Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Jusqu'ici ça va, jusqu'ici ça va...

29 Novembre 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique

 

 

 

Comment changer l'Europe ? Facile, tout mettre par terre.

Des classes dirigeantes, françaises, européennes, élitistes, foireuses ? ça, on avait compris.

En même temps, dire que l'Europe ne peut faire banqueroute, parce qu'elle est riche, alors qu'elle ne l'était pas avant ?
Ah bon ?

Pas riche en 1914 ??? D'une richesse bien mal répartie, soit, mais considérablement riche.

 

Les allemands ont réussi à faire Mitteleuropa, avec la monnaie, après l'avoir raté deux fois militairement.

La confiance en l'union s'effrite en Europe, et même s'effondre.

 

Quand aux monnaies uniques, elles furent légions depuis la fin de l'empire romain. Il parait qu'on ne sait pas en sortir ? Ah bon ? Comment on a fait ?
Pas de vrais conflits ? Il est clair que le bouchon à pousser est un peu loin, on nous dit qu'encore le nombre de sacrifiés et le point de collapsus est encore loin ?
Mais est il impossible à obtenir ???

 

 

Les allemands veulent maintenir l'euro, encore 5 ans, pour finir de liquider le reste de l'industrie européenne ?

Après, auront ils des clients ? Douteux.

 

Quand à l'efficacité allemande, laissez moi rire.

La première guerre mondiale a été essentiellement un conflit franco-allemand, une Allemagne qui n'a pas réussi à battre son adversaire, deux fois plus petit que lui.
Quand à la seconde guerre mondiale, cela a été essentiellement un conflit russo-allemand.

Et l'efficacité militaire et productive allemande a été basse, si j'en crois Liddell Hart. Simplement, elle était la deuxième puissance industrielle mondiale, avant la guerre.

De plus, si deux guerres mondiales ont pu avoir lieu, c'est que l'Allemagne a obtenu son optimum charbonnier entre 1900 et 1950. Alors, que, dans le même temps, la Grande Bretagne déclinait (depuis 1870), que la France avait peu de charbon, et que la Russie était perdue dans son immensité.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
Médicaments microéconomie?<br /> <br /> La Commission européenne,estimait,(déjà en 2008!) que les effets secondaires des médicaments (prescrits par les médecins et vendus en pharmacie)tuaient chaque année 197 000 citoyens européens et<br /> coûtaient 79 milliards d'euros aux contribuables européens...(The Lancet 21 juin 2011).<br /> <br /> Ainsi en France les médicaments coûtent chaque année la vie à 20 000 personnes et sont la cause de 1,3 millions d'hospitalisations.(Ministère de la santé).<br /> <br /> Les médicaments sont, en France, la quatrième cause de mortalité; soi 4 à 5 fois le nombre de tués sur la route.<br /> <br /> Mais pour les médicaments il n'y a ni flic ni radars,seulement de spectaculaires scandales... très vites oubliés.<br /> <br /> Les enjeux financiers pour les lobbies de la chimie sont tellement gigantesques.
Répondre
B
Mardi 27 novembre 2012 :<br /> <br /> Hollande : "La résolution de la crise grecque lève les doutes sur la zone euro"<br /> <br /> Le président français François Hollande a estimé mardi que la résolution de la crise grecque allait permettre de lever tous les doutes sur l'avenir de la zone euro, lors d'une conférence de presse<br /> commune avec le Premier ministre belge Elio Di Rupo à Paris.<br /> <br /> "La résolution de la crise grecque va permettre maintenant de lever tous les doutes sur l'avenir de la zone euro, son intégrité, sa pérennité", a déclaré M. Hollande après l'accord trouvé dans la<br /> nuit de lundi à mardi sur les moyens de réduire la dette grecque.<br /> <br /> Fin de citation.<br /> <br /> François Baroin a été ministre de l'Economie et des Finances de juin 2011 à mai 2012. François Baroin vient de publier un livre, "Journal de crise". Il raconte une réunion secrète qu'il a organisée<br /> pour prévoir les conséquences concrètes d'un éclatement de l'euro. Il baptise cette réunion "Black Swan".<br /> <br /> François Baroin raconte cette journée de novembre 2011 : c’est la page 13 et les suivantes :<br /> <br /> Cette hypothèse-là, le "cygne noir", je ne l'avais pas imaginée jusqu'alors. Je réunis autour de moi trois personnes de confiance. Discrétion obligatoire. Ils ne devront en parler à personne, ni à<br /> la presse, évidemment, ni même à leur entourage. Le rendez-vous a lieu dans mon bureau, au sixième étage à Bercy. C'est une discussion sans documents. Pas de traces. Chacun sait que l'objet seul de<br /> la réunion, s'il était connu, pourrait avoir des conséquences désastreuses.<br /> <br /> Nous sommes dans l'obligation d'imaginer une implosion de la zone euro et ses terribles conséquences. Même si j'espère et crois que nous parviendrons à un dénouement "heureux", je rappelle que nous<br /> ne pouvons pas exclure à 100 % le pire scénario. Le pire ? La sortie de la Grèce de l'euro, un effet de contamination, une théorie des dominos qui entraînerait l'éclatement de la zone euro et de<br /> facto la sortie de la France. Un scénario cauchemar. Je demande à ces personnes de confiance de travailler sur deux hypothèses : le coût de la sortie de la Grèce de la zone euro pour la France et<br /> deux types de pertes : celles du secteur banques-assurances d'une part, et celles de l'éclatement de la zone tout entière d'autre part. Je veux pouvoir, si nécessaire, donner ces informations au<br /> président et au Premier ministre. Il nous faut tout envisager : combien de temps prendrait cette sortie de l'euro ? Comment s'organiserait la fabrication d'une nouvelle monnaie ? Quelles seraient<br /> les conséquences d'une telle annonce ? Comment éviter un bank run, une panique bancaire, lorsque les clients se ruent dans les banques pour retirer tout leur argent ? Quel pare-feu faudrait-il<br /> mettre en place ? Quel montant ? Quel plan pour sauver l'épargne, le système bancaire et au bout du compte notre économie ? Un fil rouge, un seul : protéger les économies des Français. Rien ne doit<br /> filtrer. Pour éviter un affolement général, mais aussi une défiance des marchés, des attaques contre l'économie de notre pays, et un effet boule de neige.<br /> <br /> http://www.amazon.fr/Journal-crise-Fran%C3%A7ois-Baroin/dp/2709639645/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1353187307&sr=1-1<br /> <br /> Ce livre de François Baroin montre la différence entre les paroles et les actes des dirigeants politiques européens :<br /> <br /> - Dans leurs paroles, devant les caméras de télévision, les dirigeants politiques européens nous disent avec un grand sourire : "La crise de la zone euro est finie. Tout va bien. Tout s'arrange.<br /> Nous contrôlons la situation."<br /> <br /> - MAIS AU MEME MOMENT, dans leurs actes, dans le plus grand secret, ils préparent l'éclatement de la zone euro.<br /> <br /> C’est une belle bande de menteurs.<br /> <br /> Des menteurs de droite, des menteurs du centre, des menteurs de gauche.
Répondre
G
@youpla<br /> <br /> Oh, non !<br /> <br /> on parle geopolitique et economie politique, on est dans la macro-economie, pas dans la micro.<br /> <br /> Si tu veux te soigner par les plantes, c'est ton probleme
Répondre
Y
@gdronni<br /> Ne plus avoir de sécurité sociale, c'est, en même temps, ne plus avoir le moyen de se payer des médicaments qui nous empoisonnent.<br /> Est-ce un bien ou un mal?
Répondre
G
A lire:<br /> http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=67217<br /> presque 3 ans après, a bah, on s'est planter...<br /> Vraiment dur le métier d'économiste.
Répondre
G
les sacrifiés : 40 % de la population grecque n'a plus de securite sociale ...
Répondre