9/11, H1n1 et 2005...
28 Octobre 2009 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
Enfin au départ, il y avait plein de vipères lubriques à écraser.
Ensuite, ça a été problématique. Le dernier mois, on s'est même carrément emmerdé comme des rats morts.
Le problème était la pénurie de défenseurs du OUI. Il n'y en avait plus, ils avaient tous disparus sous terre.
Même quand ils tenaient une réunion, c'était en secret, avec les salles remplies d'avance.
On s'est posé des questions.
On a pensé passer des petites annonces.
On a pensé faire jouer à l'un d'entre nous, le rôle de la vipère lubrique.
Mais le coeur n'y était pas.
Le même problème se pose désormais pour la version officielle des attentats du 11 septembre.
Visiblement, les vocations pour la défendre ne se bousculent pas au portillon.
Faut dire : il y a de quoi couler une carrière.
Et il y a un monde entre insulter anonymement quelqu'un et affronter ses arguments.
La puissance américaine est typiquement dans le cadre du "Léchée, lâchée, lynchée".
A l'intérieur même, Ron paul se pose des questions et en pose : "Pourquoi, dans l'état d'urgence, les filles du président ne sont elles pas vaccinées ?".
Il est de plus en plus évident qu'il y a un vaccin à deux vitesses. Si ça se trouve, d'ailleurs, l'un ne contient rien.
Mais la propagande mord de moins en moins : les rejets de vaccins restent majoritaires.
D'ailleurs, l'hémisphére sud n'a pas connu un carnage.

En effet, la peur de la pandémie fait perdre toute peur de la mort aux déshérités.
Jusqu'au 17° siécle, la pandémie a un synonyme : le soulévement.
Mourir d'un coup de fusil est plus miséricordieux que de pneumonie dans un lit puant.
Mais ils ont oublié aussi l'effet sur les forces de l'ordre : la débandade.
Dernier point, de l'hyper puissance en décomposition, l'Afghanistan. 22 morts en deux jours. Le bilan, c'est désormais celui du Viet Nam. Pour des forces 10 fois moins nombreuses.
La moyenne, c'était 100 tués par semaine.
Le combat est celui de la destructuration voulu par l'américanisme contre la structuration des efforts adverses.
Ce qui n'a jamais été dit dans la guerre du Viet Nam, c'est que, malgré des pertes au combat 10 fois supérieures, jamais les Viet Congs ne furent désorganisés ni rendus incapables d'opérer. Le constat est désormais le même en Afghanistan. Les talibans ont mis longtemps à structurer leur effort, mais ils y sont parvenus. Désormais, ils sont à l'offensive, et leurs adversaires, dans la merde.
Obama hésite d'ailleurs désormais à l'escalade. Elle avait d'ailleurs été considérable.
Deux tours existent aujourd'hui : l'une s'effondre, la puissance américaine, reste à savoir si l'autre, les USA eux mêmes, vont faire la même chose. C'est le point de vue de De Defensa.
On peut le faire sien sans problème.
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