Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Je ne veux voir qu'une seule tête...

31 Octobre 2013 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

Nous dit on. Je ne sais si la législation grecque dont j'ai parlé est fraie, ou fausse, peu importe. Ce qui est important, c'est l'état d'esprit de la caste dirigeante.
A l'instar de 2005 et de son referendum, on voulait bien demander l'avis du peuple, à condition qu'il soit conforme au dogme, nouvelle forme de la religion laïcisée, mais obligatoire, comme l'ancienne...

 

L'argument massue étant qu'on connaissait les défauts du système, mais qu'il apportait la prospérité et l'abondance.

Quand la prospérité et l'abondance disparaissent, la justification du système aussi.

 

Il ne peut, donc, même plus parier sur l'ignorance et le dédain de la dissidence. Il doit rentrer dans une voie plus soviétique, qui doit lui permettre d'écraser qui bon lui semble, d'où les listes invraisemblables d'apprentis terroristes de la NSA, et les lois grecques.

 

Bien entendu, elles ne peuvent pas être appliquée d'une manière systématique, mais elles permettent, comme au moment de la grande chasse aux sorcières ou lors de la révolution française, des massacres de masse, localisés.

 

En matière économique, la même tentation totalitaire est à l'oeuvre, notamment en matière énergétique.

Nulle part, il n'y a remise en question. Seuls, les gouvernements peuvent remettre en question les lobbys énergétique. Hors, dans le grand ballet entre eux deux, on se demande qui est le chef, et qui est le faire valoir.
Entre Proglio et Hollande, comme entre Proglio et Sarkozy; on peut légitimement se poser la question de savoir qui commande.

Mao Tsé toung, par exemple, n'avait aucun rôle officiel à sa mort. Pourtant, on savait qui était le boss....

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Et maintenant DSK qui confirme les troubles à venir :<br /> <br /> http://www.leparisien.fr/economie/crise-en-europe-le-scenario-catastrophe-de-dsk-01-11-2013-3278147.php#xtor=AD-32280599
Répondre
B
Le scandale de l'année 2013 : le nouveau siège de la BCE.<br /> <br /> Selon l'ancien président de la BCE, Jean-Claude Trichet, ce nouveau bâtiment devait coûter aux contribuables 500 millions d'euros.<br /> <br /> En réalité, les contribuables devront payer ... 1,15 milliard d'euros.<br /> <br /> C'est une confirmation : les dirigeants de la BCE sont des incapables et des incompétents.<br /> <br /> Mais ça, on le savait depuis dix ans déjà.<br /> <br /> Lisez cet article :<br /> <br /> Les coûts de construction du nouveau siège de la BCE explosent : de 500 millions d'euros à 1,15 milliard d'euros.<br /> <br /> Le 19 mai 2010, Jean-Claude Trichet, qui présidait alors la Banque Centrale Européenne (BCE), avait organisé une cérémonie à Francfort pour célébrer la pose de la première pierre de l’immeuble de<br /> 45 étages qui allait devenir le futur siège de la BCE. « Nous devons nous assurer que les coûts de construction ne dépassent pas le budget estimé », avait-il alors déclaré.<br /> <br /> Mais Der Spiegel rapporte que 3 ans ½ plus tard, les coûts de ce projet ont explosé, passant d’une estimation de 500 millions euros à 1,15 milliard, voire même jusqu’à 1,3 milliard d’euros.<br /> <br /> Chaque espace de travail aura coûté environ 600.000 euros, soit l’équivalent d’une maison familiale très confortable, alors qu’en matière d’immobilier professionnel, à partir de 30.000 euros par<br /> bureau, on parle de haut de gamme.<br /> <br /> Le site de la BCE propose des photos et une visite guidée virtuelle de l’immeuble visibles ici :<br /> <br /> http://www.express.be/business/fr/economy/les-couts-de-construction-du-nouveau-siege-de-la-bce-explosent-de-500-millions-deuros-a-115-milliard-deuros/197926.htm
Répondre
F
et la suite (pour Quimper) :<br /> <br /> Valls annule sa visite au Proche Orient. Ce week-end, Manuel Valls devait initialement se rendre au Proche Orient, en Israël et dans les territoires palestiniens, un déplacement prévu de longue<br /> date. Il a préféré y renoncer "pour rester vigilant sur la manifestation de Quimper", confie son entourage, avant de préciser que c’est sur son initiative et non à la demande de Matignon ou de<br /> l’Elysée que le voyage a été annulé.<br /> <br /> A Paris, on regarde donc avec crainte cette manifestation, même si la décision de suspendre l’écotaxe en a contenté certains en Bretagne. Plusieurs organisations syndicales se sont même démarquées<br /> de l'appel à manifester : la CGT, Solidaires et FSU ont par exemple appelé, dans un communiqué commun, à ne pas s'y rendre… tout en organisant une autre manifestation à Carhaix le même jour et à la<br /> même heure. La CFDT Bretagne a elle aussi indiqué qu'elle n'appelait pas à défiler, tout comme le comité régional des pêches maritimes de Bretagne.<br /> <br /> Jean-Marc Ayrault appelle au calme. Le Premier ministre a mis en garde vendredi contre la "spirale de la violence" . "C'est très important de rappeler que la France est un pays démocratique et que<br /> le droit de manifester existe", a assuré Jean-Marc Ayrault lors d'une conférence de presse commune avec son homologue russe, Dmitri Medvedev. "En même temps, on ne peut pas construire si on<br /> s'engage dans une espèce de spirale de la violence", a ajouté le chef du gouvernement. "Je souhaite que cette manifestation soit pacifique, c'est le souhait de l'immense majorité des Français et<br /> des Bretons qui veulent redonner confiance à ce territoire", a-t-il poursuivi. "On ne résoudra pas le problème des Bretons autrement que par le dialogue. Le geste de mardi (la suspension de<br /> l'écotaxe) a permis d'apaiser et de construire un espace de dialogue", a encore souligné Jean-Marc Ayrault, ajoutant que "l'essentiel soit que tout le monde se mette autour de la table" pour<br /> commencer des discussions.
Répondre
F
Le pouvoir paniquerait il avant la manie de Quimper ??? :<br /> <br /> A manif exceptionnelle, dispositif exceptionnel. De son côté, la municipalité de Quimper a d'ores et déjà entamé des mesures d’envergure pour parer aux probables débordements. "Une très grande<br /> inquiétude" anime la mairie, selon les informations recueillies par Europe 1. Les abris-bus ont été démontés au marteau-piqueur. Il en va de même pour les panneaux d’information, les bancs publics,<br /> les bacs à fleurs et les horodateurs, l'ensemble sur un large périmètre. Les commerçants ont également choisi de garder leur rideau baissé "en solidarité, mais aussi par précaution" souligne-t-on.<br /> Plus rare, mais symptomatique de l'état de tension qui règne sur Quimper, les quatre évêques de la ville ont appelé au calme.
Répondre
B
PricewaterhouseCoopers (exerçant sous la raison sociale de PwC) développe des missions d'audit, d'expertise comptable et de conseil. Dans un nouveau rapport alarmant, PwC étudie les actifs pourris<br /> que les banques européennes ont dans leurs livres.<br /> <br /> Selon lui, les banques européennes avaient dans leurs livres 514 milliards d’euros d’actifs pourris en 2008.<br /> <br /> Fin 2012, elles avaient dans leurs livres 1187 milliards d'euros d'actifs pourris, et ce chiffre va continuer à augmenter dans les années qui viennent !<br /> <br /> Selon PwC, le portefeuille de créances douteuses que les banques européennes devraient chercher à revendre ou à passer en pertes se monte à 2400 milliards d’euros !<br /> <br /> En clair :<br /> <br /> Les banques européennes sont en faillite.<br /> <br /> Les banques européennes sont des banques-zombies.<br /> <br /> Mardi 29 octobre 2013 :<br /> <br /> La valeur des prêts à risque des banques européennes a doublé en 4 ans pour atteindre 1.187 milliards d'euros.<br /> <br /> Le montant des prêts à risque des banques européennes a doublé entre 2008 et 2012, indique un rapport de PwC. L’aggravation enregistrée cette année, qui se monte à 100 milliards d’euros, a été<br /> principalement alimentée par les hausses enregistrées en Italie, en Grèce, en Espagne et en Irlande.<br /> <br /> Le rapport indique que les prêts à risque sont passés de 514 milliards d’euros en 2008 à 1.187 milliards d’euros à la fin de l'année 2012, et il prédit une hausse à l’avenir, compte tenu du «<br /> climat économique incertain ».<br /> <br /> Selon Richard Thompson de PwC, le rééquilibrage des bilans du secteur bancaire européen, qui doit passer par l’épuration de ces prêts défaillants, devrait encore prendre quelques années.<br /> <br /> Il estime que le portefeuille de créances douteuses que les banques devraient chercher à revendre ou à passer en pertes se monte à 2.400 milliards d’euros.<br /> <br /> http://www.express.be/business/fr/economy/la-valeur-des-prets-a-risque-des-banques-europeennes-a-double-en-4-ans-pour-atteindre-1187-milliards-deuros/197795.htm
Répondre