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AVATAR...

16 Juillet 2024 , Rédigé par Patrick REYMOND

Bon, je vais essayer de répondre à la question que tout le monde se pose présentement.

Au vu des dernières photos de Donald, en train de tendre le poing en criant "fight", la bonne question est de savoir s'il est devenu un avatar de Chuck Norris ? Bon, faute d'entrainement certainement, il n'a pas arrêté la balle entre les dents comme n'aurait pas manqué de le faire Chuck. Mais on lui pardonnera ce manque de réactivité, dû à un passage express en mode "super héros".

En tous cas, on voit le caractère de plus en plus amateur du pouvoir, qui ne sait même plus faire assassiner correctement quelqu'un, après l'avoir excommunié, nazifié, diabolisé.
Après la tentative contre Fico et Orban, on sait vraiment où est le "camp du bien", pas en occident, c'est sûr, encore moins dans ses allées du pouvoir.

En même temps, cela a offert à un cabotin de première catégorie, l'occasion de l'heure de gloire et la dimension qui le fait passer de clown souvent grotesque, à une autre catégorie, celle du combattant dans son armure étincelante. Bref, de la catégorie "B", à celle de vedette internationale.

Merci les dimoucrates, qui lui ont offert la Maison Blanche sur un plateau d'argent, et fait rentrer dans l'histoire comme un lutteur.

On voit aussi le caractère américain dans cet attentat. Lee Harvey Oswald a été capable d'envoyer une "balle magique", qui a fait des tours et des détours avec une arme qui était déjà obsolète en 1914, là, le quidam, à 150 mètres et avec un AR15 semi automatique a tiré comme une patate, ce qui dénote un entrainement pas tout à fait en rapport avec la puissance effective de l'arme. 8 coups tirés, Trump devint ainsi "Trump la mort". Cela correspond aux critères américains, souvent bon matériel, servi par des abrutis. Et après on s'étonne que 80 % d'une classe d'âge soit trop con ou trop en mauvaise santé pour être mobilisée ? Oswald, lui avait au moins appris à tirer, même s'il est douteux qu'il ait appuyé sur la détente.

Un spectateur tué, deux grièvement blessés, voilà tout ce qu'à réussi le tireur, et il ne reste plus qu'au camp dimoucrate qu'à trouver un remplaçant adéquat pour Biden, à savoir, pour un combat de géant, Chuck Norris lui même, s'il consent à devenir dimoucrate.

Mais l'ampleur du combat à venir ne pourrait il pas décourager Chuck Norris lui même ?

 

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A
Alexis Caussette de Radio Québec penche pour un vrai attentat prévu mais qui a été détourné de son objectif pour faire passer Trump pour un héros ayant été sauvé par la main de Dieu.<br /> De toute façon, moi je suis pour tout type d'action permettant d'envoyer les globalistes en Enfer.
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T
Maintenant on a aussi la théorie du coup monté par des trumpistes pour augmenter la popularité de leur champion.<br /> Argument pour: le ratage lamentable justement.<br /> Argument contre: faire exprès de blesser légèrement quelqu'un semble un tantinet hasardeux et compliqué.<br /> Difficile de trancher dans ces conditions, à l'heure actuel en tout cas. Après on peut émettre l'hypothèse de faux coups de feu, faux sang et faux mort, mais bon...<br /> Et puis pourquoi ne pas envisager que pour une fois il puisse s'agir d'un acte spontané de la part d'un amateur (d'où le ratage), les esprits étant chauffés à blanc là-bas.
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H
La théorie du coup monté ne tient pas la route.<br /> Le faux mort et les faux blessés me paraissent un poil tordu.<br /> Le fait que Trump ai accepté de se faire tirer dessus, avec tous les risques inhérents me semble encore plus tordu.<br /> <br /> L'individu qui a tiré sur Trump avait l'habitude de pratiquer le tir, mais envoyer sept ou huit balles en l'espace de cinq secondes, même avec un semi-auto, ça demande pas mal de sang-froid et d'entraînement. Tirer sur un être vivant, même si on le déteste ce n'est pas pareil que pratiquer sur cible.<br /> <br /> Les points d'ombre de cette affaire se trouvent dans les manquements organisés autour de la sécurité assurée par le Secret Service. <br /> <br /> 1/ Malgré de nombreuses demandes, la patronne du Secret Service Kimberley Cheatle a refusé de renforcer l'escorte autour de Trump.<br /> <br /> Elle a également refusé d'assurer la protection de Robert F. Kennedy Jr;, alors qu'il est de tradition que la sécurité rapprochée des candidats à la présidentielle soit assurée par le USSS.<br /> <br /> 2/ Cheatle semble plus intéressée à promouvoir la diversité (We realize diversity is about more than race and gender (d'après leur site) - allez savoir quel genre de "diversité" ils vont promouvoir dans les années à venir) qu'à promouvoir les capacités et le mérite, dans la droite ligne du wokisme qui règne en maître outre-atlantique.<br /> <br /> 3/ Il semblerait que les équipes du USSS n'aient fait leurs repérages que la veille et de façon imparfaite visiblement. Leur équipe était réduite du fait du détournement de ressources pour assurer la protection de Jill Biden à Pittsburgh, également en Pennsylvanie (ce que le USSS dément, mais vu que sa patronne refuse de reconnaître ses manquements, c'est évident qu'elle ne va pas concéder quoi que ce soit).<br /> <br /> 4/ Quand Cheatle a été interrogée pour savoir pourquoi il n'y avait pas de snipers de la police sur le toit d'où le tireur a fait feu, elle a répondu que c'était parce qu'il y avait une pente... Je ne sais pas qui a trouvé cette excuse bidon, mais visiblement ça en dit long sur le professionnalisme de cette personne.<br /> <br /> 5/ Kimberley Cheatle refuse de démissionner, même si elle "assume ses actes", la moindre des choses ce serait de reconnaître qu'on a échoué, mais avec des gens qui vivent dans un monde imaginaire où les quota sont plus importants que le savoir-faire, c'est pas gagné.<br /> <br /> 6/ Apparemment le FBI n'arrive pas à trouver le code du téléphone du tireur et ne peut donc pas accéder à ses derniers appels et messages. Cette excuse est un foutage de gueule monstrueux. Même sans débloquer le téléphone, les autorités peuvent savoir qui on a appelé et qui nous a appelé. De plus aux Etats-Unis, les agences peuvent collaborer dans une enquête, même si ce n'est pas habituellement de leur ressort, il suffit de faire appel à la NSA et le code est forcé en 30 secondes.<br /> <br /> Il est possible qu'une Commission sénatoriale se réunisse pour investiguer sur cette tentative d'assassinat et passe au grill tous les cadres du USSS, mais comme dans la plupart des enquêtes de ce type il n'en sortira rien de concret, car généralement il n'y a pas de poursuites judiciaires même en cas de manquement grave repéré. On pourrait même dire qu'une commission sénatoriale est le meilleur moyen d'enterrer une affaire.<br /> <br /> De souvenir, sous Obama, il y avait eu un grand ménage de fait parmi les membres du Secret Service, est-ce à cette occasion que Cheatle a été promue ?, Difficile à dire, mais il est possible que des pions aient été placés aux bons endroits dont la loyauté ne va pas à la fonction, mais aux personnes.<br /> <br /> La seule bonne nouvelle c'est que depuis, le USSS assure la protection de Robert Kennedy Jr. , et que le service d'ordre de Trump a changé, comme quoi, il y avait bien un problème.
M
Ce n'est ni un coup monté ni le fait d'un tireur isolé. D'une part, parce que les balles étaient réelles, il y a eu un mort dans le public, touché en pleine tête justement, ainsi que deux blessés graves, excusez du peu. Sachant en plus que pour trouer l'oreille d'un type placé à 150m relève de l'exploit pur et simple. Guillaume Tell à côté est un petit joueur.<br /> <br /> D'autre part il y a eu des failles invraissemblables dans le dispositif de sécurité, ce qui laisserait à penser qu'il y a eu des complicités à haut niveau.<br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=M9vBhj_hPVo