Braquage au virement...

L'Elysée aurait été, après des grandes entreprises, victime de "braquage au virement".

Cela démontre aussi l'agonie du système, l'état de déliquescence des bureaucraties privées, et l'état de leur système interne de contrôle.

Ils n'ont donc plus de comptabilité qui reçoit les factures, les donnent à l'approbation, avec un "bon à payer" inscrit daté et signé en gros, dessus, et un banquier qui hésiterait à bouger sans avoir reçu UN PAPIER, et pas un fax, sans grande valeur juridique, faut il le préciser...

Il n'y a pas à être génial, il y a simplement à appliquer DES PROCEDURES CONNUES, autant pour leur cadre que pour leur caractère pointilleux.

Quand à se servir directement dans les comptes comme il est fait, c'est du grand n'importe quoi.

Juridiquement, les banques en ont pris, là aussi, un peu à leur aise...

Comments

[Boromsikim]

Pour expliquer l’arnaque, il faudra s’assurer que ce n’est pas un maquillage de détournement de fonds de la part des (pseudos?) victimes par un transfert vers des comptes étrangers. Partant de
l’Elysée ça pourrait être une tentative d’achat groupé de montres et autres objets indispensables dans le cadre du secret-défense…
Quand je vois qu’il peut en coûter une demi-heure de travail à la banque avec même, une fois, un passage dans le bureau du directeur pour un transfert de 1500€ de compte à compte, j’ai de solides
doutes sur la possibilité de mener ce genre de transaction sans la complicité de "victimes" à une des étapes cruciales de l’opération. A voir avant de prendre position.
Sans parler de la poste où il est tellement dur de sortir son propre fric que j’ai préféré clore mon compte après avoir copieusement injurié le receveur et son adjoint. Ils feignaient de considérer
comme non valide la procuration que j’avais sur le compte de mon fils. Ces enc… ont failli faire capoter un achat urgent.
Arnaque, il y a, mais qui arnaque qui est loin d’être déterminé. Il sera d’ailleurs peut-être nécessaire de surtout ne pas le déterminer. Souvenons-nous de ce petit couillon de Kerviel qui
"arnaquait" la Société Générale qui elle, bien-sûr, n’était qu’une pôôôvre victime de ses malencontreuses opérations qu’elle ne voyait même pas. Mais où ais-je donc mis mes lunettes ?