POUR LE PLAISIR...
Enfin, il y a un USaméricain qui a lu un livre d'histoire. Les soldats soviétiques recevaient des primes quand ils faisaient de la casse chez l'ennemi. Pour un pilote, descendre, de manière prouvée, un chasseur ennemi, c'était 1000 roubles, un bombardier 1500.
Pour ce qui est des Talibans, pas besoin de verser des primes par les russes. Ils font d'abord ça (tuer les soldats US) pour le plaisir, ensuite, c'est l'engin explosif qui est utilisé massivement. Et puis, pour ce qui est des primes, les dirigeants talibans, grâce à l'opium n'en manquent pas, ils ne manquent ni d'armes, ni d'argent. Merci à la CIA.
Pour ce qui est des talibans, c'est un simple sigle. ceux de 2000-2001 n'existent plus, le mouvement est un mouvement, (comme le KKK), né (vers 2005-2006) de l'occupation militaire dure, inhumaine et stupide, comme savent si bien le faire les USaméricains, comme celui qui avait enflammé les croix dans le sud.
Ce qui crée les talibans, c'est ce qui a crée le KKK. L'occupation militaire. Et les talibans, comme le KKK faisait la guerre, à la manière du moyen âge. On évite l'engagement militaire, pour la moyenne-basse tension sans qu'elle discontinue. Philippe Auguste fit la guerre pendant 40 ans aux rois d'Angleterre-duc de Normandie, sans risquer la bataille. La bataille, c'est le jugement de Dieu. Finalement, il la risquât lorsqu'il ne pu faire autrement. En fait, il y eût deux batailles, une tombée dans l'oubli, celle livré par son fils, à la Roche aux Moines (contre le roi d'Angleterre), et celle livrée par lui même à Bouvines, contre l'empereur d'Allemagne. La bataille, est pour celui qui a le vent favorable, la remise sur le tapis de tous ses gains.
On hésite donc vraiment, souvent, à la livrer. On préfère faire tomber les forteresses et place-fortes, les unes après les autres, sans grands combats. Typiquement la tactique KKK ou taliban.
le Harcèlement peut aussi prendre la forme de désobéissance, suivant les pays. Ces magistrats qui vont au restaurant, fermé, cette fête dans un commissariat...
William, lui se scandalise quand on lui met sur le dos l'épidémie. Il faudrait rappeler à ce petit rien, qu'il en a suffisamment fait et dit pour qu'on lui prête cela.
Lui, qui a 4 avions, un hydravion et 5 hélicoptères (pour les bagnoles on ne compte même pas), veut réduire la population humaine à 500 millions (pour sauver la planète ! Et son train de vie !) et est responsable de la mort de dizaines de vaccinés en Afrique, sans compter qu'il est le véritable boss de l'OMS.
Combat aussi homérique entre David et Goliath, Wall street et Main street, et main street, cette fois, a gagné.
Bien sûr ils ont "colmaté la brèche", mais c'est là le problème, ils ne savent jamais d'où viendra l'attaque. Et la passoire fuit de tous côtés.
Trump, à Mar a Lago, fait figure de martyr et de saint, les salopards de républicains traitres qui l'ont vendus, sont vilipendés, et il n'y a aucun de leurs électeurs pour les défendre.
"l’ancien président est “bien plus populaire” que la députée Liz Cheney, qui est l’objet d’un feu nourri à cause de son vente en faveur de la mise en accusation de Trump."
On peut admirer : quand il parle, il met le bordel. Quand il se tait, il le met encore plus.
Autrement dit, tout reste à faire tandis que la destruction du système de l’américanisme retoqué en bolcho-américanisme se poursuit à un bon rythme. Ainsi soit-il et, désormais, on peut constater que le seul résultat tangible obtenu jusqu’ici est bien d’avoir suscité une radicalisation extrême des Deplorables, comme l’a constaté mademoiselle Palmeri, de Politico, ou, comme l’écrit Jim Quinn :
« Leur classification et leur traitement de 75 millions d’Américains [ceux qui ont voté pour Trump] en soi-disant ennemis [transforment] ces citoyens en véritables ennemis. »
Evidemment, les crétins pommadés démocrates n'ont rien compris au film. Ils font resserrer les rangs derrière lui, et même si les élites républicaines, souvent, le détestent, elles seront obligées de le défendre... Dans le combat, il n'y a pas de place pour la nuance. Seulement pour la ruse et les coups fourrés.