ELEVAGES EN BATTERIES...
6 Août 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Immobilier
L'humanité, nous dit un article, va vivre dans des "super villes", dans lesquels, Paris ne sera que la 67°, avec ses mignons pitis 12 millions d'habitants.
Bien entendu, il a totalement échappé dans ce jeu du "tout con" (Il a échappé totalement aux têtes vides que la vie n'est pas un tableau excell, et que l'on ne se contente pas de prolonger les courbes. ), les réalités physiques. Entreposer 20 millions d'habitants à un endroit, cela suppose de les abreuver, les nourrir, les approvisionner en tous, et d'évacuer leurs merdes en tous genres. Déjà, souvent, avec 200 000, on n'y arrive que pas peu ou très mal, du moins, a le faire bien, qu'on peut se poser des questions sur la santé mentale de ceux qui font les projections.
Il est déjà miraculeux, le niveau qu'on a atteint. Et il devrait encore progresser ?
Bien entendu, il faudra m'indiquer quel source d'énergie supplémentaire on va trouver, pour encore accroitre ces bordels ambiants.
Pour leur avenir, il est tout tracé. Terrains idéaux pour les pandémies en tous genres, on arrivera à un sur-homme, facilement identifiable : il aura survécu aux pandémies, aux coups de feux, et se sera livré au cannibalisme. Bien entendu, quelques décennies plus tard, on aura un pitite épidémie de Maladie de Creutzfeld Jacob, ici en l'espèce, de Kuru, mais on s'en fout.
Là aussi, on méconnait un fait. Les grandes agglomérations sont essentiellement possible par une certaine efficacité de la médecine. Mais celle-ci atteint des rendements décroissants. Avant que ne se manifestent d'autres agents infectieux, qui feront la différence.
Je me rappelle, un très vieil article de 1972, portant sur une ancienne cité, Montbrison. On donnait à cet ancienne cité, un coefficient de 0.8. C'était le renouvellement de la population à chaque génération. Sans un apport constant des campagnes environnantes, la mortalité y était telle que les populations n'arrivaient pas à se renouveler, malgré une natalité débridée.
Les familles résidentes, n'arrivaient à se maintenir qu'en prenant un conjoint extérieur. Un jour ou l'autre, les arbres cessent de grandir. Et meurent.
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