NIOUZES ENERGETIQUES...
23 Janvier 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie, #Chronique de l'effondrement, #Actualités
En Europe, les sources "pilotables", devront diminuer notablement. En fait de source pilotable, le nucléaire ne l'est absolument pas. Il est surdimensionné au possible.
Seul le charbon l'est, dans les capacités supprimés. C'est d'ailleurs dommage de supprimer ces centrales, qui auraient pu être avantageusement utilisées pour brûler les poubelles dont on ne sait que faire, maintenant que plus personne ne les veut, même recyclées.
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L'état du parc nucléaire devient préoccupant, selon l'ASN, qui fut pourtant béni-oui-oui au possible pendant des années -longues, très longues-. Comme je l'ai dit, toute somme investie un jour, devra être désinvestie un autre. Pour le nucléaire, on y est.
En réalité, "Le Monde", vient de s'apercevoir d'une situation vieille de 20 ans.
Le problème n'est pas de savoir si on va s'en passer, mais quand, et qu'il faudra bien se contenter de ce qu'on a, notamment l'hydroélectricité, avec un niveau de production de 1960.
En Grande Bretagne, il y a une nouvelle révolution énergétique de l'éolien offshore. On peut noter le ridicule français. On est en plein "génie européen", si un pays européen se fourvoie, un autre choisit la bonne voie.
Le problème français, réside essentiellement dans la paralysie du changement technique, l'intervention du pouvoir politique pour se faire, notamment les interventions chiraquienne des années 1980 et 1990 et de Fillon comme premier ministre (voir l'arrêt de la filière photovoltaïque en 2011). Vu l'honnêteté relative de certaine personnages, on peut être tenté par certaines explications désobligeantes.
Bon, du côté des bonnes nouvelles, il y a la montée des eaux qui va détruire moult aéroports. Le seul problème, c'est que la montée des eaux, le réchauffement climatique, c'est que des conneries rapportées par des médias possédés (à 90 % en France), par 7 milliardaires, et par 6 aux USA. Donc, la fiabilité de la source, c'est justement, en dessous du niveau de la mer.
On vient de s'apercevoir, aussi, qu'il y avait eu une grande crise climatique au XIV° siècle. Non ? Il en a fallu du temps, pour que la nouvelle perce.
On a souvent parler de "TINA", (there is no alternative-Il n'y a pas d'alternative), chère à Thatcher, en réalité, là où il y a TINA, c'est bien dans le domaine de sevrage énergétique. Et dans l'effondrement de l'empire Global, qui est son reflet. Biden ou pas Biden. Biden, c'est le mot qu'on a prêté à Alexandre VI Borgia, qui se sentant mourir, aurait dit "Je ne veux pas mourir".
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