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NAUFRAGE EN TOUS GENRES...

12 Mai 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités, #Economie

Toulouse d'abord, la région toulousaine, en général, est en train de sombrer, au fur et à mesure que le défunt constructeur aéronautique appelé airbus, voit son carnet de fondre, comme un cancéreux voit fondre sa masse corporelle.

Toulouse, donc, va vite virer "Detroit", "Baltimore" ou "Flint". Parce que, justement, l'aéronautique a fait place nette, et a détruit le reste de l'économie dans la région, ne laissant finalement, qu'une portion congrue au "reste" productif.

On peut comprendre aussi que Juppé a eu raison de se barrer de Bordeaux, qui sera emporté, comme tout le reste de l'Occitanie dans un krach économique phénoménal.

Naufrage aussi des masques, qui se continue en France : "Le gouvernement prêt à accélérer la production de masques français". Bon, pour moi qui ait traité de longue date les membres du gouvernement de lauréats et vainqueurs de diners de cons, je dois saluer ma propre clairvoyance. Bon, je sais, ça ne se fait pas, mais moi je le fais quand même.

Patrick Artus nous dit de ne plus nous inquiéter de la dette publique. Elle ne sera jamais remboursée. Monétisée directement en Grande Bretagne, désormais, la première à abandonner la monnaie dette, elle qui l'a crée en 1694, on reste, ailleurs, dans l'hypocrisie. Les banques centrales rachètent quasi immédiatement les obligations émises.

Naufrage aussi, des médias, qui perdent leurs recettes de publicité. Les entreprises sabrent leur budget publicitaire. Les jeux du cirque sont finis aussi, avec les débiles privés de JO, de foute, et d'autres choses.

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L
http://fossilisme.over-blog.com/article-2431656.html<br /> <br /> TOULOUSE 2006
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L
concernant Toulouse je remet deux de mes articles de .... 2006 !<br /> <br /> http://fossilisme.over-blog.com/article-1502550.html<br /> <br /> http://fossilisme.over-blog.com/article-3652541.html
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L
ONLI Hebdo #34 – Loi Avia et auto-amnistie : c'est la panique ! - Egalite et Réconciliation<br /> https://www.egaliteetreconciliation.fr/ONLI-Hebdo-34-Loi-Avia-et-auto-amnistie-c-est-la-panique-59356.html<br /> <br /> Bonne analyse de la loi Avia et surtout de ses limites. La même loi existe depuis des années en Allemagne et s'est révélée à 80 pour cent inopérante par effet de masse.<br /> Gérer un tel volume de "haine", pour reprendre la terminologie consacrée, devient vite ingérable d'abord par engorgement des procédures. Encore que la justice teutonne n'est pas dans l'état de sinistre de son homologue française.<br /> Et puis, comme le souligne les auteurs, le conflit entre les officines de pression et les autrement plus puissantes transnationales du net, à terme, est inévitable.<br /> Face à ce genre de loi panique, le mieux est encore de redoubler "de haine" en la cultivant par toutes les brèches.<br /> Une guérilla permanente.<br /> L'idéal serait que le régime de Macron en vienne à créer un impôt sur la haine, pour être bien sûr que tous les contrevenants / garnements soient punis.
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L
OK, alors tais-toi...
S
C'est ça. Tous ceux qui peuvent continuent de s'exprimer, il n'y a que 60 000 places de prison, et pas assez de flics pour courir après tout le monde.
C
Artus a au moins le mérite... d'être cohérent.<br /> <br /> Et honnête ("les banques centrales ne sont plus indépendantes", "instabilité financière", "hausse prix des actifs" etc.)<br /> <br /> Autre argument lucide : "tous les pays font la même chose"... donc ça réduit le risque de "perte de confiance dans la monnaie" (hyperinflation).... "les taux de change sont très stables".... "risque de fuite dans les actifs réels" (bulle immo etc)<br /> <br /> Il explique bien, avec une grande ingénuité... le fonctionnement intime du système et ses évolutions futures.<br /> <br /> Les commentaires sur le site sont typiques : incrédulité, critiques etc. On le prend clairement pour un vrai dingue.<br /> <br /> Sauf que... on y revient toujours : depuis le début des années 90 on annonce la fin du Japon... Depuis 2008 on annonce l'explosion du système en Occident, trop de dettes etc. Puis récemment c'était la fin de la Chine (là encore trop de dettes etc.)<br /> <br /> Et ?<br /> <br /> Rien. Enfin, si, on continue, on augmente.<br /> <br /> Mais ça tient toujours.<br /> <br /> Perso il y a 2 points que je critique : le "macro prudentiel" (franchement vaseux) et l'idée que les hausse des impôts ne seraient plus "nécessaires" (puisque la dette ne coûte rien) et que donc elles n'auront plus lieu.<br /> <br /> Trop naif.<br /> <br /> On n'augmente pas les impôts pour rembourser ou payer la charge de la dette. Ca c'était le "monde d'avant".<br /> <br /> Dans le monde covidiotique... on taxe pour CONTROLER LE CHEPTEL, pour l'épuiser (nerveusement, physiquement, intellectuellement... et financièrement), et donc le rendre docile, soumis.<br /> <br /> Pour synthétiser : les gens sont trop honnêtes. Ils continuent de croire que la "monnaie" c'est honnête. Qu'il y a des "lois". Que les "dettes" ça se rembourse etc. Ils réfléchissent en... bon père de famille si l'on veut. C'est la common decency.<br /> <br /> Or... le Réel est très différent. Le Réel est une gigantesque arnaque répétée et collective. Au profit d'un petit nombre. Et ce petit nombre sait manipuler les représentations du Réel.<br /> <br /> Aucune banque n'a fait faillite après 2008 et le sacrifice de Lehman.<br /> <br /> Aucune banque ne fera faillite après la covidiocie.<br /> <br /> Aucune grande société ne fera faillite.<br /> <br /> Tout va très bien pour elles, merci.<br /> <br /> L'idée que le Système va tomber pour des raisons "comptables", ratio dettes sur PIB, taux d'intérêts, taux de change, taux d'inflation et autres calculs synthétiques et farfelus... est une ABERRATION.<br /> <br /> Exemple concret : le chômage de masse va détruire le système. Eh non... L'état "paye" les salaires. Et on pousse l'idée du revenu universel. Les allocations perpétuelles existent déjà.<br /> <br /> Seule la baisse, en valeur absolue, des ressources physiques... a un vrai pouvoir de destruction.<br /> <br /> Pétrole, métaux, bouffe, eau potable.<br /> <br /> Nous n'y sommes pas encore.<br /> <br /> Une "conspi" auquelle perso je peux souscrire : le couillonavirus aurait été lâché pour dissimuler/donner alibi à une baisse (grosso modo) de 10 % des ressources dispo.<br /> <br /> Un PIB global qui chute de 10 %, ramènerait notre conso de ressources physiques au niveau possible à l'instant T.<br /> <br /> L'idée selon laquelle le maximum d'extraction tout pétrole a été passé (et qu'il sera impossible à atteindre de nouveau)... accréditerait cette thèse.<br /> <br /> Au lieu d'admettre la baisse en valeur absolue des ressources, ce qui reviendrait à admettre la fin du système, on couillonainfecte les gens, on leur parle de "monde d'après"... où il y aura moins.<br /> <br /> Et comme par hasard, c'est le story telling poussé par les bobos (songez à l'appel lancé par Binoche et ses copains dégénérés d'Hollywood), les médias, les politiciens etc.<br /> <br /> Bref, ça signe le crime.<br /> <br /> L'élément clé qui signe l'arnaque du couillonavirus... est son timing. Trop parfait.<br /> <br /> Mais en attendant, et paradoxalement, Artus... est parfaitement dans les clous.<br /> ;-)
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A
Au fil des années, toute la filière agricole touchée par la baisse des revenus.<br /> Dernier en date : les viticulteurs. <br /> <br /> Coronavirus : frappé par une série noire, le monde du vin juge le plan d'aide insuffisant<br /> https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/coronavirus-frappe-par-une-serie-noire-le-monde-du-vin-juge-le-plan-daide-insuffisant-1202370<br /> Le gouvernement s'est engagé à effacer les charges patronales des exploitations viticoles les plus affectées par la crise à hauteur de 100 millions d'euros. Une enveloppe de 140 millions d'euros financera la distillation des 2 millions d'hectolitres de vin en excédent. Paris renouvellera à Bruxelles la demande d'un fonds de compensation des surtaxes Trump de 25 %.
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A
https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/coronavirus-toulouse-aeronautique-40-000-emplois-directs-menaces_33538673.html<br /> extrait :<br /> Nous allons donc vivre une période, deux ans, durant lesquelles les entreprises vont devoir retrouver leurs réserves. Cela va se traduire par des économies sur les investissements et sur le fonctionnement. Ceux qui avaient prévu d’investir massivement vont retarder leurs investissements. Pour ce faire, les entreprises vont travailler un peu différemment et faire perdurer ce qu’elles ont mis en place pendant le confinement, c’est à dire réduire les déplacements et donc les frais, pour privilégier le télétravail et la digitalisation des rendez-vous professionnels ».<br /> <br /> => avec çà, c'est massacre sur Air France et la SNCF.
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A
années 80<br /> Affaire du sang contaminé<br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_sang_contamin%C3%A9<br /> <br /> 2020<br /> Olivier Berruyer: « Scandale: les élus viennent de voter en commission au Sénat une amnistie pour déresponsabiliser pénalement les responsables politiques qui ont exposé ou exposeront la population à des contaminations au COVIDー19 ! »<br /> https://www.businessbourse.com/2020/05/12/olivier-berruyer-scandale-les-elus-viennent-de-voter-en-commission-au-senat-une-amnistie-pour-deresponsabiliser-penalement-les-responsables-politiques-qui-ont-expose-ou-exposeront-la-population-a/<br /> <br /> Apres la défiance envers les politiques et la 5ème république va encore augmenter.<br /> Tendance vers le moins d'état dans le futur ?
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V
Jusqu’à quel point Obama s’est-il compromis dans l’enquête russe ?<br /> https://fr.sputniknews.com/international/202005121043765620-obamagate-jusqua-quel-point-obama-sest-il-compromis-dans-lenquete-russe/<br /> <br /> Des pirates informatiques frappent le cabinet d'avocats de Lady Gaga, Drake,Madonna, De Niro, barbra steisand etc etc ...+ de 756 giga de données ...<br /> https://www.bbc.com/news/technology-52632729<br /> <br /> Il semblerait que les accusations d'instrumentalisation illégale des services de renseignement sous l'administration Obama pour déstabiliser la campagne de Donald Trump, se précisent autour du cas du Lt-Gen Flynn.<br /> <br /> À suivre.
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L
Le même Flynn qui était l'homme fort du Renseignement militaire engagé dans une guerre à mort avec la CIA, le bras armé des néo cons. On l'avait cru mort politiquement alors qu'il vient de renaître tel le Phoenix.<br /> Comme quoi Trump ne serait pas la girouette imprévisible que certains se plaisent à décrire.<br /> À noter que le principal informateur de Flynn aurait été Julian Assange (qu'en pense le petit Branco ?).<br /> Tout cela est chez Cossette-Trudel dont je me lasse de donner le lien (noter aussi qu'il est le fils de Jacques Cossette Trudel, l'un des auteurs de l'enlèvement et du meurtre de Pierre Laporte en 1970 -qui ouvrit la grave "crise d'octobre" au Québec--et réfugié à Cuba ensuite).
A
Je ne veux pas m avancer mais si vraiment tout ça se précise dans les mois qui viennent, c'est peut-être la fin de l état profond occidental car tous sont impliqués : Clinton-Bush-Soros-Sarkozy-Macron etc, etc, etc...<br /> Vous risquez d en apprendre de belles sur Theresa May et Merkel.<br /> Ce que je crainds le plus c est qu avant de disparaître ils ne jouent les cartes du Krach bancaire et de la guerre civile.<br /> Dans ce dernier cas, il faudra que l'armée en France prenne ses responsabilités.
S
Le reflet des 2 désagréments d'Airbus. Un, c'est devenu une entreprise "européenne" avec son lot de fabrication réparti sur quasi l'ensemble de pays de l'UE, affaiblissant les capacités d'innovation et de multiplicité de réalisations des sous-traitant français. Deux, la saga Airbus et son emprise locale, voire régionale sur l'ensemble des activités industrielles aboutit à une monoculture. Lors d'un problème, qui peut durer comme le virus, le choc est forcément rude et avec peu de possibilité de rebond. Un peu comme la fabrication des principes de base des médocs. Donc que ce soit la Chine pour les médocs ou l'Occitanie pour les avions et ses pièces, hors l'éloignement, même risque.
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L
Emmanuel Todd : « Macron n’est plus républicain »<br /> https://lvsl.fr/emmanuel-todd-macron-nest-plus-republicain/<br /> <br /> Autre texte clé pour comprendre le naufrage, celui de Todd extrait d'une interview dont j'avais déjà donné le lien ci-dessus. <br /> Il explique pourquoi l'idée d'une " nation d'entrepreneurs" lestée de la tutelle de l'état (forcément étouffante), laquelle traîne aux basques des élites françaises depuis un bon demi siècle est historiquement absurde dans le cas de la France. <br /> Dans un entretien récent avec P. Jovanovic, P-Y Rougeyron ironisait sur ce que signifiait en fait une "start up Nation", sachant qu'une start up est une structure éphémère destinée à grandir le plus vite possible pour être revendue le plus vite possible et le plus cher possible. <br /> On a donc bien compris le véritable projeeeeet de Macron. Devenir milliardaire. <br /> <br /> Interview de Todd :<br /> <br /> LVSL : Grâce à l’État, s’est opéré un rééquilibrage industriel des villes qui avaient une industrie moins développée que dans les régions du Nord et de l’Est. Le keynésianisme permettait de développer les régions en retard grâce à l’égalité territoriale. Pensez-vous que l’État joue toujours ce rôle ?<br /> <br /> E.T. : L’État est essentiel. Cependant, le Rhône-Alpes et l’Alsace peuvent survivre sans l’État central. Actuellement, le Sud-Ouest, avec Airbus à Toulouse, est en train de remonter en puissance malgré le désengagement de l’État. Dans la mesure où l’industrialisation en France avait beaucoup dépendu de l’action de l’État, l’attitude anti-étatiste qui dénonce le colbertisme, dans un contexte européen de régionalisation, aboutit au désarmement unilatéral de la société française dans son activité économique. <br /> Macron ne peut comprendre (il n’est pas le seul) que les deux tiers de la France ne sont pas doués pour devenir des pépinières d’entrepreneurs ou la start-up nation qu’il appelle de ses vœux. Un anthropologue le comprend, l’historien le devrait. Mais un énarque ? Travaillant sur l’Invention de l’Europe, j’avais fait une carte de la population active du secteur secondaire qui constatait la fragilité du tissu industriel français. <br /> <br /> Aucune région de l’hexagone ne possède, à la veille de l’entrée dans l’euro, la densité industrielle de l’Allemagne du sud ou de l’Italie du nord. <br /> <br /> L’industrie italienne, concentrée dans la vallée du Pô, un peu dans la Toscane puis dans sa phase de rattrapage récente en Vénétie, ne dépend pas de l’État car elle a une base familiale. L’Italie a succombé car son niveau éducatif n’augmentait pas assez vite dans le supérieur scientifique. Elle s’est trouvée en grande difficulté dans l’Europe ultra compétitive et dans la zone euro parce qu’elle n’avait pas les industries de pointe que possède la France. Sur ce point nous avons un avantage : l’existence des grandes écoles scientifiques françaises, Polytechnique, les Mines, Centrale et autres, qui sont fondées sur un système de concours généralisé sélectionnant des gens bons en maths.<br /> À l’inverse, le concours de l’ENA sélectionne ceux qui pensent que l’euro fonctionne. C’est un filtre de déqualification car cela vous assure que le concours de l’ENA sélectionne ceux qui ne pensent pas par eux-mêmes. Cette école opère une sélection systématique des inadaptables à la réalité.<br /> <br /> L’action de l’État dans la vie économique dépendait des grandes écoles scientifiques. Leurs corps ont permis à la France de développer des industries de pointe, d’avoir un système ferroviaire hyper-performant quand j’étais gamin, d’être pionnier dans l’énergie électronucléaire, d’avoir Airbus. Tout ça, c’est l’État. L’investissement fondamental n’est pas matériel, mais intellectuel. <br /> C’est là le vrai drame de la France : on perd l’investissement et l’énergie des polytechniciens, mineurs, centraliens et les autres qu’on fout en l’air en les faisant boursicoter dans des salles de marché, tout en attendant que se lève, sur le territoire national, une élite d’entrepreneurs, grâce à une monnaie censée faire monter en gamme les industries, alors que la matière humaine ne suit pas. Bientôt, il n’en restera rien, particulièrement dans le bassin parisien.<br /> Certes, l’Alsace survivra en se reconnectant inévitablement à l’Allemagne, la région Rhône-Alpes également grâce à sa structure familiale et entrepreneuriale provenant de sa paysannerie originelle. On observe déjà, je l’ai dit, une remontée en puissance de l’Occitanie. Pour le reste du territoire subsisteront des poches dans certaines régions comme Laval et les régions où dominait la famille nucléaire absolue de l’ouest et l’exploitation familiale dans le monde rural, et enfin la Vendée parce qu’elle a une structure familiale intermédiaire originale, mais pour l’essentiel tout sera dévasté.
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L
Je connais la chanson, on la chantait chez les scouts.<br /> <br /> https://m.youtube.com/watch?v=jS6buofriVY
M
@Christophe, <br /> <br /> c'est parfaitement bien résumé.<br /> la plupart vit encore sur l'illusion d'un "avant" qui n'existe plus.
C
J'aime bien Todd... même si son "hollandisme révolutionnaire" a durablement détruit... sa pertinence. Jusqu'à le disqualifier.<br /> <br /> For ever.<br /> <br /> Son principal problème : sur-intellectualiser. Tout. Et en permanence.<br /> <br /> Dire par exemple que Macron "n'est plus républicain car il veut abolir le système de retraite" c'est doublement absurde.<br /> <br /> Ca veut dire quoi "républicain" ? Rien. On s'en tape. C'est un mot. Qui semble positif dans la bouche de Todd. Mais qui ne renvoie plus à rien de concret, de Réel.<br /> <br /> Et les retraites.... Là encore Todd coupe les cheveux en 18. La fonction de Macron est de ramener nos retraites.... au niveau de notre production.<br /> <br /> Quand on ne produit plus que des butt plug géants, des migrants, des fonctionnaires, des pistes cyclables, des programmes "genrés" à la fac... eh bien mes chéris on a une retraite A LA HAUTEUR, c'est à dire... de merde.<br /> <br /> Macron ou Zobby La Mouche ça n'a aucune importance, et ne fait aucune différence : tout le monde descend... car tout le monde est descendu ! Voilà le programme.<br /> <br /> Macron n'est pas responsable. Les responsables, c'est vous, nous, tous. Et depuis quarante ans.<br /> <br /> La France est tiers mondisée. La France est devenue littéralement africaine. Et donc les retraités baisseront. Au niveau africain. CQFD.<br /> <br /> Sur quelle planète vous avez vu les fameux "docteurs", et "physiciens", et "Molière" dont on dit qu'ils sont très nombreux en Afrique, toucher des retraites... élevées ?<br /> <br /> Hein ? <br /> <br /> Cultiver du manioc, jouer au foot pieds nus et fabriquer des enfants à la chaîne... ça ne mène pas loin.<br /> <br /> Bref, perso, j'en ai marre de ces intellos qui continuent à nous casser les pieds avec leurs jolis discours, déconnectés du réel (Todd en aura mis du temps à simplement prononcer le mot... "immigration"... ce qui là encore le disqualifie).<br /> <br /> Je reformule. La France c'est quoi aujourd'hui, concrètement ?<br /> <br /> -des vieux, conservateurs, bornés, qui font sous eux : les boomers<br /> <br /> -des fonctionnaires, en majorité des parasites<br /> <br /> -des jeunes et étudiants complètement cons, décérébrés par l'EdNat et la propagande<br /> <br /> -et des "migrants" (et enfants de), illettrés, sauvages, qui ne produisent rien à part des activités "africaines" et "nord-africaines" (troc, came, violence etc.)<br /> <br /> -des minorités démentes folles furieuses (LGBT, écolos, indigénistes, liste non exhaustive. En clair des malades mentaux.<br /> <br /> -et quelques mecs encore péchus, encore intelligents voire même brillants... mais qui finiront par tous s'expatrier, comme les Juifs d'Allemagne avant 1939. Ou alors qui se suicideront, saisis par le désespoir et l'effroi.<br /> <br /> Et c'est avec ça que vous voulez avoir une "retraite" ?<br /> <br /> Et qui plus est une "bonne retraite" ? ! Une "retraite républicaine" comme dirait Todd ? !<br /> <br /> J'ai l'impression de parler à un régiment de blondes culcul la praline et toutes couillonavirées.<br /> <br /> Faut se réveiller les gars !
L
C'est clair ! la finance a pris une place centrale dans l'économie globaliste. Si on augmente le nombres de consommateur il faut aussi augmenter la masse monétaires en circulation et les matières premières nécessaires. Pour le pognon y pas de problème, un coup de planche. Par contre pour les matières premières, nourrir 2 milliards c'est bien. Mais 7 ou 10 soit entre 3.5 et 5 fois plus. <br /> <br /> Il est clair que la finance n'as pas les aptitudes a la gestion des stocks. Plus de stocks.<br /> <br /> Toutes les sociétés financiarisé se sont vautrés comme de grosse merde incapable de gérer, ni d'anticipé quoi que se soit. Le nez dans la ligne des champions d'un diné de con. <br /> C'est cela l'économie de service, des services financiers, principalement de l'endettement. de l'endettement . <br /> <br /> C'est clair que cela ne suffira pas a faire redémarrer une activité économique en France.<br /> <br /> C'est la chute ;)) ;))
L
http://www.lacrisedesannees2010.com/2020/04/xerfy-une-vision-tres-claire-du-chaos-mondial-et-de-son-devenir-proche.html<br /> <br /> Dans la foulée du lien que j'ai donné à Christophe tantôt, je me permets de reproduire ce texte d'Olivier Passet que JC Werrebrouck avait mis en ligne sur le blog ci-dessus le 28 avril dernier. <br /> Le genre de texte qui, outre son analyse intéressante des causes du naufrage, m'aide à comprendre pourquoi certaines polémiques -du genre "plus d'état versus plus d'état du tout" ou "fonctionnaires qui bullent versus entrepreneurs esclaves" - sont complètement à côté de la plaque. <br /> Le problème de l'état en France n'est pas d'être trop important, mais bien de l'être devenu en abandonnant son rôle historique de moteur de l'économie pour devenir celui d'assureur omnipotent et prolifique de tous les intérêts privés. <br /> <br /> Texte d'Olivier Passet :<br /> <br /> La crise du Covid marquerait le grand retour de l’État pour certains. Elle nous aurait rouvert les yeux sur la notion de bien commun et redonné une légitimité à l’interventionnisme public. Si cette idée ne fait pas l’unanimité, elle n’en demeure pas moins très partagée.<br /> <br /> De quel retour parle-t-on au juste ? Pour que l’État revienne, encore faudrait-il qu’il ait disparu. Or ce n’est pas le cas. Un glissement s’est opéré depuis plusieurs décennies. L’État producteur a certes régressé. L’État investisseur de même. L’état redistributeur a lui aussi été contesté à des degrés divers selon les pays. Mais globalement, les États des pays de l’OCDE n’ont pas reculé en masse financière. On leur a presque partout conféré le rôle de facilitateur des affaires et de grand assureur final des risques économiques qui est allé crescendo. C’est cette fonction d’assurance, sous des formes diverses, qui prend le pas sur toutes les autres depuis des années.<br /> <br /> L’état s’est maintenu financièrement alors qu’il a déserté peu à peu des pans entiers de la production dont il ne posséderait pas les clefs d’une gestion efficace. Il s’est concentré avec des moyens rabougris sur ses fonctions régaliennes : sécurité, justice notamment. Il continue à assurer un socle commun de production en matière de santé, d’éducation notamment. Mais le bien-fondé de son intervention est de plus en plus contesté : autonomie, gestion privée, augmentation des droits d’inscription ou des tarifs sont la tendance, les banques et les assurances privées revendiquant leur capacité à prendre la relève des États pour financer l’accès à ces services. Energie, transport, télécommunication, tous les services considérés autrefois comme essentiels et stratégiques ont basculé de leur côté dans la sphère concurrentielle, l’État ne conservant que le coût fixe des grandes infrastructures de réseau, et déléguant l’exploitation à des opérateurs privés mis en concurrence.<br /> <br /> Ce glissement a deux conséquences immédiates. Sur ces champs, les principes directeurs qui guident la sphère privée s’imposent : la diversification/segmentation de l’offre, les économies d’échelle et la gestion à flux tendu, à stock, minimal.<br /> <br /> C’est le nerf de la guerre concurrentielle. Appliquer les règles de gestion privée à ces sphères a donc pour corolaire de rompre l’homogénéité de l’offre, de multiplier les gammes, donc de rompre avec le principe d’égalité, de pousser à la hausse les volumes, en matière de transport aérien par exemple, en contradiction avec tous les objectifs environnementaux, et d’abandonner tout ce qui ne relève pas d’une demande récurrente, stable et rentable : fermer les petites lignes régionales, limiter le nombre de lit en hôpital, ou l’appareillage pour en optimiser l’utilisation etc., avec tous les risques et les pertes d’externalités que cela comporte. C’est tout cela qui nous explose en pleine face actuellement. L’aggravation des crises sociales, environnementales et sanitaires nous mettent face à la démission productive des États. <br /> <br /> A côté de cette grande tendance, il y a la montée de la fonction assurantielle. Qui n’a jamais été sacralisée dans les textes. Elle est devenue invasive. Face à l’instabilité du système c’est l’État qui devient le grand gardien du maintien à flot de l’économie. Cela commence par l’emploi. Les entreprises ne veulent plus porter le risque attenant au contrat de travail… qu’à cela ne tienne. C’est l’État qui reprend ce risque en finançant la sécurisation des parcours. Les entreprises ne veulent plus financer les risques attenants au travail (retraite, reconversion etc..) qu’à cela ne tienne, on fiscalise ce risque sur toute la population, ou on privatise les systèmes. L’économie est soumise aux vagues moutonnières de la finance... ce sont, les États renflouent, reprennent les pertes à coup de milliards pour éviter le grand collapse de la finance. Et idem aujourd’hui avec le COVID, où l’État prend à sa charge la moitié des salariés. L’État est devenu une immense tirelire assurantielle adossée à une sphère privée déresponsabilisée. C’est cela le soi-disant moins d’État. Une sphère privée sous tutelle financière, qui n’en finit pas de faire des sorties de route et d’accumuler une énorme dette environnementale. Des États désarmés pour gérer le bien commun, qui récupèrent en revanche tous les risques en dernier ressort dont se sont déchargés ceux qui sont rémunérés pour les porter (les détenteurs de capitaux). Et au sommet des banques centrales dites indépendantes qui à coup de liquidité gratuite sont devenues les vassaux utiles d’un édifice étato-financier "too big to fail".<br /> <br /> Vivons-nous dès lors un retour de l’État ? On peut en douter. Nous vivons au contraire l’apothéose de l’État assurantiel et démissionnaire du champ de la production de biens communs. Une sorte de flexisecurité généralisée poussée à son point culminant. La suite de l’histoire est pourtant écrite d’avance. Les États vont sortir discrédités de la gestion de cette crise, devant rendre des comptes sur les stocks de masques ou de respirateurs qui se sont évaporés. Trop surendettés pour pouvoir reprendre la main sur la question sociale ou écologique. Et d’ailleurs, si l’État producteur de bien commun était de retour, nous le serions déjà. Ce n’est pas seulement les milliards qu’il aurait mobilisé ou les masques importés de Chine, mais les hommes. Sa réponse ne serait pas seulement financière mais réelle. Nos entreprises seraient réquisitionnées pour produire l’indispensable. La Poste serait en première ligne pour livrer les marchandises de magasins qui continueraient leur activité etc… Sa réponse serait déjà autant productive que financière.
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L
Ben didon !<br /> <br /> t en forme ;)) ;))