LES REELLES QUESTIONS...
27 Janvier 2017 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
Pendant que les zélites mondialisées se prévoient un petit point de chute en Nouvelle Zélande, où ils se faire chier à pourront élever des moutons, le quotidien des peuples, c'est de se poser des questions sur la qualité de l'eau de boisson.
C'est une crise maximale aux USA, et réelle en France.
Pourquoi ? Parce que premiers partis, les USA ont des infrastructures vieillies. Le plomb est fréquent dans l'eau, et il aurait fallu changer les canalisations, entretenir les réseaux. Et veiller à la qualité des eaux utilisées.
Il y a plus de 70 ans, le plomb des canalisations d'eaux, c'était normal. C'est passé de mode.
L'histoire de Flint est atypique. C'est simplement un endroit où le problème a été révélé et se double d'un scandale politique, qui pourrait faire chavirer l'état, et pour lequel, il n'y a pas de solution. Parce qu'un simple scandale, comme Flint, siphonne tous les financements. Alors qu'il en existe des milliers.
On ne peut pas foutre le merdier dans le monde entier, et s'occuper de l'intérieur, qui pourrit lentement, faute de budgets. Il est clair que les gaspillages accumulés pendant des décennies pour le complexe militaro industriel, se ressent.
En France, la situation est -un peu- meilleure, sans être totalement satisfaisante.
Le bantoustan mexicain, destiné à recevoir les usines, à la place des USA où-les-ouvriers-étaient-trop-payés, se voit relégué à sa juste place : celle du torche cul à jeter après usage. 80 % des exportations mexicaine se font vers les USA. Question à 100 pesos : où sont les droits de l'hommiste protestants contre l'exploitation de l'homme par l'homme ? C'est normal qu'en deçà l'heure de travail revienne à 50 $, et de l'autre à 5 ?
Quand on compare le nombre de sans emplois, (103 millions), au 12 millions d'émigrants mexicains, dont 5.7 millions de clandestins, on voit que c'était, de part et d'autres de la frontière, une machine à bas salaires.
Quand à construire un mur, rien de compliqué, et pour contredire les hurluberlus, ils n'ont pas compris qu'à l'heure actuelle, le nombre d'ouvriers sur ce genres de chantiers étaient très réduits. On n'est pas encore revenu à l'heure des pelles et pioches.
Donc, Donald Trump a raison de dire que le monde est un merdier pas organisé, produit du système libéral. Le remède, ça s'appelle la politique, la loi et l'autorité de l'état. Toutes choses qui n'existent plus dans le système libéral.
Et La loi, la politique et l'autorité de l'état, ça ne consiste pas à caser bobonne à 500 000 euros dans une sinécure ou chez les copains.
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