L'INTERMEDIAIRE ENTRE L'HOMME ET LE CHIEN...
...était selon Bismarck, l'autrichien.
Aujourd'hui, on peut se poser la question de savoir si cela n'a pas évolué, et si et intermédiaire n'est pas devenu le(la) député LREM. Ou d'autres. Il est évident que la question de certaines rémunérations et certains comportements, devient politiquement explosif. Ghosn va passer Noël en prison ? Les autres prisonniers vont protester. On y met vraiment n'importe qui.
Quand on ne connait pas le montant du SMIC, on évite de venir braire sur la télé. Le mal est fait, le catalogage a eu lieu. Son statut est désormais pour une moitié de la population, celui de pouffiasse et de connasse. Excusez du vocabulaire, mais la vérité est crue. Les diplômées d'écoles de commerce ne sont que des commissaires politiques. C'est une fonction cruelle et dangereuse.
Elle est menacée de mort ? Normal. La politique, c'est violent. Mais, on y respecte les gens respectables. Pas les autres. Les cadres sup, qui décident en petits comités dans leurs pitoyables et risibles réunions en anglais, sont des jean-foutres. D'autant que leur anglais de francophone est souvent de l'ordre du très médiocre. A l'image du tout Paris de l'entre deux guerres. Pour revenir au commissaire politique, il ne fallait pas avoir peur de recevoir une balle entre les deux omoplates.
Les menaces de mort vont finir par se concrétiser, un jour. Parce que la simple vue du président est révulsive maintenant, et la simple vue d'un député LREM prend le même chemin.
Alors j'ai une suggestion à leur faire ; tourner casaque ou démissionnez. Si vous ne le faites pas, c'est que vous êtres vraiment trop cons, et que vous mériterez bien ce qu'il vous arrivera.
Macron était inconsistant. Cela apparait maintenant, il n'y a plus que sa clientèle électorale du premier tour, les pompom girls incapables de changer d'avis qui le soutiennent.
Je cite ici in-extenso l'agence de presse iranienne :
" Sous d'autres cieux, le régime macronien aurait crié à la violation des droits de l'homme, allant même jusqu'à convoquer une réunion du Conseil de sécurité pour obtenir la condamnation du régime "répresseur" voire sa sanction. Deux jours après le troisième rassemblement des « Gilets jaunes » à Paris, rassemblement largement encadré par des milliers de forces de l'ordre officiels et officieux et émaillés par des violences inouïes que d'aucuns prêtent aux "agents infiltrés", les premières condamnations commencent à tomber : Ce fut d'ailleurs la promesse du PM français qui a très clairement menacé les Français de recours à la force si le mouvement se poursuivait. "
Là, il est clair que le pouvoir est fragilisé, et il est déjà à bout de souffle. Une performance inégalée sous la V° république.
Visiblement, les milliardaires qui ont propulsé Macron au pouvoir n'ont pas tenu compte de ses inquiétantes failles psychiques, quasiment psychiatriques. "Il y a des choses qu'un président ne devrait pas dire."
Pour ce qui est des francs tireurs, il parait que c'est pour protéger les manifestants. Et leur présence est avouée.
"L’orchestre joue sur le Titanic pendant que le petit peuple meurt noyé dans les cales. La technostructure européenne vit ses dernières heures. L'embrasement général en Europe, et pas seulement en France, va engendrer de solides bouleversements aux prochaines élections européennes et de nombreuses surprises. C’est l’ensemble des peuples d’Europe qui a revêtu le gilet jaune."
Quand au MEDEF, il trouve que la plaisanterie jupitérienne a trop durée.
L'extrême centre droite gauche a vécu. Il faut l'appeler par son nom, c'est un soviet où chacun est du même avis, et les disputes ne concernent que la faction qui doit être au pouvoir. Quand aux électeurs, si depuis 2002 une partie a acheté une paire de couilles, il faudrait que les autres aussi, se décident à renverser la table.
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