GUERRE CIVILE...
20 Mars 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique, #economie
Pendant que le matamore mignon poudré et pommadé entre dans la logique de la guerre civile, avec l'intervention de l'armée, les USA entrent, eux aussi, dans cette logique.
« Vous savez, la gauche joue très violemment un jeu très risqué. Cela les amuse. En fait, je pense que les gens à droite sont plus durs, mais ils ne se la jouent pas, O.K. ? Je peux vous dire que j'ai l'appui de la police, l'appui des militaires, l’appui des “Motards pour Trump”. J'ai avec moi des gens très durs, mais ils ne se la jouent pas, – jusqu’à ce qu’on en arrive à un certain point de rupture, et alors cela deviendra très mauvais, très mauvais. »
En un mot, d'un côté les gueulards, de l'autre les vrais durs.
En général, dans une guerre civile, les 2 camps sont égaux, 30 % d'un côté, 30 % de l'autre. Le reste est toujours indécis.
Les appréciations, ici, sur MMPP, sont déplorables. Que ce soit de Badia Benjelloun ou de Michel Onfray.
Par contre, MMPP, lui, a un soutien de la police et des militaires, très en deçà des soutiens de Trump. Quand aux bikkers, réputés gangs ultra-violents, cette denrée n'apparait pas disponible sur le marché.
Pour ce qui est des intentions de vote LREM, aux européennes, à 25 %, elles s'appliquent sur 40 % de votants, donc, 10 % de la population. Les 60 % restants n'ayant pas assez de couilles pour se déplacer aux urnes.
Charles Sannat nous dit que l'Europe de Macron ce n'est pas la paix. C'est vrai. Moi, au moment du referendum de 2005, je disais au pro-européiste, lors des débats, que la paix, je ne la voyais pas bien en Irlande du Nord, ni au pays Basque, ni en Corse, qualifié par l'ONU de "conflit de basse intensité", mais quand même de conflit. Et que cela se situait bien en UE. En outre, si on voulait la paix, il n'aurait pas fallu y coller la Pologne, qui ne rêvait que d'annexer la totalité de la Biélorussie (qui n'était pas forcément d'accord) et de larges parts de l'Ukraine. Pas forcément d'accord non plus. Ni, de plus, vouloir intégrer la Turquie, qui était connue pour avoir de mauvais termes avec tous ses voisins, parce que le pouvoir se sentait humilié des guerres ottomanes perdues, et de la fin de l'empire. Bon, on passerait aussi, sur les guerres franco-allemandes, des services secrets, en yougoslavie, et actuelle, des services secrets en Libye, en ce qui concerne France et Italie.
Pour ce qui est de devenir pacifiste, c'était simple. Il fallait faire comme les Suisses en 1515. Laisser 20 000 hommes sur le champ de bataille (sur 500 000 habitants), les suédois en 1721 (250 000 morts pour 2 500 000 habitants, ou les allemands en 1945 : 10 millions de tués, dans 2 guerres mondiales. Cela calme vigoureusement, plus que tous les traités et monnaies à la con qui puissent exister.
L'Europe est une dictature autoritaire, qui a su longtemps cacher son visage. Mais il est devenu difficile de continuer à le faire. Le brexit est un problème ? Où ?
Le problème principal, des structures de pouvoir, c'est que globalisation-chérie est phtisique, et crache ses poumons. " Des décennies de libéralisation des échanges transfrontaliers ont commencé à s'inverser. La mondialisation est submergée par le populisme, le nationalisme et le protectionnisme. "En fait, ces 3 phénomènes ne sont qu'une conséquence, celle de la paupérisation, et l'effondrement économique mondial, caché par ce qui n'est plus qu'une propagande de mauvais aloi.
Le Tchernobyl de l'empire, c'est visiblement le 737 max.
En Italie, Salvini doit remercier le conducteur de bus d'origine sénégalaise, qui a essayé de rôtir 50 enfants, "pour soutenir les migrants".
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