QUESTION DE STYLE...
"Depuis des lustres, le Parti Démocrate et ses alliés manipulent activement les Américains de gauche pour les éloigner des questions qui pourraient gêner les puissants – des questions comme la justice économique, l’anti-impérialisme, la réduction du budget militaire, l’arrêt de la surveillance gouvernementale et de la militarisation de la police, et même l’argent en politique. Au lieu de cela, ils ont été encouragés à ne s’intéresser qu’aux questions dont les structures de pouvoir ne se soucient pas, comme l’avortement, la misogynie, les droits des LGBT, le contrôle des armes et le racisme."
Marion Maréchal, elle, déclare : "Qu'elle n'a pas à s'excuser d'être blanche". On peut même aller plus loin. Si les anti-fa disent que "tous les blancs sont racistes", que c'est intrinsèque à leur condition de blanc, pourquoi s'en excuser ? On ne doit pas forcer sa nature en faisant ce qui lui est contraire. et se rendre malade... Il faut obéir à son instinct, donc. De même, les humains, de toutes couleurs étant les mêmes au fond, ils sont, donc, tous racistes (l'appellation "blancon", est bien africaine, non ?). "La dénégation du racisme anti-blanc est consubstantiellement raciste".
En plus, traiter quelqu'un de raciste, ça rappelle des souvenirs. "Vipères lubriques", "Trotskystes", "zinovievistes" et même le pire : "boukhariniste" (je sais, là, j'exagère !), tout cela valant bien entendu, au mieux "rééducation", sinon déportation quand il n'y a pas auto-critique. La "rééducation", est appelée "sensibilisation", mais c'est tout aussi chiant.
Blanc ou pas blanc, les puissants traitent, partout dans le monde, les non puissants comme de la merde. Dans les villes démocrates ravagées, on va voir la fuite de beaucoup, comme on a assisté à Detroit ou Baltimore, et les policiers blancs remplacés par des policiers noirs, qui se montreront également violent pour taper sur les "afro-américains", pardon, "négros".... Là aussi, "The Wire" nous éclaire. Les dealers pillent la population, les politiciens pillent les dealers, et se foutent complétement de leurs administrés (sauf au moment de l'élection, quand il n'y a pas des machines à voter truquables) . Les policiers sont chargés de harceler la population -malhonnête ou honnête- et de maintenir le statu quo, sans chercher à savoir où va le fric considérable du trafic de drogue. Faut pas déconner, non ! Le politichien noir aux USA est chargé de garder son troupeau et de pas faire chier. Le président Johnson avait parfaitement vu le problème en 1865.
Floyd aurait eu une mallette de 20 000 $ avec lui, même mal acquise, il aurait eu toutes les chances de voir les flics se faire taper sur les "doit"... C'est comme le mec qui demande 1000 euro à sa banque et se voit demander des justifs tracfin.
"le pasteur Martin Luther King se présentait comme « an American Negro » ; pour lui l'important réside dans le combat pour les droits civiques, les subtilités du vocabulaire étant très secondaires. " Maintenant, on se fout de l'essentiel, pour se focaliser sur des subtilités.
Pendant ce temps, les choses qui fâchent :
- Stéphane Bern vit un cauchemar : il va devoir passer ses vacances en France, chez les ploucs, il fait un "sacrifice"...
- Lufthansa supprime 22 000 postes.
- Flixbus liquide sa filière eurolines.
- 2020 annus "horribilus pour l'économie (mais moins pire que 2021 ?). On l'aura donc dans l'anus ???
Pour conclure : "Archbishop Viganò’s powerful letter to President Trump: Eternal struggle between good and evil playing out right now"...