Le fondamental reste. La crise ukrainienne ne serait pas, comme le covid, l'occasion d'un serrage de vis sur la consommation énergétique (celle des gueux, pas celle des milliardaires).
On m' expédié le mot suivant :
"Ce ne sera pas sans conséquences sur l'augmentation des coûts de l'énergie, ce ne sera pas sans conséquences sur l'alimentation du bétail, son coût, peut-être même la capacité à fournir", a poursuivi le président.
"Nous sommes en train de bâtir un plan de résilience, d'abord pour sécuriser pour nos filières nos intrants, ensuite pour bâtir des boucliers en termes de coûts (...) et apporter des réponses dans la durée", a assuré le président. Il faut "vous accompagner en termes de revenus, et accompagner nos compatriotes aussi sur les impacts en termes de coûts", a-t-il insisté en s'adressant aux responsables des filières et des
Comme quoi la guerre en Ukraine sert, entre autres choses, à entamer une transition vers un monde post-fossile."
Ce qui confirme l'effondrement du commerce des grands centres commerciaux en France, notamment,
Cajino et
Aupré.
En effet, ces entités étaient adaptés à un biotope fossile, avec une grande infrastructure, datée désormais. Lideul, plus tard parti, avec des infrastructures plus mesurées et anciennes, est plus résilientes. D'ailleurs en Bretagne, 4 hyper Cajino avaient été racheté, rasé, et reconstruit, en passif, moitié moins grand. Là, l'infrastructure s'est adaptée.
Certains s'en tirent mieux que d'autres, notamment
lesombre. Mieux adapté, moins imbriqués dans l'économie globale, ils s'en tirent mieux pour l'instant. On retourne au local pour
Carrouf. Mais, globalement on a une baisse de l'activité dite de distribution.
Après, on peut s'attendre à un retour au local encore plus prononcé, comme il existe dans les grandes périodes de bouleversement. Comme disait Henri Amouroux, la première année de guerre, le nombre de jardins ouvriers passe à Lyon de 700 à 20 000, pour une ville bourgeoise et qui était déjà largement "gagnante" et "intégrée" dans l'économie monde. La ville de Saint Etienne, elle, avait déjà de l'ordre de 15 000 jardins ouvriers AVANT la guerre. Et Saint Etienne était notablement plus petite...
Comme je l'ai dit, les occidentaux ont dit aux ukrainiens d'aller tirer les poils de cul de l'ours, et visiblement ils sont en train d'en payer le prix. Visiblement l'ours a mauvais caractère. Mais cela ne signifie pas qu'on va pas être bouffés, nous aussi. D'une manière différente, parce qu'il apparait compliqué de se voir envahi par les russes, même avec une armée voisine du ridicule, mais ils n'en ont pas besoin.
Vlad, qui était "le mou", pour l'opposition russe, la vraie, pas celle du branquignol Navalny, a sans doute attendu longtemps, tellement longtemps qu'on a cru qu'ils ne réagirait jamais. Maintenant, tous les enjeux de puissance sont là, et arrêtons les gamineries concernant la "croissance", les recalcules de PIB fumeux.
Pour fonctionner les économies ont besoin d'énergie. Point.