NDDL, LOGEMENT ET UTILITE DE L'HOMME...
3 Février 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique, #transport aérien
Après la fin de NDDL, les pom-pom girls du projets pleurent leur aéroport disparu.
Certaines réactions de lecteurs sont intéressantes :
Regardons, aussi, la finalité : "nous n'aurons pas la liaison QUOTIDIENNE avec NY et Shangaï. C'est le propos ou d'un menteur ou d'un imbécile.
Il n'existe pas plus de 20 aéroports rentables en France, et aucun autre susceptible de l'être. Simplement, parce que la taille du marché, c'est 20 % de la population, pas plus, le reste n'a pas les moyens.
Evidemment, il faudrait que le futur soit stable, et se maintienne comme il est. ce qui sera difficilement le cas.
D'abord parce que le tissu urbain a totalement éclaté, et que les zones reines, les centres villes sont devenues des zones abandonnées.
Ensuite, parce qu'au sujet de l'énergie, ce n'est pas gagné.
Orlov dit les choses suivantes : au sujet du renouvellement des gisements pétroliers, les nouveaux gisements trouvés, c'est 11 % de ce que l'on consomme et même pire, il faut utiliser 10 % de la production pour extraire le pétrole.
Fabuleux. On pourrait rajouter la consommation des pays occidentaux pour produire leur nourriture, autour des 15 %.
Donc, les futilités indispensables, comme les aéroports et les transports aériens, devront, très vite, passer à la trappe. Et les dirigeants, arrêter de jouer à "notre dame des aéroports".
Orlov en conclut une chose très vraie. Les femmes devront retourner à la maison, sous la protection des hommes, pendant l'effondrement, et après.
C'est à la fois, une vision très russe, le sacrifice suprême, et pointer un défaut des femmes occidentales. En effet, les femmes occidentales veulent la liberté et la sécurité. Il faut qu'elles comprennent qu'en Russie, qu'en URSS, ou les femmes combattantes sont une ancienne vérité (les amazones de l'antiquité auraient vécu près de la Volga), ces combattantes en ont payées le prix, non seulement le prix du sang, mais aussi le risque constant d'être violées (les femmes soldats soviétiques restaient toujours en groupe, notamment pour dormir, et se cadenassaient)... De plus, elles ne sortaient pas sans être armées...
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