GRANDS BETES...

Pardon, je voulais parler de la Grande Bretagne. Toute politique menée, s'inverse un jour. Par exemple, vous pouvez massacrer 80 % de la population irlandaise, la déporter à l'envie, l'affamer (pour son bien, bien sûr) ils n'ont fait qu'illustrer une parole de De Gaulle : "S'il faut la force pour bâtir un état, l'effort guerrier ne vaut qu'en vertu d'une politique."

La répression chérie des britanniques et les massacres deviennent impossibles en 1916 : la population US est déjà largement d'origine irlandaise. Et celle-ci est en mesure d'envoyer valdinguer le congrès en entier, s'il tolérait les agissements anglais.

Donc, en 1922, l'Irlande sera quasi-indépendante, indépendante en 1937. La tendance anglaise à massacrer devant se faire à bas régime.

En même temps, quasiment que le "cimetière des empires", l'Afghanistan, perdu au début des années 1920.
L'armée des indes était épuisée, par deux faits, la première guerre mondiale, et la pandémie de grippe espagnole, qui semble avoir particulièrement sévi dans le sous continent.

Après, l'indépendance de certains Dominion est impossible à dater, notamment, celle de l'Australie. On n'a même pas de date, mais le pays est passé sous "alliance" américaine.

On en arrive au point où même les dépendances immédiates, Ecosse, Pays de Galles, Irlande du Nord, peuvent envisager une indépendance à terme. Sans doute le mouvement est il quasiment mûr en Ecosse, et l'évolution démographique de l'Irlande du nord laisse présager au minimum une nouvelle partition.

D'ailleurs, si les dirigeants écossais avaient été habiles, ils auraient demandé que le referendum sur l'indépendance écossaise ait aussi lieu en Angleterre. Sans doute, auraient ils eu satisfaction.

D'ailleurs, la ségrégation des noirs américains tient elle aussi, qu'ils ont été largement mélangés avec les jacobites écossais, et les insurgés irlandais...

Là, la catastrophe vient du Brexit. Et il ne me semble pas que dans les indépendances accordées, finalement, le Royaume Uni ait beaucoup perdu... Le profit de quelques uns, étant le coût des autres...

Le brexit, donc, ou évasion de l'UE, c'est du même tonneau. Le profit de quelques uns, les coûts pour tous.
Enfin, ce qu'on ne dit pas sur le Brexit, c'est le rôle à attribuer au pic pétrolier. Et spécialement à celui de la mer du nord, qui concerne principalement le RU.

En fait, tout ce qui est attribué au Brexit, c'est l'impact de la crise pétrolière. Il faut voir la gueule, par exemple, de l'économie de l'Alberta, maintenant que les gisement classiques rendent beaucoup moins, et qu'il faut renoncer au plein emploi et nettoyer des quantités phénoménales de merde, sans parler, bien sûr, des pétroles lourds, encore pires.

Pour ce qui, dans l'histoire du monde, des victimes, des épidémies, des famines, c'est toujours la faute à pas de chance, et jamais celle de l'impéritie des états et des gouvernants. Prenez une femme qui meurt après avoir appelé le SAMU, c'est toujours classé sans suite.

Pour ce qui est du "pire", c'est quand les particuliers "hésitent", à s'endetter. Le rédacteur de l'article devrait s'acheter un cerveau.

Comments

[logique]

Si les godons hésitent a prendre du crédit c'est que cela commence a sonner la fin de partie :) :)