CHRONIQUE DE L'EFFONDREMENT : LE RETOUR DU PINARD...
26 Septembre 2020 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités
La plupart des paysans sous l'ancien régime étaient parcellaires. Ils possédaient un grand jardin, sans plus, à l'étage au dessus, un peu plus gros, était l'empoisonneur, le producteur de raisin et de pinard.
On n'était pas regardant sur la qualité, pourvu qu'il y ait la quantité, et si ça pouvait arracher, c'était encore mieux.
En IDF, donc, résurrection de la filière viticole. Paris est sauvé, donc. Avec le grand retour de la viande de rat sur les étals, ça sera complet. Mais pour préciser, chasseur de rats, c'était risqué. Pas à cause des bêbêtes, à cause de la concurrence qui, il faut l'avouer n'était pas parfaite. Et encore moins non faussée.
C'est que dans les catacombes, les rats, ardemment chassé, n'étaient pas assez nombreux pour les chasseurs, qui logiquement, faisaient des plans sociaux. A coups de surins. En plus, ça nourrissait les rats survivants. A défaut, il me semble bien qu'aux alentours de 1400 un pâtissier fut condamné. Il avait zappé l'étape "rat", et faisait ses délicieux pâtés directement avec les clients que son voisin barbier avait égorgé. Il faut que j'arrête, ça pourrait donner des idées à certains.
On peut penser que le vin parisien aura son doux nectar de pollution, mâtinée d'un arrière goût de merde, rehaussé par l'urée répandu allégrement. Je pense, là, n'avoir rien oublié.
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