ENTRE CRISES ET CRISES...
Il est marrant quelque part que les plus riches soient aussi les plus obtus. Ils veulent à tous prix préserver l'euro et les mécanismes d'enrichissements, alors que ce qui pose problème c'est leur conception extensive du socialisme à détruire.
Le socialisme est mauvais -pour eux-, car il met à l'abri de leur déprédations des parts importantes des "marchés", et des populations.
Les USA sont l'aboutissement du processus. Ou comment avoir :
- une santé de merde, mais chère,
- une éducation de merde, très chère aussi, de l'ordre de 12 000 $ par an,
- une armée de merde, très chère, mais dont tous les avis autorisés pensent avec raison qu'elle est entrée dans un processus de disparition accéléré où, pour chaque type au front, il en faut 100 derrière (il doit se sentir soutenu, c'est sûr).
Le reste, ayant, bien sûr, totalement disparu, corps et bien. Le "nigger" américain, lui, a laissé la plantation, pour la plantation urbaine, où il est parqué dans les réserves démocrates, avec quelques contremaitres noirs aussi, appelés politiciens, chargés de les tondre.
Le dealer tond la population, le politicien tond le dealer, les "quartiers" sont abreuvés de subventions en tous genres, les taudis qui servent de logements sont chers, les écoles, aux exigences totalement inexistantes (au nom de la protection des minorités), réprime férocement toute tentative d'élévation sociale.
La voie du dit "nigger" est toute tracée : illettré, dealer, cadavre qu'on met dans un sac poubelle, ou s'il a de la chance, 25 ans en prison, s'il a échappé aux embrouilles de rues, aux balles perdues, à la drogue... De temps en temps, on en prend un pour faire athlète. Merci les politiciens noirs, le parti démocrate, les Clinton et l'anti-racisme de salon.
Pour plus de détails, regardez la série, "Sur écoute", qui n'a pas franchement eu un grand succès (au près des autorités ?), sans doute parce qu'elle était plus que réaliste.
Les politichiens européens, eux, n'arrivent pas à comprendre comment l'OPA du parti démocrate sur les ex-esclaves, ne fonctionne pas en Europe. L'Italie vote on ne peut plus mal, le président empêche la formation du gouvernement, au profit d'un gauleiter même pas caché, et on va revoter, avec des résultats encore pires pour les européistes, sur fond de flambée des taux d'intérêts, et de dislocation de l'Union européenne. Au lieu de 50 %, M5S et la ligua feront 70 % la prochaine fois. Et les restes des autres partis se racorniront encore.
Leur vue est vraiment, à très court terme. Très loin de la politique poutinienne qui se joue à 2 ans minimum, 10 si l'on veut être raisonnable, et travail le long terme.
Les "eurofanatiques", ou partisans de la religion cruelle, celle du Moloch qui brûle les enfants, ne veut rien entendre.
D'ailleurs, les "marchés", jaugent la crise italienne.
Ce n'est pas, comme dit l'immonde, l'échec des pourparlers entre partis qui a causé la non-formation du gouvernement. C'est un inédit. C'est le président de la république qui a parlé de sa religion, celle du Moloch allemand.
Après, les allemands se plaindront d'être des mal-aimés.
Comme l'a dit un auteur, il est des décennies qui s'écoulent doucement, et des semaines qui valent des décennies.
Mais le plus grave chez l'élite, c'est qu'elle ne comprend même pas que les ressorts économiques sont brisés. Et que la note va se présenter. Avec la crise énergétique, je pense que Larzac et Notre Dame des Landes sont la voie du développement futur...
Avec 14 % des charges agricoles, dans le pétrole, on devrait rattacher l'agriculture à la branche énergétique.