SALVINI FAIT FORT...
11 Juillet 2018 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
"Soros veut faire de l'Italie «un grand camp pour les réfugiés car il aime les esclaves»".
Sans doute une réminiscence des sympathies nazies des Soros qui bien que juifs, ne furent guère inquiété par les nazis, qui ont quand même liquidé pas mal de juifs hongrois. Mais pas eux.
Comme Joanovici en France, juif roumain, qui devint milliardaire et qui fut sans doute LE plus grand Kollabo économique, avant d'être condamné à la libération.
Les nazis aimaient bien le travail forcé, et pas seulement celui des camps de concentration.
D'ailleurs, Soros s'il vécut sans problème sous le gouvernement hongrois allié des allemands, trouva vite le régime soviétique insupportable, comme un certain Sarkozy (dès 1944, d'ailleurs, ce qui constitue un record, parce que les combats ne cessèrent en Hongrie, qu'en 1945...)
Pal Sarkozy se réfugia à la légion étrangère, très germanophone après guerre, et guère regardante sur le passé de ses soldats, pendant la guerre d'Indochine.
Bref, un mal dégrossi de nostalgies brunes, qui revient aux origines. Sans la levée habituelle de boucliers des droitsdelhommistes.
Tant pendant le premier conflit mondial que le second, le régime hongrois fut le meilleur allié de l'Allemagne, là où la situation économique était le plus inégalitaire, la répression la plus féroce vis-à-vis des communistes après la république des conseils de 1919. Après guerre, donc, rien d'étonnant à ce qu'une féroce répression communiste s'abatte sur le pays, mais c'était surtout après 1948. La période précédente avait laissé des traces profondes.
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