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Tour du monde.

7 Avril 2009 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Actualités

Petit tour du monde bien malade ce soir.
Le président des USA, en mal de dire une ânerie, préconise l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne.
Que tout ceux qui sont pour l'annexion par le Mexique de la Californie, du Texas et autres sur ce blog, se lèvent.
Mexique dont la crise ne peut guère empirer. Elle est déjà au maximum.
La croissance asiatique est revue à la baisse, la Chine sauvant la dite croissance.
Bien sûr, nul n'ira hasarder que la chose rélève du bidon de fort beau gabarit.
La hausse du nombre de chômeurs supplémentaires (24 millions), n'entrainant "qu'une non-sortie de pauvreté de 10 millions de personnes".

A ce niveau là, tout relève du miracle et de la marche sur l'eau.
La preuve, qu'on n'est pas sortie du merdier, c'est qu'on compte sur la lilliputienne Chine et sur les USA. Il faut le reconnaitre, on est perdu !
Passé le tour des has been, examinons les cas particuliers :
- l'Irlande a toutes les chances de mourir guérie. Son merveilleux gouvernement veut augmenter les impôts et "faire des économies".
Direction arrivée : le Zimbabwé. Cela n'a, jamais fonctionné.
Le pays choisit, visiblement, d'arriver le premier en très grande dépression.
- L'Espagne compte faire de la gonflette avec le chiffre du PIB : il faudra y compter prostitution, contrebande et trafic de drogue.
- En Grande Bretagne, la récession est "pire que prévue" (c'est pas difficile, elle était pas prévue).
Sa production industrielle continue tranquillement à couler d'un pour cent par mois, le total sur un an atteignant 12.5 %.
Pour un pays qui pratique les dévaluations compétitives, c'est paradoxal.
Enfin, le clou sur le cercueil, c'est le FMI : les actifs toxiques se montent, d'après lui, à 4000 milliards de $. 
Comme l'a dit un internaute, il faut certainement multiplier ce chiffre par 10. C'est le montant global de la dette qui pose problème.
Enfin, dernière tête de turc, les libres échangistes. Pour eux, la menace est protectionniste. Non, la menace n'est pas le protectionnisme. C'est le crétinisme (fort répandu).
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S
Huzun, si ma mémoire est bonne, le titre était «Les turqueries du Grand Mamamouchi» et je crois c’est la maison Albin Michel qui l’avait éditée en 2004 ou 5. Et j’ai beaucoup de respect pour de Villiers car ce monsieur était le premier du RPR a avoir osé dénoncer le cirque, choisir la disgrâce etc. Si je me goure c’est tant pis pour moi.<br /> Sinon ma réponse a Boromsikim était de la plaisanterie sérieuse. Et puis comme de toute façon y a un tunnel sous le Gibraltar deja prévu (cependant y a des problèmes pratiques - c’est une zone sismique - qui demande a s’y pencher) allons y ; faut pas se gêner.
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H
@sclavus<br /> >le livre de Philippe de Villiers cerne l’enjeu turc<br /> Source stp ?<br /> <br /> Il est amusant de constater que plus on connait un sujet plus on est complétement décu des livres / expressions des politiques sur ce sujet (c.f. Rocard et la Turquie)<br /> <br /> De plus, je n'ai pas une haute opinion de Mr de Villiers mais pourquoi pas ... à lire donc.<br /> <br /> Ta réponse à Boromsikim est-elle ironique ? (pas de smiley pour le confirmer)
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S
Merci Boromsikim ; moi aussi je vote pour le Maroc (et - mais faut que ça reste entre nous - pour le Sénégal car les sénégalais sont plutôt membrés et pourvus d’un très bon patrimoine génétique ; deux points indispensables pour revigorer le sang usé et corrompu des vieilles nations européennes décadentes et fatiguées)
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G
@ HUZUN<br /> j'ai été en turquie , istambul ce pays est en fait une multitude de petits pays , de mentalités , je pense que ce n'est pas une bonne chose qu'ils integrent l'ue .<br /> <br /> j'ai des amis turcs a marseille integrés depuis 20 ans ; ils sont eux meme contre l'entrée de la turquie car ils savent que le deferlement massif de main d'oeuvre seras devastateur .<br /> <br /> je vois plutot la turquie comme une charniere , mediateur entre l'occident et l'orient , et elle a tout a y gagner, plutot que rajouter a la confusion actuelle, car il faut bien le reconnaitre l'europe actuelle est un gros bordel ingerable.
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B
Je rappelle que le Maroc est géographiquement, économiquement, linguistiquement etc. plus proche de la France et de l'Europe que ne l'est la Turquie. Si la Turquie doit entrer en Europe, le Maroc doit la précéder sauf à révéler des critères de sélection malsains...<br /> D'évidence, on substitue l'Otan à l'Europe. Après l'intrusion anglaise, anti-européene par essence, les coups de butoirs permanents d'une Pologne caractérielle on ouvre la porte à l'intégrisme islamique.<br /> La confusion géographique et culturelle, la multiplication de pseudo-nations et le retour de la France dans l'otan scelle l'arrêt de mort de l'Europe et l'avènement de notre nouvelle antité.<br /> Otaniens, otaniennes merci de m'avoir écouté.
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S
Ma foi, Huzun j’ignorais complètement ton coté Lord Byron ; c’est pas à mon gout mais pourquoi pas ; Il y a un coté facilité quand même car les histoires romantiques on peut les broder aussi bien autour du caniveau.<br /> Pour ma part, je trouve que le livre de Philippe de Villiers cerne l’enjeu turc beaucoup mieux et d’une façon beaucoup plus objective.
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T
"Pour moi, le problème n'est pas qu'il soit turc, mais qu'il ne sont pas européen."<br /> <br /> Excellente remarque.<br /> Meme position que vous : partenariat élargit, point barre.<br /> Toute façon, il y a des pans entiers de la société turque qui refuse d'entrer dans l'UE.
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L
Pour moi, le problème n'est pas qu'il soit turc, mais qu'il ne sont pas européen. En plus avec 100 millions les droit de vote vont être énorme pour eux. Donc un super partonariat oui, une adhésion non.
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H
>Je pense que la Turquie a toute sa place en Europe.<br /> <br /> Pour y avoir vécu quelques années inoubliables et toujours y avoir des amis .... comment est-ce possible de détester les turcs à ce point là; que de les condamner à rentrer dans cette chose bureaucratique et kafkaienne ... quand on voit les difficultés que nous avons/auront pour en sortir.<br /> <br /> Que Dieu (expression car je suis agnostique) les en préserve ! <br /> <br /> Sinon, pour info ... <br /> <br /> C'était au temps où Paris et Istanbul s'aimaient d'un amour bien compris. Avec une audace proprement scandaleuse, le fils aîné de l'Eglise, le roi François Ier, vient de conclure une alliance militaire de revers avec le mahométan Soliman le Magnifique contre l'ennemi commun, la maison des Habsbourg d'Autriche. Nous sommes en 1536, quatre-vingts ans seulement après la chute de Constantinople. La Sublime Porte voit son rang reconnu au sein du concert européen des nations. La cour de France comprend que, pour peser sur le continent, il lui faut étendre son influence aux marges de l'Europe. L'alliance militaire a des effets immédiats. La flotte du sultan passe l'hiver au mouillage à Toulon. Lors de la bataille de Lépante, au large du golfe de Corinthe, qui donne un coup d'arrêt à l'expansion ottomane en Méditerranée, en 1571, toutes les flottes chrétiennes sont représentées - sauf les galères du souverain français. «Les roys de France avoient deux alliances et affinitez, desquelles ne s'en devaient jamais distraire et despartir pour chose du monde: l'une celles des Suysses et l'autre celle du grand Turc», écrit alors Brantôme dans ses Vies des hommes illustres et des grands capitaines.<br /> <br /> Un lieu incarne, à Istanbul, cette relation particulière. On l'ignore le plus souvent à Paris, mais c'est probablement le site diplomatique le plus ancien de la France à l'étranger. Acquis entre 1591 et 1605, le terrain sur lequel s'élève alors le palais de France, «au milieu des vignes de Péra», offre toujours un vaste panorama étourdissant de beauté et d'histoire. Certes, les vignes ont disparu depuis longtemps et Péra (rebaptisé Beyoglu) est désormais un des quartiers du centre d'Istanbul qui aimantent branchés et promoteurs saisis par le démon de la réhabilitation. Mais la vue reste aussi dégagée, au-dessus des quartiers de Galata et de Tophane, vers la pointe du Sérail et, plus loin, les îles des Princes.<br /> ...<br /> <br /> Le texte suivant date de 1572. Il est extrait de La Première Histoire de France en turc ottoman (publiée par les éditions l'Harmattan) et contient la chronique des rois de France, nommés padichah en turc. C'est un document inédit, exhumé il y a une dizaine d'années à la bibliothèque de Dresde, où, de la Sublime Porte, il dut arriver, via la Pologne. Il montre l'ancienneté de l'intérêt manifesté par les sultans à la France. Voici, en abrégé, ce qui y est dit de François Ier.<br /> «Le cinquante-huitième padichah de France s'appelait François Premier. Comme le susdit Louis [Louis XI] Padichah n'avait pas de parent plus proche, le sultanat fut transmis à celui-ci en l'année mille cinq cent quatre. Comme, au temps de son sultanat, le susdit dépensa, ouvrit et dévoila les mines de sa générosité pour faire avancer et se révéler les gens de savoir ésotérique et exotérique, le nom de “Père des savoirs” lui fut donné. Il aimait tant le savoir qu'il fonda dans la ville de Pârîz trois medrese pour qu'on y pût apprendre la science en trois langues: la science du latin (‘ilm), celle du grec (ûrûm) et celle de l'hébreu (yahûdî)...<br /> Le susdit padichah exerça le sultanat pendant trente-deux années et mourut à Rambûlyet et fut enterré à Sân-De-nîz en l'année 1537.»<br /> ...<br /> <br /> Autour de l'ambassade, c'était, à l'époque ottomane, une véritable petite cité qui organisait sa vie. Ceint de murs, le palais de France regroupe plusieurs bâtiments. Le régime des Capitulations avait donné des privilèges aux commerçants de Marseille. Il conférait à la monarchie capétienne, puis à la République, la protection des prêtres et des chrétiens catholiques d'Orient. La maison du Roi vivait en autarcie; elle avait son tribunal capitulaire, son couvent de missionnaires, son école d'interprètes. Voulue par Colbert, l'Ecole des jeunes de langues - les interprètes en turc, arabe, grec, arménien, les fameux drogmans, reconnaissables à leur somptueuse livrée - a été fondée en 1669: elle est d'un siècle l'ancêtre de l'Ecole des langues orientales, créée par la Révolution à Paris. Aujourd'hui occupé par l'Institut français d'études anatoliennes, le bâtiment est voué aux chercheurs français en poste ou de passage. «Les usagers des bureaux sont priés de vérifier qu'ils ne laissent pas de chat derrière eux», peut-on lire sur la porte d'entrée. Bel hommage des savants austères aux félins sauvages des rues alentour qui sont les gardiens et les vrais maîtres des lieux. Plus loin, toujours dans l'enceinte, en contrebas du jardin, l'ancien tribunal, orné de la devise «Loi-Force-Justice», a été récupéré par l'école française voisine Pierre-Loti. Au fond de la cour, sur la droite, Saint-Louis-des-Français. Ce sont des capucins envoyés à l'initiative du père Joseph, l' «éminence grise» du cardinal de Richelieu, qui vont recevoir l'autorisation - tant attendue du sultan - de bâtir l'église, en 1673: jusqu'alors, la messe était dite dans un placard, soigneusement refermé une fois l'office prononcé. Placés sous la protection spéciale du roi de France, les capucins sont autorisés par firman du sultan à circuler librement dans l'empire pour peu qu'ils n'attaquent pas le Coran ni ne se prêtent à une propagande intempestive.<br /> ...<br /> <br /> A côté de l'école et du lycée français proprement dits, on ne trouve pas moins de cinq établissements secondaires privés, autrefois religieux («les Saints»), qui continuent à enseigner en français. A Galatasaray, le lycée francophone du même nom a été voulu par le sultan Abdulaziz, impressionné par les grands lycées parisiens qu'il avait découverts, en 1867, lors de sa visite de l'Exposition universelle - le premier séjour d'un sultan en dehors de l'empire. Pépinière de cadres, le Lycée impérial ottoman suit un programme d'éducation élaboré par Victor Duruy, ministre de l'Instruction publique de Napoléon III. «Le français est alors naturellement la langue de la modernisation et de l'occidentalisation», explique Pierre Chuvin, directeur de l'Institut d'études anatoliennes. Avec des conséquences immédiates. «Pour la première fois, raconte Georges Doumergue, directeur des études françaises au lycée de Galatasaray, on réunissait des élèves de confessions différentes sous le même toit, au risque de susciter les foudres des cheikhs et les menaces d'excommunication du pape.» Longtemps refuge de la bourgeoisie istanbuliote, Galatasaray est désormais ouvert aux élèves sortant du primaire par la voie du concours et s'enorgueillit d'accueillir les meilleurs. Dans cette société de réseaux qu'est le tissu social turc, l'amicale des anciens de Galatasaray, où se retrouvent intellectuels, diplomates et hommes d'affaires de premier plan, pèse de tout son poids. En sortant de Galatasaray, quand on remonte l'Istiklal, l'artère piétonnière de Beyoglu, juste avant d'arriver sur la place Taksim, un autre édifice arbore le drapeau tricolore. L'ancien hôpital des marins marseillais abrite de nos jours le consulat et l'Institut culturel français.<br /> <br /> Les diplomates français en poste auprès de la Sublime Porte ne cachaient pas leur fascination pour Constantinople. La liberté des mœurs les enivrait. Une ambassadrice disparaît plusieurs jours: elle a réussi à entrer dans le Sérail où, découverte, elle est gardée quelque temps par le sultan, galant homme. L'ambassadeur Vergennes (que l'on découvre costumé à l'ottomane, dans un portrait exposé au nouveau musée de Péra), avant de devenir le grand ministre des Affaires étrangères de Louis XVI, vit en concubinage avec une jeune veuve à la réputation légère qui lui donne deux enfants. Quand il officialise la liaison par un mariage, le scandale est grand à Versailles. Vergennes est rappelé.<br /> <br /> Les Ottomans, à leur tour, ont été séduits par le prestige des monarques français, puis du second Empire en pleine réforme. Mustafa Kemal, nourri des lectures des Lumières et du positivisme d'Auguste Comte, façonne la République turque sur le modèle jacobin, laïque et centralisateur, de la IIIe République.
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T
Sclavus en connait un rayon de "l'histoire commune" de la Turquie avec l'Europe.<br /> Le champs des Merles tout ca.
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S
Bienvenu Loguitchniï ; et bravo pour « l’ingérence »<br /> Et merci Patrick pour ton explication sur la « cohérence » de l’hyper classe ; elle est magistrale.
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L
Je voie que tout le monde est de retour. on ben allons y.<br /> <br /> Concernant le discours d'obama, je pense que cela s'appel de l'ingenrence. Surtout Aprés avoir reçut l'aval des européen pour l'OTAN, il vont surement tenter de foutre un peux le bordel Ou de faire semblant que l'enttente US Europe et parcemé de brouillard. L'histoire de masquer un peut plus leur conivance. <br /> <br /> Je pense qu'obama regarde le coté geostratégique uniquement. D'ailleurs je pense que les USA devrait se marier avec la chine et leur offrir en dote l'énorme dette qu'il ont chez eux. Du coup cela nous ferait plein de nouveau dollar tout jaune. M'enfin il faudrat quand même attendre 9 mois.
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P
La tactique d'Obama est cohérente avec les politiques de destabilisation de l'euro par les gouvernements US et UK, et avec les rumeurs colportées par Citibank et consorts sur l'état des banques européennes après leurs investissements dans l'est.<br /> Il s'agit de faire (re)surgir des sujets de discorde dans l'UE, qui n'en a vraiment pas besoin !<br /> Pour résumer, l'hôpital se fout de la charité !
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S
Et pour les arguments, Sancho :<br /> Son histoire « commune » ne s’est pas faite avec nous mais contre nous.<br /> Le fait qu’ils ont pied sur le continent européen est le résultat d’une histoire de conquête, violence, pillages et faut bien l’admettre de politiques perfides de certains souverains (François 1er par exemple ou bien la couronne britannique).<br /> Assiéger Wiene à deux reprises en deux siècles veut bien dire ce que ça veut dire.<br /> Oh je sais qu’Alexandre Adler est en mesure de nous prouver sur un plateau télé ou dans son torchon de désinformation qui s’appelle « courrier international » que leurs intentions étaient d’apporter la démocratie et la civilisation aux vielles monarchies encroutées, mais je plains les imbéciles qu’il réussira d’embobiner avec des farces pareilles.<br /> Pour ce qu’il est de l’histoire récente allez demander aux Grecs chypriotes ce qu’ils pensent du pacifisme turc.
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S
Ce n’est pas une « connerie » d’Obama mais une perfidie d’Obama ; nuance.<br /> Par contre « Sanchoux75 » je ne crois pas un instant que « tu penses » ; et par conséquent je te conseille de changer de pseudo ; donquijotte – ça devrait aller ; parce que Sancho est un personnage sensée – avec la tête bien vissée sur les épaules.<br /> Abuser de son nom est une imposture.
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G
@sanchoux75 <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> une seule est tres bonne raison c'est que les gens se sont prononçés massivement en faveur de la non adhesion de la turquie dans l'ue par referendum.<br /> <br /> maintenant si l'on veut contourner le peuple souverain et le forcer pour aller dans le sens de certaines convictions cela a un nom . cordialement
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S
Je pense que la Turquie a toute sa place en Europe.Je ne vois pas pourquoi est ce que ça serait une "connerie" de Obama d'avoir dit ça. C'est un vieux pays qui a une histoire commune avec nous. Mais quels sont vos arguments contre son adhésion ?
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P
<br /> Parce que ça ne le concerne pas. C'est aux européens de décider, ou non, de l'entrée de la Turquie dans l'UE. A personne d'autre. Le président des USA, n'a même pas à donner son avis sur la<br /> question, il est de trop.<br /> <br /> <br />
S
Un reproche, Patrick ; Après tant de compliments je peux bien me permettre ça : à la longueur de tes articles tu qualifies ces hommes d’ânes, d’écervelées, nigauds etc.<br /> Je comprends ton raisonnement – le ton plaisantin, l’ironie etc. ; ça apporte une note de l’humour à la grisaille du quotidien ; ça revigore.<br /> Mais pour la très grande majorité, ces hommes ne sont pas bêtes du tout ; tout au contraire.<br /> Par contre dans leurs démarches, décisions politiques, chacune de leurs activités respectives ils obéissent à une logique criminelle décidée en secret et bien à l’écart des citoyens qui sont les premières concernées.<br /> Il faut le dire.
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P
<br /> Que le dessein soit criminel, nul doute pour moi, non plus. Mais la stupidité consiste à croire qu'ils pourront le mener au bout. J'en doute. Peut on qualifier d'intelligent des gens qui ont toutes<br /> les chances de finir à l'échafaud ?<br /> <br /> <br />
B
France : chute historique des réserves officielles de change (baisse de 6 800 millions d’euros en un mois).<br /> <br /> <br /> <br /> Les réserves officielles de change de l'Etat s'élevaient à 100.966 millions d'euros (134.366 millions de dollars) à la fin du mois de mars, contre 107.766 millions d'euros (136.260 millions de dollars) à la fin du mois de février, soit une diminution de 6.800 millions d'euros, selon des chiffres communiqués ce mardi par le Ministère de l'Economie et des Finances. <br /> <br /> Bercy, qui précise que ce chiffre intègre l'incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois, note que les réserves de l'Etat se répartissent à hauteur de 54.427 millions d'euros en réserves en or, de 43.966 millions d'euros en réserves en devises, et 2.573 millions d'euros de créances sur le FMI. <br /> <br /> Les réserves en or ont diminué de 5.080 millions d'euros, sur la base d'un cours de 22.189,97 euros le kilogramme d'or fin.<br /> <br /> <br /> <br /> Les réserves en devises ont diminué de 1.850 millions d'euros. <br /> <br /> Les créances sur le Fonds Monétaire International ont augmenté de 130 millions d'euros.<br /> <br /> <br /> <br /> Cercle Finance 7/4/09 15h57
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P
@ Mon nom <br /> <br /> (très Clint Eastwood, ce pseudo !)<br /> <br /> merci encore pour ce lien :<br /> <br /> http://wiki.societal.org/tiki-index.php?page=Accueil
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