PENURIE DE MAIN D'OEUVRE...
2 Juillet 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique, #Energie, #Economie
C'est fou ce que les journaleux éco peuvent écrire comme conneries sur "les pénuries de main d'oeuvre", qui affectent le patronat.
En Grande Bretagne, comme en Italie, ce sont les lamentations. "Et pourtant, nous dit on, ça a voté à XXX % pour ceux qui ne veulent plus d'immigration".
En réalité, le tissu entrepreneurial intéressé par l'immigration, est très réduit. Et il est intéressé, surtout, pour les salaires à 2 ou 3 euros de l'heure qu'il distribue, 2 et p'têt ben 3 jours par semaine, avec lequel l'esclave doit survivre dans sa cahute, qui n'a rien à envier à celle du moyen âge.
Il est évident, qu'à ces conditions, et à ces tarifs, personne d'ici ne veut bosser. Il faut toujours le vivier constant de nouveaux arrivants pour arriver à remplir ce tonneau des danaïdes.
140 millions de migrants pour l'Europe occidentale, c'est effectivement le chiffre cité par les crétins de l'union européenne (vers 2000), avec un seul "petit" problème. Ce chiffre n'est bon que si l'on continue sur une projection de croissance, qui défaille visiblement depuis une dizaine d'année.
Un article nous dit que l'économie anglaise s'affaisse lentement, après avoir été moins victime du brexit que l'on nous le dit...
Pas de chômage ? Bien sûr, pas dans les chiffres officiels, mais tout le monde sait ce que valent ces chiffres : des torche-culs, s'ils sont mis par écrit.
Le pouvoir d'achat qui s'effrite ? A mon humble avis, il n'y a pas qu'en Angleterre... Même s'il n'y a pas eu Brexit...
Ralentissement de la sainte croissance ? Amusant. Grâce à leur boule de cristal, ils peuvent dire comment cela se serait passé ? Bien entendu, pas un mot de la déplétion pétrolière britannique. Quand le gaz et le pétrole de la mer du nord, irriguait l'économie du Royaume Uni, on attribuait ça à la "dynamique", crée par une femme terriblement limitée intellectuellement parlant, et déjà sujet à l'Alzheimer...
Départ des usines airbus ? A mon avis, c'est pas pour tout de suite. Une usine d'Airbus, ça ne se déménage pas comme un appartement. ça se saurait. Il faudrait 25 ans pour qu'elles aillent ailleurs, et le coût, pour tous ceux qui ont vécu des déménagements industriels, est très loin d'être anodin... Il faudra 10 ans pour les payer.
De même, et mécaniquement, la baisse de production pétrolière et gazière, et les prix bas, font baisser le PIB...
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