GOLDMAN SACHS CONDAMNE LE DECRET...
Anti immigration de Trump. Donc, les plus grands voleurs, menteurs, tricheurs, escrocs de la planète condamne cette mesure. Elle ne peut donc qu'être bonne. Quelle est la bonne réponse ?
La victoire de Trump, la dissolution de la structure impériale américaine, dissolution actée, du Conseil de Sécurité nationale et du Conseil de Sécurité de la patrie... Pour n'être qu'un pays comme les autres montre que le combat est arrivé à la phase ultime, et peu importe désormais, que Trump n'arrive pas au bout de son combat. L'outil est cassé, et si Trump échoue, est assassiné ou autres joyeusetées, l'empire se disloquera, et en premier lieu les USA, sa classe politicienne, et sa classe journalistique, perdue entre Los Angeles, Washington et NY, et qui a oublié tout le reste.
La réalité US ? Il suffit de regarder quelques séries télés pour s'en rendre compte. Sur écoute, grey's anatomy, Longmire, qui donnent une bonne vue d'ensemble du problème. Il suffit de savoir regarder, au delà des historiettes, la toile de fond. Le parti démocrate corrompu jusqu'à la moëlle, et des élus noirs, pour lesquels le "négro" qu'ils méprisent profondément n'est qu'une clientèle captive, la dérive des soins de santé, les problèmes invraisemblables d'assurances, l'habitat moyen qui relève plutôt de la caravane, des bureaux usés, des shériffs perdus au milieu de leur gigantesques comtés, avec quelques adjoints, le trafic de drogue généralisé, les guerres indiennes ou confédérées jamais réellement finies, ayant simplement changées de formes, le trafic d'esclaves, sous couvert d'humanitarisme, comme au XVII° siècle, dont le bénéfice va droit dans les poches d'une grande bourgeoisie. Il y a donc vraiment de quoi être content ?
On est loin des séries optimistes des années 1990, où la mondialisation, forcément, serait "heureuse". Aujourd'hui, l'Amérique moyenne, c'est la misère généralisée, les gens qui ont peur d'y tomber ou peut être, de savoir, quand il vont aller vivre dans leur caravane, et quelques châteaux où sont enfermés les riches.
En France, sur 5 "grands candidats" à la présidentielle on a encore 4 globalistes, pour une raison ou une autre, sur le dos.
Sur mon dada, le plan énergétique, je n'ai vu que MLP parler du pic pétrolier. Fillon, sûrement pas, Macron, il ne connait pas, Hamon, vit dans la croissance infinie, comme Mélenchon. Impossibilité pour les gouvernants de voir la réalité, difficultés pour les peuples de la comprendre, d'autant qu'on se garde bien de lui dire la vérité, mais qu'on contraire, tout est encore bon pour des décennies, alors qu'on est déjà tombé dans le merdier, que la caravane et l'habitat précaire se généralise.
Sans doute, les américains sont ils les plus conscients du problème, du moins, une partie d'entre eux, ceux qui habitent dans les comtés ruraux, qui ont vu partir les emplois, arriver les immigrés, qui n'ont qu'une voiture hors d'âge et le carburant rare, voire plus de voiture du tout, (mais toujours leurs 30 X 30), leurs 200 $ de coupons alimentaires, dans le mobile home ou sa caravane hors d'âge, et comme plaisir quelques bières...
Pour eux, le pic pétrolier et l'absurdité de la politique menée pendant des décennies est patent. Si les survivalistes sont nombreux dans leurs campagnes, c'est simplement qu'ils sont réalistes.
Mêmes les Soros en tous genres perdent la main, à défaut de leur caractère malfaisant. Si ses partisans stipendiés ne perdent pas la main, il n'y a aucune chance que le bloc hostile à tout ce qu'il représente, et surtout à sa bien pensance, s'y rallie. Il y a toutes les chances, d'ailleurs, qu'ils leur rentrent dedans. (Les gays trouveront peut être ça agréable ?)
La Chine plaide pour le globalisme, pendant que sa base charbonnière meurt. Là aussi, pas possible pour eux de concevoir qu'arrivé au sommet de la chaîne, c'est déjà le temps du déclin ?
- 2.9 % en 2014,
- 3.7 % en 2015,
- 9.4 % en 2016... 15 % de chute en 3 ans ??? Oui. Il est très clair que le pic charbonnier est important et très violent, violence qui évoque deux tendances qui se confortent et se consolident, à savoir l'épuisement géologique, et l'épuisement d'un modèle fondé sur l'industrie lourde, et notamment l'acier, et la construction.
Bref, le moment du déni, de la part des gouvernants, implique que nous sommes réellement entré dans la crise qui voit tout se dénouer.
Trump est plus clairvoyant, mais sur l'énergie, il est aussi dans le déni.