Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

BETISE HUMAINE...

30 Janvier 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

Dans les guerres, souvent certains pendant les bombardements mettent des cibles sur leur dos, avec des annotations, genre "vise mieux imbécile".

Conduite fière mais suicidaire, traduisant une impuissance.

Aujourd'hui, grâce à la technologie, on peut suivre les soldats US à la trace, grâce à des applications sur leur téléphone. Comme discrétion on peut faire mieux.
En outre, les bases US sont de vraies guirlandes de Noël.

Autre enseignement, comme c'est une application de fitness qui a mouchardé, on peut en conclure que les soldats US sont des gros sacs. Ce qui n'est pas loin de la vérité.

Il est vrai que dans leur esprit, les USaméricains ne peuvent être attaqués. Alors que les russes sont les rois du camouflage. En 1941 on notait déjà leur capacité à se fondre dans le paysage, et la pelle de tranchée était leur outil roi.

Encore des subtilités que les soldats US ne connaissent pas, et leurs généraux, encore moins, occupés qu'ils sont à intégré LGBTQ et femmes, dans les proportions politiquement exigées.

Par contre, les US américains, comme les allemands en 1941 savent très bien se faire haïr.

Accueillis triomphalement en URSS par la population, en se comportant comme des sauvages, Hitler et les allemands ont transformés la guerre entre deux systèmes, le nazi et le soviétique en une guerre nationale, livrée sans faire de quartiers, parce que soldats et population n'en attendaient pas ou plus.
Toutes les actualités de 1941 voient des soldats allemands couverts de fleurs dans la traversée des villes et les prisonniers souvent être cueillis au simple son de la voix.

Il y eût, en URSS bien des collaborateurs, environ 1.5 millions combattirent dans l'armée allemande, mais ils auraient pu être beaucoup plus nombreux encore. Et transformer cette guerre en une guerre civile dont le régime soviétique ne se serait pas relevé. Staline, à l'époque, vida largement le Goulag de ses prisonniers, pour remplir les rangs de l'armée.

Bref, il ne faut jamais oublier le sort de la population dans un conflit, l'occupation par les alliés pendant la seconde guerre mondiale a signifié la fin des bombardements. les occupations américaines dans les pays occupés par ceux-ci signifient leur multiplication. Dans un cas, c'était la fin du cauchemar, qui valait bien les quelques inconvénient de l'occupation, dans l'autre, le début de ce cauchemar, avec, en plus, les politiques néo-libérales.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
S
Le problème du repérage des soldats en opération est global à tous les pays et un problème de génération. Sauf dans les troupes spéciales, un peu pas suicidaires, un paquet de soldats se baladent avec leur smartphone en mode veille, soit en casernement, soit en déplacement, avec un paquet d'applis qui bavent à tout bout de champ même si elles ne trouvent pas le réseau crypté militaire censé les couvrir. Mais ce problème est déjà dépassé avec les drones à pas cher, avec leur lot de cam infra-rouge, reconnaissance de forme, zoom auto, amplificateur de son, etc... Voire des équivalents IMSI-catcher par ballon autonome sur mini serveur en linux (les détails sont sur le net) qui triangulent bien les puces des portables même éteints. Les ethno-délinquants de Daesh ont bien utilisé leurs dollars de contrebande pour s'approvisionner. Alors, des troupes plus "légales", je vous dis pas...
Répondre
M
les russes rois du camouflage, pas trop.... allez voir : Simo Häyhä
Répondre
J
Merci Marc00, je ne connaissais pas...
S
C'était lors de la guerre en Finlande ; et c'était une catastrophe ; les pauvres ne savaient même pas ce qu'ils foutaient là ; Patrick parlait des opérations ultérieures.
S
ça me rappelle une vieille Russe croisée à Rome ; elle disait qu'à l'époque de l'opération Barbarossa la population Russe avait un tel dégout pour le bolchevisme qu'ils ne savaient pas comment réagir ; ils étaient tiraillés par ce choix cornélien: se saisir de la hache pour tuer le premier flic, soldat, suppléant de la NKVD ou autre mouchard du régime soviétique ; tuer le voisin qui vous a calomnié auprès des autorités et donc rejoindre les Allemands ; ou bien résister malgré tout à l'envahisseur. Cette fracture habitait la quasi-totalité des esprits de la plèbe soviétique en 41.
Répondre