REECRITURE...
31 Octobre 2019 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
L'UE veut réécrire la seconde guerre mondiale, en diabolisant les russes.
Les génocides perpétrés par l'URSS se cherchent. Si Staline recourait fréquemment aux déportations de masses, que ces déportations furent meurtrières, elles n'atteignirent jamais celle des nazis, ou même que la déportation des cherokees sur la route des larmes.
Aucun peuple de l'URSS n'a disparu sous Staline. Quelques uns ont été assimilés à quasiment 100 %, mais pas par meurtres.
Par contre, le libéralisme, le néo-libéralisme, ont été effroyablement meurtrier en occident. Faut il rappeler la Grande Famine d'Irlande ? De même, les déportations de pauvres aux Amériques. La mortalité chez eux atteignait facilement 80 %. On peut penser aussi au bilan de l'exode rural, qui se chiffra aussi, en dizaines de millions de morts. La grande dépression aux USA a sans doute coûté ses 10 millions de morts.
Il est clair aussi que Staline pensait que la guerre éclaterait avec l'Allemagne, mais sans doute souhaitait il ce report si fort qu'il y cru. Son optique était d'avoir le temps de refondre son armée, assez négligée.
Quand à Vlassov, il faut vraiment être bête comme une pierre pour le voir comme un partisan de la démocratie et un ennemi de la tyrannie. Il était très bien considéré, avant sa capture, à Moscou. Et d'ailleurs, son armée affronta l'armée allemande dans les rues de Prague, en mai 1945. Vlassov était une girouette.
L'histoire, c'est comme une besace. Une besace de devant pour les défauts des autres, une de derrière pour les siens.
Si l'on veut voir dégouliner le sang, il suffit d'ouvrir n'importe quel livre d'histoire, à n'importe quelle page. Mais les pages les plus sanglantes sont écrites, non par les généraux, mais par le fonctionnement des systèmes économiques, leurs défaillances multiples et répétées, mais jamais remises en question.
Tous les systèmes économiques divergent avec la réalité. Ils ont pour point commun de nier ce fait. Et les moments sont rares, où les petites gens sont pris en compte. Mais cela fait partie de l'ordre des choses.
Comme les famines russes, "normales", quand régnaient les tsars, devenus "abjectes", sous le communisme.
Les députés européens n'ont rien d'autre à faire que de se livrer à un exercice de crétinisme généralisé ???
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