TOUT CONTINU A BAIGNER !
"Pisque" on vous le dit.
Nouvelles du monde, d'ailleurs encourageante, "seulement", 770 000 morts du sida l'an dernier. Perso, j'aurais pensé que c'était très important, pas une très bonne nouvelle, mais je ne dois pas être à la page. C'est une pandémie, tenue en laisse POUR L'INSTANT, mais qui n'attend que l'occasion de flamber à nouveau. Et qui la trouvera. Un virus, ça n'est pas pressé, ça peut vivre des millions d'années en attente.
L'épidémie de fièvre Ebola fait encore parler d'elle. Elle a atteint une ville de 2 millions d'habitants, mais visiblement a été contrôlée. Bon, pour l'Afrique, le contrôle est quand même toujours très relatif.
Super bactérie mangeuse de chair aux USA, qui entraine des décès spectaculaires.
La faim dans le monde gagne du terrain pour la troisième année consécutive, nous dit on. Sans doute parce que c'est la "reprise" ? En réalité, on est sans doute bien loin d'une réalité explosive, balayée sous le tapis du politiquement correct. "La faim fait rage mais a disparu de l'agenda politique". Dans la même tranche de population, on voit des mal nourris obèses. Dans les 2 cas, tout indique un problème alimentaire grave. Parce qu'on passera très vite des problèmes d'obésité, aux problèmes d'approvisionnements. En réalité, le seul remède à la faim et à l'obésité, c'est la fin du libre échange, et le retour de l'autonomie alimentaire, pays par pays. Une vision nettement plus réaliste de la situation est celle-ci : "Aujourd’hui, 2 milliards de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire et plus de 820 millions souffrent sévèrement de la faim". Donc, la faim concerne 2.8 milliards d'habitants, et l'obésité crée par une nourriture bon marché (pour les pauvres) concernait 2.2 milliards d'habitants. Mais c'est le même problème, sous un aspect différend. 5 sur 7 milliards, le monde n'est pas sorti de la grande famine de 2008, et là, il faut parler de grande famine, parce que c'est ce qui s'est réellement passé, une répétition de l'avenir, en plus grand et plus explosif. Et plus mortel.
On voit ici le contraste, symbolisé en France par Marseille. Une nette césure entre classes sociales, avec lieux de résidences séparés et une impossibilité d'une grande partie de la population d'accéder simplement à l'emploi.
Chose confirmée par une autre donnée, 44 % des français ne partiront pas en vacances, et sur le reste, 2/3 chez des amis, parent ou connaissances... Là, on peut observer une dynamique descendante, là aussi indexée sur les prix du pétrole et le coût des locations.
Pendant ce temps là, la gourmandise et la déprédation se laissait aller à un libre cours indécent. De Rugy démissionne. Le "représentant du peuple", en réalité, tenait plus de "Gala", que de banlieue... Mais à la lueur d'autres faits (Le forçant à participer à des banquets à l'insu de son plein gré, on aurait forcé De Rugy à se gaver de homards et de champagne ???), on se serait acharné sur ce pôvre hère. Pas étonnant qu'ils ne trouvent personne à LREM, ils échouent tous au test de QI : "Oh là là là là, 80 de QI ? Mais vous êtes trop intelligent, chez nous, il faut pas dépasser le 70 !"
Côté pauvres, GIFI a le vent en poupe et remplace Tati (en fermant quelques magasins, bien sûr), ce qui indique un tassement de gamme évident. Mais il faut reconnaitre un mérite à GIFI : quand j'ai des humeurs dépensières, je vais vite les calmer en les visitant. Voir un magasin GIFI, moi, ça me coupe mes envies d'achats. Donc, 100 magasins changeront d'enseigne, sauf le mythique, à Paris, 13 vont fermer, et 189 salariés vont aller se faire voir chez Paul (lemploi).
Il parait que les français n'ont aucune raison d'être GJ, qu'ils sont riches. que ma majorité fait partie des 10 % les plus riches au niveau mondial. On oublie simplement, que cette "richesse", est faite de dépenses de plus en plus contraintes. On augmente, un peu, chaque année, ces dépenses contraintes. A la fin, cela finit par ne plus laisser aucune marge de manoeuvre.
Début de livraisons des S400 à la Turquie, qui met le pays sur une voie de collision avec l'Otan et les USA, et de sa propre armée de l'air, américanisée jusqu'à la moëlle et dont le pouvoir se méfie terriblement.
Toujours au moyen orient, retour sur terre. Les gisements "géants" de gaz, finalement, auront beaucoup de chance s'ils arrivent à satisfaire les pays producteurs, et leurs voisins immédiats. L'export au loin, notamment pour l'Europe, c'est de la littérature, et de la marginalité, sinon à des prix tellement indécents que pas 1/10 de la population ne pourra s'en payer. De plus, 15 ans de production, ils n'auront même pas le temps de construire les infrastructures pour exporter au loin. Il a échappé à nos brillants cerveaux que la population avait énormément augmenté dans la région, qu'elle avait la capacité d'avaler la totalité de la production locale. De même south Pars North dome, même si l'on construit les gazoducs, ce qui nécessite 10 ans, tout sera consommé localement.
Christine Lagaffe est un choix catastrophique pour l'euro, nous dit on. En fait, il n'y a pas besoin d'autre chose qu'une secrétaire, pour appuyer sur le bouton de l'imprimante. En gros, c'est tout ce qu'on va demander au directeur de la BCE. Plus ou moins fort, plus ou moins vite. Quand aux qualités intellectuelles de ladite, il y a belle lurette qu'elle s'est donnée la réputation d'une sotte sans cervelle. Après tout, pour accepter un pareille poste, à l'heure actuelle, il ne faut pas, là non plus, dépasser les 70 de QI.
En matière financière, on voit une autre dérive de la dette mondiale. Elle atteindrait 320 % du pib, à 246 000 milliards. En fait, on ne sait pas trop le vrai montant de la dette mondiale. L'information essentielle vient du fait que cela voudrait dire qu'on a un pib de moins de 80 000 milliards de $. D'ailleurs on voit sur les 2 schémas du PIB mondial, une invraisemblance.


Donc, visiblement, on a eu un simple rattrapage depuis 2008 qui se traduit par une envolée du pib de 15 000 à 20 000 milliards ? Invraisemblable...

On voit ici aussi, que même les chiffres faisandés du pib n'arrivent plus à être montés au cric. Et cela depuis plusieurs années. Sans doute 2008-2017 sont ils les derniers avatars d'une "comptabilité créative".
A tout seigneur tout honneur, "truck apocalypse" aux USA. Visiblement, c'est la débandade dans le transport routier, et la classe ouvrière qui y était recyclée.
Pour le 737 et boing boing, visiblement, c'est plié. A moins d'être gorgée de subventions, la firme est d'ores et déjà, condamnée. Elle n'arrivera pas à remonter la pente, et c'est bien fait. 48 milliards de confiture au cochon par les rachats d'actions, qu'on a voulu économiser en créant un avion au rabais.
"Le fait que les actionnaires de Boeing aient réclamé des bénéfices plus importants est l’une des principales raisons pour lesquelles la société a créé le 737 MAX en bricolant à partir de l’ancien 737 NG. Sinon elle aurait construit un avion à partir d’une feuille blanche comme prévu à l’origine. Les actionnaires ont gagné beaucoup d’argent lorsque Boeing a dépensé quelque 48 milliards de dollars en rachats d’actions. Ce n’est que justice qu’ils soient saignés maintenant pour résoudre les problèmes que leur cupidité a causés à l’origine. "
On voit le même problème que dans toutes les grandes entreprises US. Oubliant la règle d'or, qui voulait que le dividende, c'était si on pouvait, avec de petits montants, ils en ont fait une autre. Rockfeller, le créateur, lui, veillait à faire sortir le moins de liquidités possibles, préférant payer par des échanges de titres de la standard oil, qu'il créait à cette occasion. D'ailleurs, loin de racheter les actions, il préférait en créer en masse. Et les dits bénéficiaires de ces créations firent d'excellentes affaires.
80 % des commandes de boing boing sont civiles, et sur ces 80 %, 80 % sont des 737... Qu'on peut appeler les merdes volantes...
Pour conclure, le coup de ripolin qu'offrent les statistiques officielles, correctes politiquement parlant, masquent de plus en plus mal une réalité de plus en plus horrible.