HEURE EXQUISE
19 Avril 2021 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie
De l'effondrement...
Pour rappel, Dimitry Orlov Parle de "pandémie pétrochimique".
"Je me demande à quel moment il deviendra évident pour une fraction critique de la population que le problème auquel s’attaquent les confinements, les fermetures, les verrouillages, les couvre-feux et diverses autres mesures de contrôle prétendument épidémiques, qui sont en réalité des mesures de suppression de la consommation, n’est pas épidémiologique mais pétrochimique, motivé par la nécessité de réduire la consommation de pétrole de manière systématique et symétrique ? Après tout, cela m’est déjà apparu comme une évidence. Se peut-il que je sois vraiment seul ? "
Meuh non, je suis là aussi... Bon, je sais, c'est pas une consolation et pas un encouragement, mais c'est mieux que rien, et en tout cas, contrairement à ce que dit l'adage, il vaut mieux être mal accompagné que seul, souvent.
"Une merveilleuse solution provisoire a été trouvée sous la forme d’un virus de la grippe pas particulièrement mortel. Les frontières ont été fermées et des mesures de confinements ont été imposées, ce qui a entraîné l’arrêt du tourisme et d’une grande partie du secteur des services. Alors que la crise économique s’aggrave, des souches mutantes de ce virus de la grippe pas particulièrement mortel sont découvertes dans le monde entier et sont utilisées pour justifier de nouvelles restrictions à la consommation dans les pays qui manquent de ressources financières et physiques pour continuer à fonctionner comme avant."
Il était devenu évident que les couillonnades de réchauffement climatique ne fonctionnaient pas. Si les mougeons marchaient effectivement dans le conte de fée, l'appliquer devenait plus compliqué.
Là, la croisière a sauté, le voyage en avion aussi, l'immobilier de Paris (mais aussi d'ailleurs), ville poubelle du monde, devient problématique même si Alexandre mimi pense que c'est temporaire. Il est encore sur l'ancienne antienne du "retour à la normale", qui va voir la flotte mondiale d'avions passer à 40 000 gros porteurs, la croisière et autres conneries devenir aussi courante que d'aller acheter une baguette de pain...
France, le baisodrome, pardon, vaccinodrome de Nice manque de couillons, pardon, de clients, désireux de mourir plus vite de la troisième vague. Personnellement, j'aurais la même pensée que Thomas More montant à l'échafaud et s'adressant au bourreau, en lui demandant son aide (pour monter), et que pour redescendre, il se débrouillerait seul. Je suis assez grand pour mourir tout seul. Et de préférence sous un tonneau au moment opportun. Comme en leurs temps les pieds nickelés l'avaient constatés, le nombre de poires diminuent nettement (je parle pour le baisodrome niçois).
La pantalonnade des vaccins est un des derniers avatars de big pharma. Pourquoi soigner quelques malades, alors qu'on peut se faire du blé sur tous les biens portant, par l'intermédiaire des vaccins, et des tests ??? Surtout si les médocs coûtent quelques kopecks. Raoult parle de grands gourous, et on peut mettre ça en parallèle avec la création, en Europe d'une "superleague", de fouteballe, où les clubs "fondateurs", joueraient entre eux, sans se préoccuper des autres péquenots. Cela est calqué sur ce qui existe aux USA, où, finalement, il n'y a pas de performances, si truquée soit elle, mais toujours et encore les mêmes rencontres entre les mêmes et pareils. Le seul ingrédient ? Un argent fou brassé. Fouteballe ou santé, rien à battre, tant qu'il y a des couillons pour s'assoir devant, regarder et payer.
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