Blague soviétique...
20 Août 2009 , Rédigé par Patrick REYMOND
Vu l'état des USA et du monde occidental, un massage de zygomatiques est nécessaire. On vient de me rappeler une blague
soviétique :
" Un Américain, un Français et un Soviétique rencontrent Dieu, qui les autorise à poser chacun une question.
L'Américain demande : Quand retournerons-nous sur la lune ?
- Dans 50 ans, répond Dieu.
L'américain s'effondre en larmes :
- Je ne verrai jamais ce jour !
Le Français demande : Quand le chômage cessera-t-il de monter en France ?
- Dans 100 ans, répond Dieu.
Le Français s'effondre en larmes :
- Je ne verrai jamais ce jour !
Le Soviétique demande :
- Quand le rouble rattrapera-t-il le dollar ?
Dieu s'effondre en larmes :
- Je ne verrai jamais ce jour !
Ce qu'il y a de bien avec les blagues anti-soviétiques, c'est qu'elles sont TOUTES recycables aujourd'hui.
Suffit de changer les protagonistes. "
Aller, une deuxième, pour la route ?
Qu'est ce que le bonheur en URSS ?
C'est d'entendre tambouriner à la porte à deux heures du matin, ouvrir en tremblant à deux hommes en pardessus, et entendre la question :
- "Ivan Ivanovitch Ianov ?"
Et entendre sa propre voix répondre ;
- "c'est en face, camarade". ça, c'est le bonheur à l'état pur...
" Un Américain, un Français et un Soviétique rencontrent Dieu, qui les autorise à poser chacun une question.
L'Américain demande : Quand retournerons-nous sur la lune ?
- Dans 50 ans, répond Dieu.
L'américain s'effondre en larmes :
- Je ne verrai jamais ce jour !
Le Français demande : Quand le chômage cessera-t-il de monter en France ?
- Dans 100 ans, répond Dieu.
Le Français s'effondre en larmes :
- Je ne verrai jamais ce jour !
Le Soviétique demande :
- Quand le rouble rattrapera-t-il le dollar ?
Dieu s'effondre en larmes :
- Je ne verrai jamais ce jour !
Ce qu'il y a de bien avec les blagues anti-soviétiques, c'est qu'elles sont TOUTES recycables aujourd'hui.
Suffit de changer les protagonistes. "
Aller, une deuxième, pour la route ?
Qu'est ce que le bonheur en URSS ?
C'est d'entendre tambouriner à la porte à deux heures du matin, ouvrir en tremblant à deux hommes en pardessus, et entendre la question :
- "Ivan Ivanovitch Ianov ?"
Et entendre sa propre voix répondre ;
- "c'est en face, camarade". ça, c'est le bonheur à l'état pur...
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