LES NIAIS...
18 Juin 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie, #transport aérien
Ils sont niais, ces agriculteurs US.
Par Thor, par Odin, et par Exemple (Dieu de la discussion), ils parlent des conditions qui ont rendu les semailles impossibles.
Il faut vraiment être tarte. Bien sûr qu'ils n'ont que 10 à 15 % de ce qu'ils font d'habitude.
Mais ils n'ont pas compris le principe de la multiplication. Après tout, pourquoi se fatiguer à faire 100 pour gagner 50, alors qu'en faisant 20 ils pourraient gagner la même chose, ou le double.
Après, que le pékin moyen n'ait plus les moyens de manger, ce n'est pas son problème. Plus le stock est important (la population), plus le risque concordant de famine est important.
Déjà, au contraire de ce que disent les experts, on peut penser qu'une bonne partie de la planète est en état de disette. Avec la famine, viendra aussi l'épidémie.
Les conditions qui avaient permis l'explosion de la population ne sont plus. Le besoin "normal" de denrées alimentaires est trop élevé pour faire face à des à coups. Et les ressources pétrolières qui avaient vidées les campagnes font défauts.
Dernier en date : les découvertes en Norvège sont aux abonnés absents ou au comique troupier : minables. 3 à 60 millions de barils équivalent pétrole... Il y a de quoi se rouler par terre.
En Russie, on s'achemine vers le pic secondaire, et, sans doute, y est on déjà.
Si les prix chutent, sans doute est ce par contraction de la demande, plus que par production excédentaire. C'est offre - demande. Et si l'offre est diablement difficile à augmenter, la demande, elle, semble très élastique à la baisse.
D'ailleurs, tout va tellement très bien que la Reserve federale US vient de commencer à baisser ses taux. La machinerie économique est simplement incapable de supporter une augmentation des taux, et même leur maintien.
En ce qui concerne, d'ailleurs, l'industrie du transport aérien, le salon du Bourget semble relever un certain caractère poussif. Les commandes ne sont pas à la hauteur, loin de là, bien qu'une bonne partie de la flotte aérienne soient clouée au sol encore, à cause des turpitudes de boing boing.
Bref, en plus du pic charbonnier, du pic pétrolier, aurait on aussi atteint le pic nourriture ???
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