RESET GLOBAL ET PIC PETROLIER.
Finalement, j'ai une fâcheuse impression. Je la partage ici, même si ce n'est qu'un hypothèse qui n'engage que moi, mais je vois bien qu'on cherche des explications. Mon blog voit un afflux de lecteurs, sans doute inquiet de savoir ce qu'il en est de la pandémie.
Fatih Birol doit annoncer une réduction de la production de pétrole 2020-2030, de 101 millions de barils, à 61. Donc, 40 %. C'est cohérent avec la déplétion des gisements classiques (entre -5 et - 7% l'an), et des gisements de schistes (-40 % l'an). Les USA ne survivraient pas, économiquement, à la fin de la fracturation...
Rajoutons, la déplétion charbonnière aux USA, et en Chine. La béquille de secours, le gaz, le méthane, est dans l'histoire un peu plus que léger.
Donc, on peut paniquer les foules avec les couillonnades de réchauffement climatique anthropique, mais on se retrouve quand même, devant un problème maousse costaud.
Donc, il serait logique que un ou des états profonds aient choisis l'effondrement contrôlé, comme le 11/09, pour faire un reset de l'économie mondiale, qui, de fait, est irréformable.
Seuls les pingouins du gouvernement français semblent s'attacher comme le chien à son vomi, au libre échange mondialiste. Le gouvernement allemand, lui, interdit les exportations de matériel médical. En gros : démerdez vous. Fuck mondialisme et libre échange. Dans l'histoire, il faut rendre hommage au gouvernement chinois, qui n'a pas hésité devant le coût économique du coronavirus, à prendre des mesures drastiques. Je ne pense pas que LUI soit responsable de l'effondrement contrôlé.
Comme je l'ai dit pour le transport aérien, une perte de 113 patates, pardon milliards, n'est pas amendable, contrôlable, et il n'y a pas de rebond possible, sauf nationalisation, et de fait, toute l'activité économique va être nationalisée par les banques centrales, dans un grand déluge monétaire.
Cerise sur le gâteau, si le virus est peu meurtrier, il nettoie la planète des gens en fin de vie, soulageant, à terme, toute la machinerie économique de gens coûteux et qui ne seront plus jamais productifs...
Nomura, oscille entre comique et pillage de mon fond de commerce. C'EST MOI QUI LE PREM'S AIT PARLE DE CRISES EN LLLL SUCCESSIFS... Pas de V (comique en ce moment), les optimistes parlent de crise en U, et d'une "croissance" à zéro sur l'année. Déjà, il faut être indécrottablement optimiste pour parler de croissance à zéro. Moi, sur l'année, je parlerais de crash à - 25 %, et là aussi, je suis très optimiste, mais plus vraisemblablement, de - 50 %, avec la fin de l'économie méthamphétamine dite "de service". Un type franchement moins optimiste que moi dirait - 75 %. Avec un tas de secteurs à l'arrêt définitif. Ou redémarrant à 25 ou maximum 50 % des capacités de 2019...
La Mecque et kaaba sont totalement vides...
Alors, parler d'une récession de seulement 1.5 % en Chine au premier trimestre, c'est franchement délirant. Il n'y a, tout simplement, quasiment plus d'économie chinoise, et dans un deuxième temps, plus d'économie mondiale.

Il y a simplement une chose très laide, selon les libéraux, des états qui continuent à exister, même malgré les nombreuses agressions que les dits leur ont fait subir. Mais les mondialistes libéraux ont totalement disparu sous terre.
Gag : des connards voulaient privatiser ADP...
SuperGag : " This is an abnormal global economic slump". Les crétins de Nomura ne savent pas que nous vivons sur terre et que les pandémies humaines sur terre font partie de la normalité.
Quand le gouvernement français veut continuer à faire comme avant, il oublie simplement que l'effondrement économique peut arriver simplement. Quand les gens restent chez eux, par exemple. Et il y a beaucoup moins de gens dehors... Et qui se dispensent de dépenser...
Je le répète Greta Thunberg n'est qu'un alibi, une coconne, une gourde à couette, faite pour manipuler à grande échelle. La vérité est beaucoup plus simple. Nous arrivons au point de rupture, et comme le dit fatih Birol, la production va fortement baisser pendant cette décennie. L'agence internationale de l'énergie qui parlait, elle aussi, codée, parle de plus en plus claire, parce qu'elle n'a plus le choix.
Le prix du pétrole, quand à lui, n'a aucune chance de se maintenir. C'est bien là, ce que se situe le problème dudit pétrole. l'extraction des installations existantes va se poursuivre, pendant que les nouvelles installations se raréfieront.
Fatih Birol, lui, prend acte du fait. Nous sommes au pic pétrolier, tous pétrole. Le schiste n'aura été que la chose d'une décennie.