LE POINT DE VUE DE PEPE (ESCOBAR)...
Pour pépé (Escobar), la présidentielle US s'est jouée entre Bouffon (Trump) et Cadavre (Biden), moi j'étais plus poli en disant vieux débris.
"Aucun tsunami de propagande occidentale ne peut tourner favorablement ce qui est en fait un effondrement idéologique dévastateur, en une ou deux étapes.
L’échec abject du néolibéralisme dans le traitement de la Covid-19 est manifestement évident dans tout l’Occident."
Poutine revient classiquement vers les fondamentaux russes :
"Poutine a fait une affirmation clé sur le rôle du Capital, en soulignant la nécessité « d’abandonner la pratique de la consommation effrénée et illimitée – la surconsommation – en faveur d’une suffisance judicieuse et raisonnable, lorsque vous ne vivez pas seulement pour aujourd’hui mais pensez aussi à demain ».
Poutine a de nouveau souligné l’importance du rôle de l’État : « L’État est un élément nécessaire, il n’y a pas moyen […] de se passer du soutien de l’État »."
On a vu ce qui se passer avec la transition vers l'économie de marché. (Outre les 25 millions de morts).
"« Quel est le plus grand économiste marxiste de la Russie ?
– Egor Gaïdar, car il a réussi en deux ans ce que ni Lénine ni Staline n'avaient su faire : discréditer complètement le capitalisme dans ce pays. »"
En outre, en URSS c'est comme le disait Orlov, le gouvernement qui décidait ce qui était possible, souhaitable ou ce qui était superflu. On peut penser qu'en occident, croisières et voyages en avions vont être classées dans la case "superflu". Les gargotiers et marchands de sommeil parisiens ont du souci à se faire. Bon, avoir classé le PQ comme superflu en URSS, c'est quand même discutable. Mais ça donnait aux retraités des revenus : ils assouplissaient "Pravda" et "Ivestia", pour en faire du papier utilisable...
"« En maintenant l’inflation un peu plus élevée, il sera plus facile pour les consommateurs et les entreprises russes de rembourser leurs emprunts. C’est économiquement plus sain que les politiques déflationnistes des sociétés occidentales »."
Il y a des chances que nous soyons au "moment Gaïdar", des économies occidentales. Le système se discrédite.
Pour la présidentielle proprement dite :
"Remplir l’urne est une escroquerie typique appliquée dans les déclinaisons de la révolution de couleur de république bananière."
"Nom de code Cadavre, dans un lapsus freudien, avait révélé que son parti avait mis en place le système de fraude le plus étendu et le plus « diversifié » qui ait jamais existé."
La suite ?
"En fonction de la suite des événements, les Déplorables deviendront les Incontrôlables."
"L’Occident dans son ensemble est au bord d’un double précipice : la pire dépression économique jamais connue, associée à des explosions imminentes, innombrables et incontrôlables de rage sociale."
"L’État Profond pense donc qu’avec Cadavre – ou, beaucoup plus tôt que tard, la Commandante Kamala – le chemin s’adoucira vers la Grande Réinitialisation de Davos, tout en maintenant le plan B en mode « prêt, feu, partez » : un déchaînement mondial pour satisfaire le complexe militaro-industriel, qui a choisi Cadavre en premier lieu parce qu’il n’est qu’une figure en carton."
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