, le nôtre, celui auquel il reste un neurone) avait déclaré quand il était ministre, si je me souviens bien, qu'à 80% le chômage descendrait en France à 1,5 million. Bien vu Nostradamus!
E
http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/les-europeens-epargnent-epargnent-epargnent-499247.html<br /> <br /> vs<br /> <br /> http://www.latribune.fr/technos-medias/internet/la-france-un-marche-difficile-pour-netflix-499009.html<br /> http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/distribution/pourquoi-les-futures-zones-touristiques-internationales-a-paris-font-polemique-499140.html<br /> <br /> quand on peut si difficilement pour le vulgus pecum mettre quelques piécettes de coté on va pas en plus le bazarder en futilité
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E
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/deutsche-bank-pret-a-se-retirer-de-la-chine-et-l-inde-499161.html<br /> <br /> "<br /> <br /> L'allemand Deutsche Bank, géant du secteur bancaire européen, étudie la vente de sa participation dans le groupe chinois Hua Xia Bank ainsi que la cession de ses activités de détail en Inde, rapporte mercredi 19 août le quotidien allemand Handelsblatt.<br /> <br /> Le groupe bancaire de Francfort (ouest de l'Allemagne) avait déboursé quelque 1,3 milliard d'euros pour mettre la main entre 2006 et 2010 sur près de 20% du capital Hua Xia Bank, rappelle le journal, selon qui la vente de cette part pourrait s'avérer particulièrement lucrative pour Deutsche Bank.<br /> Près de 2 milliards d'euros de gain<br /> <br /> Au cours de Bourse actuel, la participation détenue par la banque allemande représente environ 3,3 milliards d'euros, poursuit Handelsblatt, précisant toutefois qu'aucune décision formelle n'a été prise à ce stade. Si l'opération se réaliserait, le groupe allemand empocherait donc un bénéfice de près de 2 milliards d'euros.<br /> <br /> Le groupe, qui avait dévoilé fin avril un vaste projet de restructuration, songe également à se défaire de ses activités de banque de détail en Inde, pays dans lequel il est présent avec 17 succursales, est-il ajouté. "Nous ne commentons pas les spéculations", a déclaré à l'AFP un porte-parole du groupe.<br /> Ne plus être "tout pour le monde"<br /> <br /> Fondée en 1870 en Allemagne, Deutsche Bank est maintenant présente dans 70 pays et active sur toute la chaîne de valeur de la banque. Fragilisé par des scandales judiciaires en pagaille et une faible rentabilité vis-à-vis de ses compétiteurs mondiaux, le groupe a toutefois fait savoir qu'il ne voulait plus être "tout pour tout le monde".<br /> <br /> Son nouveau patron britannique John Cryan, arrivé début juillet pour remplacer l'indo-britannique Anshu Jain tombé en disgrâce, va devoir conduire la nouvelle stratégie, qui prévoit une réduction drastique de la voilure dans la banque de détail ainsi que dans les activités d'investissement.<br /> <br /> (avec AFP)<br /> sur le..."
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