IL FAUT TOUT CHANGER POUR MERDIAPART...

Il faut tout changer pour merdiapart. Enfin, dans l'immobilier. Pas pour le reste de la politique, qu'est trop génial, comme l'émigration clandestine.

Comme la cohérence ne les étouffent pas, une personne qui rentre d'un pays sous développé, c'est une personne qui consommera 3.7 tonnes d'équivalent pétrole + 40 % en produits d'Asie, + les vacances au pays.

Les rénovations sont insuffisantes et en nombre insuffisant. Leur viendrait il à l'esprit que c'est peut-être des questions de coûts ? Et que les choses doivent être faites progressivement, et que l'électorat macronien de plus de 65 ans, n'a pas forcément envie de réhabiliter, d'abord parce qu'il n'en voit pas l'usage, et qu'ensuite, il préfère les voyages ?

Donc, il faut tout changer, parce que, loin de faire 500 000 réhabilitations par an, on serait plus près des 20 000 réels et adéquates.

le niveau requis de chauffage (19 °) est allégrement dépassé, là aussi, par une population pour laquelle le chauffage est un droit acquis non négociable à 21 °. Quad à l'abaisser à 17 °, faut pas rigoler.
Pourtant, c'est de cela dont il s'agit principalement. Baisser la température d'un degré, c'est 7 % d'énergie économisée. C'est phénoménal.

Mais, bien entendu, pas question de parler vrai, et donc, d'aboutir à une approbation de la population.  Dès fois que la démarche négawatt serait efficace : "d’abord on fait de la sobriété, puis de l’efficacité et ensuite des renouvelables".

De toute façon, si un humain sur sept seulement a pris l'avion, en France c'est 1 sur 2, et c'est largement plus chez les macroniens, de l'ordre de 90 %. D'où l'impossibilité de changer, sans effondrement.

La répartition de l'énergie, c'est aussi une facette de la lutte des classes. Economiser près de 30 % du chauffage en abaissant de 4 ° la température de chauffe... C'est la découverte d'un gisement de pétrole fossile...