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Centrafrique ; les jean-foutres...

20 Janvier 2014 , Rédigé par Patrick REYMOND

Je relisais une histoire de la seconde guerre mondiale, et je me rappelle cette lettre personnelle qu'une général allemand envoya à Hitler, sur l'état d'étirement de sa division, peu de temps avant l'opération Bagration.
On comptait seulement un homme tout les 80 mètres, dans le meilleur des cas, 50.

 

En Centrafrique, c'est encore pire. Et comme Hitler, pas question de plier bagage.

623 000 km2 pour 4.5 millions d'habitants.

 

L'UE veut envoyer 1000 hommes, non, 500, par politesse. Pour soutenir les 1600 français. ça fait pas loin de 240 km2 par tête de pipe. ou 300.

 

On comprend tout de suite que Normal 1° se soit mis les mains dans le caca, que 59 % des français sentent que ça puire et que, vue les capacités d'évitement, la modestie d'un arsenal nécessaire pour massacrer, cette intervention aboutit à jeter de l'essence sur un feu.

 

Bien entendu, progressivement l'armée française trouvera des adversaires de plus en plus aguerris et inventifs, et le coup de l'arme fatale devant lequel on doit s'effacer, s'efface elle même devant une plus vieille invention ; la guerre d'usure, qui n'est pas simplement celle des tués au combat, mais l'usure du matériel, des esprits, et des corps.

 

Comme je l'ai dit, le soldat occidental, coûte très cher à envoyer au combat. Le plus cher étant l'américain, avec une panoplie d'obsolescence programmée à 3 mois d'utilisation.

 

Comme je l'ai déjà dit, le combat actuel, est souvent un combat urbain, de sniper, où, plus que le matériel sophistiqué des occidentaux, c'est l'inventivité, la créativité, qui peut être mortelle. Le milieu de combat urbain entraîne des combats longs, et avec effectifs réduits.


Le mosin nagant, antique, est visiblement encore très utilisé (surtout équipé d'une lunette) dans beaucoup de combats et d'armée, notamment, actuellement, en Syrie.
Sa munition est courante, la même que celle du Dragonov (et qui fait que l'on ne le distingue pas, au bruit, du Dragonov), et le sniper doit être patient, tirer à coup sûr, un seul coup, et détaler, pour éviter l'obus qui ne manque pas de suivre (au combat, on n'est pas obligé d'être suicidaire).


Défourrailler à tout va, à l'occidental amène à des consommations dantesques de munitions, 500 000 cartouches tirées nécessaires, pour tuer un seul ennemi.

D'ailleurs, quand Deubeuliou avait affirmé que la mission était accompli, les irakiens avaient simplement changé de tactique. Au lieu de se faire écrabouiller par la puissance de feu US, il préféraient l'infiltrer, la contourner, attaquer là où elle n'est pas, miner, là où elle va vouloir passer, et même si 90 % des 400 000 soldats irakiens avaient foutu le camp, les 40 000 restant, à savoir sans doute les plus courageux, déterminés et combattifs, furent suffisant pour aboutir au résultat que l'on sait...

 

Lartéguy avait écrit "Un million de dollar le viet", comparant les dépenses américains au Viet Nam et les pertes Viet Cong et Nord Vietnamiennes.

Certains d'ailleurs, dans les cercles militaires US, très conscient du problème, avaient tout bonnement proposé de monter un programme pour acheter la reddition des insurgés. A 20 000 USD, ils pensaient pouvoir acheter en bloc, ou peu s'en faut, toute l'armée VC. 

Je rappelle aussi, au lecteur, que ces sommes sont celles des années 1960, et non celles d'aujourd'hui...

 

Il reste qu'avec ces interventions militaires sans fin, ni but, les occidentaux ont atteint le summum de la suffisance et du ridicule. Et sans rien arranger, d'ailleurs.

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O
@Godroni<br /> Témoignage bidon, les femmes russes fuient les hommes de leur pays.
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S
@La gaule<br /> T’es infaillible ; sauf dans la phrase « …apparu sous les traits du beau-père alcoolo et violeur. » qui m’a l’air de résulter plutôt de ton imaginaire foisonnant que d’une réalité sociologique.<br /> Mais s’il t’arrive d’en embarquer qqsunes à l’occasion de vos parlottes nocturnes je dis « chapeau-bas monsieur » et serais même prêt à passer un weekend à Grenoble question de vous faire<br /> compagnie.
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S
@Jaurès<br /> Mais pourquoi ont-ils tué Jaurès? Vos remarques sont légitimes ; mais la remarque sur la "torpeur bourgeoise" de gdroni aussi. Une critique qui tient ne doit pas vous blesser si vous faites<br /> réellement partie de cette France que vous décrivez avec justesse plus-haut ; gdronie parle de la France bourgeoise ; celle des passe-droits, des pistonnés, de l'éternel renvoi d'ascenseur au<br /> détriment des compétences réelles CAD de la productivité et l'efficacité ; qui est juste malgré le fait qu’elle froisse votre sentiment patriotique.
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L
@ Godronni<br /> <br /> Travaillant dans un hôtel et dans une ville où il y a pas mal de russes (j’ai déjà parlé quelquefois de ça ici), je ne peux que reconnaître l’exactitude de ce témoignage russe et de vos<br /> réflexions.<br /> <br /> Le discours de votre témoin sur la nécessité de rentrer au pays en regard de la m…. que l’on a ici, je le tiens moi-même régulièrement à des gens (surtout des femmes d’ailleurs) qui végètent ici<br /> depuis dix ans, quinze ans et plus, études incluses (souvent remarquables), et qui n’arrivent pas à « décoller » quoiqu’elles fassent.<br /> <br /> Croyez que cela me coûte beaucoup de tenir ce discours là, et j’ai effectivement l’impression que ces gens le reçoivent comme l’illustration de leur amour déçu pour notre pays.<br /> <br /> Quant à l’histoire de la « chasse au mari », elle est vraie également. Mais il faut considérer que les filles russes ont une approche beaucoup plus triviale de la chose affective.<br /> Il y a des raisons historiques à cela, et il y aurait beaucoup à dire sur une société ou le père a souvent été absent pour cause de purge ou de guerre et où l’homme est souvent apparu sous les<br /> traits du beau père alcoolo et violeur. Une société qui a finalement reposé aussi sur les épaules avisées et débrouillardes de la femme.<br /> <br /> Cela laisse des traces, même sur les générations qui suivent. Moi, finalement, ces gonzesses, je les trouve plus authentiques -et attirantes- que les nôtres, précisément de par ce côté « terrienne<br /> femelle » bien assumé.
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M
Chacun sa vie Gdronni, apparemment les notres ne se sont pas ressemblées. Une question de génération peut être? quant à la torpeur bourgeoise tu m'as bien fait rire. et comme j'adore l'expression<br /> je vais la resservir.
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G
@MJ : et ben non, moi qui suis dans ce milieu, c'est exactement ca. Les copines de ma fac à l'époque correspondent tout a fait a ce portrait ! toutes a chercher un mari avec du fric, et le<br /> tromper<br /> au bout de quelques mois-années car elles s'ennuient (c'est du vecu perso)<br /> <br /> sinon t'as pas compris l'allusion sur la fonctionnaire : ca veut dire qu'elle aura pas sa prime ... et n'ayant point de TV pourrie non plus, je peux te dire qu'ils passent sdouvent !<br /> <br /> Ah oui aussi, sort de ta torpeur bourgeoise sur les recits de vie (genre qu'on trouve sur les forums), il n'y a pas tant que ca de mythos (sauf sur les forums de geeks ...) : c'est juste que la<br /> realité, c'est un coup de pied au CUL, comme disait Jacques Lacan.
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L
Voila qui devrait nous donner a réfléchir sur le vote européen et la necessité de voter pour les partie pronant la souvereineté nationale dans toutles pays européen :<br /> <br /> http://www.les-crises.fr/traite-transatlantique-typhon/
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J
@ gdronni<br /> Restez surtout où vous êtes.<br /> Vous n'aviez qu'à aller faire un tour aux Usa, ou bien en Grèce, au Portugal ou Espagne et là tout se serait beaucoup mieux passé certainement<br /> La France et ses institutions peuvent être critiquées, certes...mais d'ici à traiter la France de Putain ???<br /> quelle condescendance et quel mépris !<br /> Nous sommes victimes d'élites corrompues et surtout du système néolibéral mondialisé qui sort ses crocs<br /> Mais la France des travailleurs et des précaires ou chômeurs mérite respect et dignité<br /> <br /> En retour, la France est bien contente que des gens comme vous aient débarrassé le plancher<br /> Mes amitiés à Putin, si vous le croisez
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G
on continue a se pisser dessus avec l'aviation civile !<br /> <br /> <br /> LE SECTEUR DE LA VALEUR<br /> Transport aérien<br /> <br /> Une étude réalisée pour le compte de l'Association internationale du transport aérien (IATA), et intitulée « Vision 2050 » souligne, qu'à cet horizon, le nombre de voyages effectués chaque année<br /> devrait être multiplié par six et passerait ainsi à 16 milliards. Dans le même temps, le transport aérien de marchandises devrait être multiplié par dix, avec 400 millions de tonnes de cargo par<br /> an. Les actuels majors du transport aérien risquent d'être supplantés par de nouveaux entrants, en provenance de Chine, d'Inde, du Brésil, de Russie ou du Mexique. Certains experts alertent sur le<br /> danger de disparition pesant sur Air France-KLM, Lufthansa et IAG. Les acteurs européens se rapprocheraient dans un mouvement défensif et ne seraient plus que deux ou trois grands groupes.<br /> <br /> http://www.capital.fr/bourse/actualites/boeing-le-787-n-en-sort-pas-904596
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B
Les prêts des banques européennes au secteur privé sont en bleu :<br /> <br /> http://www.zerohedge.com/sites/default/files/images/user5/imageroot/2014/01/November%20Eurozone%20Loan%20Creation.jpg<br /> <br /> Ce graphique montre que le LTRO (1019 milliards d'euros) est un échec total : les banques européennes prêtent de moins en moins au secteur privé.<br /> <br /> En Europe, les prêts au secteur privé s'effondrent.<br /> <br /> L’économie réelle n’a pas du tout profité des 1019 milliards d'euros du LTRO.<br /> <br /> En réalité, que font les banques européennes des 1019 milliards d'euros que leur a prêtés la BCE en décembre 2011 et en février 2012 ?<br /> <br /> Réponse : plutôt que de prêter au secteur privé, chaque banque préfère prêter à son Etat.<br /> <br /> Conséquence : pour plusieurs Etats européens, la dette publique a commencé à baisser.<br /> <br /> Mais en revanche, pour d'autres Etats, la dette publique continue à augmenter.<br /> <br /> Mercredi 22 janvier 2014 : Eurostat publie les chiffres de la dette publique du troisième trimestre 2013.<br /> <br /> 1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 317,310 milliards d’euros, soit 171,8 % du PIB. Ces deux chiffres sont en hausse.<br /> <br /> 2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2068,722 milliards d’euros, soit 132,9 % du PIB. Ces deux chiffres sont en baisse.<br /> <br /> 3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 210,965 milliards d’euros, soit 128,7 % du PIB. Ces deux chiffres sont en baisse.<br /> <br /> 4- Irlande : dette publique de 204,696 milliards d’euros (en hausse), soit 124,8 % du PIB (en baisse).<br /> <br /> 5- Chypre : dette publique de 18,403 milliards d’euros, soit 109,6 % du PIB. Ces deux chiffres sont en hausse.<br /> <br /> 6- Belgique : dette publique de 393,603 milliards d’euros, soit 103,7 % du PIB. Ces deux chiffres sont en baisse.<br /> <br /> 7- Espagne : dette publique de 954,863 milliards d’euros, soit 93,4 % du PIB. Ces deux chiffres sont en hausse.<br /> <br /> 8- France : dette publique de 1900,848 milliards d’euros, soit 92,7 % du PIB. Ces deux chiffres sont en baisse.<br /> <br /> 9- Royaume-Uni : dette publique de 1431,399 milliards de livres sterling (en hausse), soit 89,1 % du PIB (en baisse).<br /> <br /> http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-22012014-AP/FR/2-22012014-AP-FR.PDF
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M
@ Gdronni,<br /> <br /> J’ai le sentiment que c’est un pur texte de propagande car au vu de certains passages ça ne correspond pas vraiment à ce que l’on rencontre en France.<br /> « Mes copines de fac…. Leurs maris étaient certes d’excellents pères, »<br /> Etudiantes-mariées-mères, c’est franchement rare ici.<br /> <br /> « De téléviseur, elle n’en trouva point, évidemment. « Bon, eh bien, je ne mangerai pas ce soir », a-t-elle soupiré »<br /> Le concept de fonctionnaire payé à tâche est sans doute russe mais pas ici. La brave fonctionnaire mangera ce soir. Et si elle ne mange pas ça ne sera pas parce qu’elle n’a pas trouvé de TV chez<br /> cet habitant.<br /> <br /> « même si la plupart de mes connaissances françaises s’indigneront après avoir converti mon salaire russe en euros. »<br /> MMM, ça c’est bien !!! un tiens vaut mieux que deux tu l’auras ! et je justifie pleinement qu’être russe et mal payé c’est bien et qu’il ne faut pas se plaindre.
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F
Quelques idées de combat entre les parties prenantes lors de manifestations (en Ukraine)<br /> <br /> http://www.spi0n.com/ukraine-policier-cocktail-molotov/
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G
La france est une vieille putain sur le retour !<br /> <br /> Pourquoi je n’ai pas voulu rester en France<br /> Rusina Shikhatova publié Mardi 21 janvier 2014<br /> <br /> Ça fait maintenant un an que je vis à Moscou, salariée, heureuse. Pourtant, durant mon enfance en Sibérie, on m’avait appris, comme à de nombreux Russes, à adorer la France. Je l’admire toujours,<br /> mais tout quitter pour y vivre – c’est autre chose.<br /> <br /> Au cours de mes cinq années françaises, j’ai vécu plein de choses : des chagrins et des amitiés pour la vie, de bons repas et des rencontres heureuses, des conversations avinées et des confidences<br /> inattendues, un mariage et un accident de voiture. Seul élément manquant : je n’ai jamais trouvé de véritable emploi.<br /> <br /> D’abord, on y croit – je vais continuer mes études, obtenir des diplômes français, voire un titre de docteur… Mais non. « Que dalle ! » t’assène le Pôle emploi, où la dame, loin d’être surdiplômée,<br /> hoche la tête, compréhensive, en cochant sur son écran tes compétences – limitées à dix.<br /> <br /> Je me souviens encore de mon dernier petit boulot – veilleuse de nuit dans un hôtel – pour lequel il m’avait fallu passer pas moins de quatre entretiens d’embauche. Où l’on m’assurait de toutes les<br /> possibilités de promotions incroyables – tu commenceras veilleuse pour quelques années puis tu pourras passer à la réception. Chez nous, tous les étrangers commencent par là. Et là, l’envie de<br /> s’échapper, de sauter sur son vélo et pédaler à toutes jambes. Là, on se cogne, qu’on le veuille ou non, aux coins de l’hexagone, bien tortueux quand même.<br /> <br /> « Le chômage ? Connais pas ! » me confiait un pote, ancien légionnaire, Russe à la fleur de l’âge travaillant maintenant comme taxi au noir. Et tout de même, il m’a fallu à moi un peu plus de cinq<br /> ans pour ressentir, dans ma chair, le sentiment d’impasse d’un espace qui, pour une âme slave égarée, est toujours restreint à en perdre la raison – malgré les sempiternelles<br /> liberté-égalité-fraternité.<br /> <br /> Je me souviens d’un soir d’été, avec un copain, assis sur un banc tout près de Notre-Dame. En nous entendant parler russe, un jeune type, visiblement Caucasien, s’était précipité vers nous, tout<br /> plein de son autosatisfaction : « Eh, les gars ! Vous êtes étudiants ? Eh bien moi, figurez-vous, je viens d’avoir mon permis. Et je vais m’acheter bientôt une voiture ! » Bon, c’est sûr, à chacun<br /> sa conception du succès.<br /> <br /> J’avais vingt-deux ans, moi, lorsque, diplôme russe d’études supérieures en poche et toutes mes dents, je me précipitai vers là où la misère de la province russe semblait lointaine, vers le plus<br /> incroyable des rêves – la douce France.<br /> <br /> Un an plus tard, la plupart de mes compatriotes arrivés au pair fondaient une famille, et moi, j’espérais dénicher un travail intéressant. Je trouvais bien des boulots intéressants, au sein de la<br /> communauté russe, avec la moitié voire la totalité de mon salaire en cash – au plus grand mépris de la stricte législation française. Optimiste, je me disais que ça irait mieux après. Car ma petite<br /> voix intérieure ne savait pas encore tout le bonheur que représentait un contrat à durée indéterminée, même semi-légal, dans un bureau de tourisme russe.<br /> <br /> Plus tard, je touchais des allocations chômage et je m’inscrivais dans une autre université pour renouveler mon titre de séjour. J’étais veilleuse de nuit, un travail absolument nul – censé<br /> pourtant faire envie à ceux qui n’en ont pas. J’avais payé un prix fou à l’auto-école, le permis étant un avantage en plus pour les employeurs.<br /> <br /> Mes copines de fac, plus ou moins bien placées, discutaient des taux de remboursement des différentes mutuelles et des effets secondaires des anti-dépresseurs. Leurs maris étaient certes<br /> d’excellents pères, ne buvant pas ou prou et fumant à peine quelques joints – mais à jamais coincés dans un minimum de biens vitaux. Et là, à un moment, ma petite voix intérieure est devenue grave<br /> – elle exigeait que je rentre en Russie.<br /> <br /> Si j’écris tout cela, ce n’est certainement pas pour qu’on me plaigne, même si la plupart de mes connaissances françaises s’indigneront après avoir converti mon salaire russe en euros.<br /> <br /> Ma douce France, image de l’enfance et rêve de mes enseignants qui n’y s’étaient jamais rendus… est-ce bien toi ?<br /> <br /> Quelques jours avant de quitter mon appartement strasbourgeois, une dame du Fisc était venue me voir. « Vous avez déclaré ne pas posséder de téléviseur. Je suis là pour vérifier. » De téléviseur,<br /> elle n’en trouva point, évidemment. « Bon, eh bien, je ne mangerai pas ce soir », a-t-elle soupiré en me faisant signer la copie de son procès-verbal.<br /> <br /> Pardon, la France, et adieu. T’aimer revient à peu près à aimer une vieille putain sur le retour, un peu embrumée, heureuse de se donner à tout et tous. Et vive le bonheur qu’existent encore,<br /> quelque part, d’autres valeurs que le salaire minimum et les contrats à durée indéterminée !<br /> <br /> <br /> http://www.lecourrierderussie.com/2014/01/21/pourquoi-pas-voulu-rester-france/
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S
« Le summum de la suffisance et du ridicule » est le produit d’une idéologie ; on ne verra la fin du ridicule qu’avec la fin de cette même idéologie ; par la guerre ou tout simplement par<br /> l’essoufflement d’un coureur de jupons obese qui se prenait (et se prend encore pour l’instant) pour un marathonien.
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E
Dans le genre jean Foutre<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/industrie-lourde/actu/0203254973662-la-voiture-preferee-des-allemands-victime-de-manipulation-des-chiffres-644196.php<br /> <br /> Le mythe du deutch Qualitat se fissure de plus en pllus
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P
Laurent Louis a des couilles pour balancer, encore et encore des vérités sur le Fascisme de Herr Valls, Hollande et consors...<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=guSqJc98Sg0
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L
Un discours a ne pas louper<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=vK8lMGY9Cng
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