AUSTRALIE : FINALEMENT, LA FORET S'EST REMISE...

Finalement, les forêts australiennes font ce que j'avais prédit (Vous pouvez m'appeler padamus ! n'hésitez pas à me consulter, tarifs modérés conséquents), elles se sont reconstituées comme si de rien n'étaient. De fait, comme elles sont à 95 % en eucalyptus, et que l'eucalyptus, ça flambe, que sa biomasse ne se décompose pas elle finit tôt où tard, par flamber. Même aux temps des aborigènes.

On se lamente de même sur les animaux perdus... Sans doute aussi, la faune de la région a t'elle l'habitude de se reconstituer après des épisodes pareils.

On a parlé de 200 millions de tonnes de co2 perdus dans les incendies de 2019, et 260 millions gagnées depuis, dont 220 dans la zone brûlée.
La nature ayant horreur du vide, il est clair que la faune des zones épargnée est en train de recoloniser.

On parle des variations naturelles du climat, et les zélotes du richomenclimatic, se basant sur des températures antérieures à l'ère industrielle, se trompent fortement.
En effet, ce qui précède l'ère industrielle, c'est le "petit âge glaciaire", on apprend ça en cours d'histoire ! Celui-ci se termine au XIX° siècle.

Pendant l'hiver 1709, le vin gèle sur la table du roi, qui reste imperturbable, et sa nourriture est très vite aussi, froide. Il a d'autant plus de mérite à rester imperturbable, qu'il n'a plus de dents en haut, plus de palais non plus (ce qui est le comble pour le roi soleil !), et qu'il est obligé d'avaler d'entrée.

Quand aux idiots réchauffistes, ils n'ont pas non plus entendu parler de la période, dite "optimum climatique médiéval", qui commence sous Charlemagne, qui se finit au XIV° siècle, avec un net point d'inflexion en 1314-1316.

Donc, la base de comparaison, le petit âge glaciaire, est biaisée.

Comments

[henry]

"Donc, la base de comparaison, le petit âge glaciaire, est biaisée."

C'est l'un des principes de la manipulation de l'information, prendre comme point de référence une donnée arbitraire et en faire un absolu, en dissimulant, tordant ou inventant des faits si nécessaire.

Par exemple Le Roy Ladurie, qui a fait un travail remarquable sur l'histoire du climat, dit qu'il est persuadé que le CO2 (et donc l'homme) est impliqué dans le richofmenclimatic. Son argument est qu'il fait confiance au GIEC, et comme il semble avoir un complexe lui l'historien par rapport aux "sciences dures", il ne peut même pas imaginer que la science et ses résultats puissent être manipulés. Ceux qui ont lu les nombreux ouvrages sur le sujet savent à quoi s'en tenir.