NIOUZES D'UKAINE 13/12/2022
- Premièrement, BLM est un bredin. Bon d'accord, tout le monde le savait déjà, mais ça fait toujours plaisir de se le redire. Comme dit le proverbe, "quand je me regarde, je m'alarme, quand je me compare, je me rassure". L'économie russe, non seulement, ne s'est pas effondrée en 15 jours, mais le budget engendre des excédents Kolossaux. A faire pâlir d'envie tous les abrutis nommés "ministre des finances" dans le monde, espèce dont aucun n'est capable d'atteindre ce but, mais qui prétendent le faire. C'est dans ce sens là, d'ailleurs, qu'ils se révèlent totalement idiots.
Pour ce qui est de la récession automobile, importante (- 85 % sur le marché du neuf), il apparait nettement que cela a été causé par le retrait, fort coûteux pour eux, des industriels étrangers du marché russe. Ils le contrôlaient en quasi totalité, et ils ont tout bradé en catastrophe, au grand contentement des acheteurs et du Kremlin. Avant de braire, donc, sur certaines nouvelles, il faut arriver à l'analyser sans paniquer. Apparemment, les livraisons redémarrent, et franchement, avec les parcs existants, on pourrait rouler encore des années sans rien construire...
- La presse mainstream est désormais au courant que les armes oxydentales sont de la merde, justes taillées, pour la chasse aux négros, niakoués, bougnoules et zarbis, qui n'ont pas de quoi répliquer. Les 4 mots sont interdits, mais pas la chasse... J'utiliserais donc le terme N2BZ, c'est à la mode les sigles, il n'y a pas que les woke ou endormis qui peuvent les utiliser.
Ces dites armes ne supportent pas un usage intensif :
- Les PzH2000 allemands ne sont pas faits pour tirer autant de coups par jour. Selon les responsables allemands, la limite de 100 tirs par jour est recommandée ; l’Ukraine tire environ 300 obus par canon ; le système de tir ne peut pas tenir ce rythme.
- L’Allemagne elle-même n’a qu’une centaine de PzH2000 en stock, et ne dispose déjà pas de suffisamment de pièces de rechange. Très peu de pièces ont donc été livrées en Ukraine, ce qui rend la maintenance et le remplacement difficiles.
- Un artilleur ukrainien indique également que les pièces d’artillerie russes sont plus faciles à entretenir : elles contiendraient beaucoup moins d’électronique et de technologie intelligente, ce qui n’améliore pas la précision, mais permet de remplacer les pièces plus rapidement.
La limite de 100 obus par jour n'est pas une limite, mais une plaisanterie... En gros, 4 par heure ? On est de retour à l'artillerie de 1350 ??? Les armes oxydentales, manquent de résistance, n'ont pas ou peu de pièces de rechange et sont là pour enrichir les complexes militaro industriels, et ne sont destinées qu'à taper sur les catégories N2BZ. Logiquement, la moitié de l'armement fourni est de retour en réparation et maintenance, et si on ne le voit pas revenir, c'est qu'il est détruit...
- Pendant que les popofs vont devoir revoir leur économie de guerre (avec leurs excédents, ils détournent la production d'acier pour fabriquer des coffre-forts plutôt que des bombes), les Zeuropéens, vont vider leur gousset déjà fort plat pour le coût des sanctions. On en est déjà à 760 milliards de dollars.
- Les sanctions sur le pétrole russe fonctionnent bien : le prix remonte au dessus des 60 dollars réglementaires. Inde et Chine se gavent de pétrole russe, le budget russe va être encore plus en excédent, le rouble fort, et c'est le seul problème économique russe...
- On s'étonne, en oxydent, des performances du "géranium", drone archaïque et bon marché iranien ou d'origine iranienne, utilisé par la Russie, de manière abondante. Voyons, ça ne se fait pas de faire du bon marché efficace. Cela rappelle les performances du Polikarpov p2 pendant la grande guerre patriotique. Complétement dépassé, il n'en était pas moins un outil de terreur pour les soldats allemands, le "koukourouznik", et abondamment utilisé pour les opérations de soutien et de sabotage au delà des lignes, vu sa capacité à se poser et à décoller sur un mouchoir de poche. Il est toujours possible d'utiliser de parfaits archaïsme dans une guerre.
- En Face de ça, un bombardier B2 a pris feu aux USA. Au nombre ridicule de 21, et au coût phénoménal, de 1,7 à 2.1 milliards de dollars pièce, on imagine la lourdeur de la perte, et en même temps, le soulagement que la perte d'un de ces sabots apportera aux finances de l'état US, qui pourra consacrer son argent à d'autres gaspillages inutiles.
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