LES ESPRITS MALADES...
On voit beaucoup dans notre monde, de malades mentaux en liberté, illustrant le proverbe qui dit que l'enfer est pavé de bonnes intentions.
Comme la dérive des curés pédophiles. Tous ne le sont pas, loin de là, je préfère penser que c'est l'exception, mais on met le doigt, là où ça fait mal.
A partir du moment où une personne se trouve être dans une situation d'autorité, de tout ordre, civile, morale, religieuse, de bien pensance, il est en possibilité de commettre les pires atrocités, sans sourciller.
La répression des gilets jaunes, par exemple, en est un cas éclatant. S'ils sont blessés, c'est parce qu'ils l'auraient bien mérité.
De même, WWF se révèle être une structure terriblement oppressive dans les faits. C'est une organisation qui dispose désormais de ses paramilitaires. Avec toutes les dérives possibles. Mais toujours pour la "bonne" cause. Les meurtres, viols, vols, etc... Tout cela entre dans le cadre du déni. Et des 5 étapes du deuil, sans aller bien sûr, jusqu'au bout... Le déni ; "ils n'ont pu faire ça". La colère : "vous ne pouvez pas les soupçonner d'avoir fait ça". Mais ça s'arrête au marchandage : "il faut les libérer, sinon on retire nos fonds..." Pour la dépression tristesse et acceptation, l'église catholique a mis 2000 ans pour le faire...
Veut on faire tenir toute la France en région parisienne ? On dirait. Mais c'est aussi un déni. Les grandes villes peuvent mourir, comme Detroit, et sa "renaissance" actuelle, n'est qu'un simili. Un quartier, racheté à bas prix par un homme d'affaire, y a placé ses billes pour y mettre son activité de prêts bancaires, et cela a été entouré de services : bars et restaurants. La population, antérieurement en place, elle, finalement, s'est contenté de ce qu'elle a quand elle n'est pas droguée. Elle cultive le sol. Et les effets sont inattendus. Les uns découvrent la gueule du poivron, quand il pousse...
Le "renouveau" de Detroit, acquis à cause de l'effondrement immobilier, mâtiné de douceurs fiscales, n'en est pas un. C'est une activité hors sol, qui a trouvé là le moyen de faire des économies, sur le fonctionnement, et l'emballage de la boîte : des locaux pas chers, des logements pour les employés, sans commune mesure avec les autres grandes métropoles, et un coût de la vie bien en deça... Où est le miracle ? Le reste de la ville reste comme elle était, et personne, sur place ne profitera du "renouveau", excepté ceux qui vendront quelques légumes aux bobos...
Paris veut donc être la zone chic de la France, arrosée par la finance, totalement hors sol, qui aurait pu se mettre à Toulon ou Marseille, pour profiter du soleil.
En fin de compte, pour ces zones, viendra le terrible moment où elle s'apercevront qu'elles sont une économie "Will E Coyot", qui est sur le vide, parce qu'elle ne s'en est pas encore aperçue. Seul le jardinier de Detroit, fruste et frugal, s'en sortira.
Etre un ventre n'est une possibilité que tant qu'une aire est disponible ou disposée à vous approvisionner. Si cela devient impossible, l'entité dépérit. Et le parisien (ou banlieusard), va soudainement se souvenir de sa famille qui n'est pas là, mais loin, dans son trou, pas cher, et avec peu d'activité.
Parce que, comme l'a dit un lecteur, nous sommes loin de tous producteurs de gaz, et que nos chers voisins européens se serviront allégrement eux mêmes avant de nous laisser un peu de gaz. Le gaz norvégien va principalement en Grande Bretagne, pendant que les Pays Bas vont cesser d'exporter. Le gaz Algérien, lui, aura tendance à devenir un souvenir, et le gaz russe passera par l'Allemagne. Il nous restera plus qu'à importer, un peu de GNL, si on trouve un fournisseur...
Les pics fossiles sont trop horribles à imaginer pour nos gouvernements. Ils y a donc une grande chance pour qu'un affrontement de grande ampleur ait lieu. Entre la bien pensance affichée, et les réalistes...