SUR QUI PARIER ?
23 Juin 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités
"De tous les groupes qui choisissent de s’identifier au sein des anciens États-Unis en décomposition rapide, les libéraux et les progressistes blancs agenouillés présentent le tableau le plus triste de tous. Il y a un autre groupe devant lequel ils devraient peut-être s’agenouiller, si tant est qu’ils le fassent, c’est celui des rednecks lourdement armés. Après tout, c’est derrière ces rednecks qu’ils seront obligés de se réfugier pendant que les noirs et les Latinos s’affronteront (une bataille que les Latinos gagneront probablement). Il est difficile de prédire combien de temps les Blancs d’Amérique devront rester en retrait. "

Orlov a le sens de la formule. Pour ce qui est de la baston Latinos basanés (ou pas), VS Afro-américain, noirs ou négros suivant le nom qu'on veut leur donner, je crois que le pronostic peut être vite fait entre les geignards sans caractère et les guerriers nombreux, organisés et décidés.
En un mot, je parierais pas un kopeck sur les "descendants d'esclaves", qui ne valent pas mieux finalement que les libéraux blancs. Si les blancs libéraux ont été totalement infantilisés, les noirs n'échappent pas au phénomène de débilisation et de féminisation.
les "communautés", noires, ont vu le taux de familles mono-parentales, passer de 25 % (1965) à 75 % aujourd'hui.
En gros, par rapport au massacre mexicain, colombien ou autre, le XXXL noir US de Baltimore fait-très- pâle figure.
"Dans ce contexte, l’effort des Noirs américains et de leurs alliés dans les médias, les universités et au sein du gouvernement pour imposer le Repentez-vous&Payez™ aux Blancs d’Amérique (une démarche purement raciste) est une atrocité. La violence des blancs sur des noirs est utilisée comme excuse, en ignorant le fait qu’elle est éclipsée par la violence des noirs sur les blancs, qui est à son tour éclipsée par la violence entre noirs. Ce qui semble s’imposer, c’est une série de mesures de santé publique qui empêcheraient les Noirs de commettre des actes de violence ; je laisse les détails à votre imagination".
Comme je l'ai dit, même les "bads boys", noirs, font pâle figure face aux sicarios. Et c'est bien là que l'affrontement intercommunautaire risque d'éclater, notamment pour le contrôle du trafic de drogue qu'ils se partagent facilement (avec les emplois de bonnes).
La dissolution est "en marche".
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