La force de la loi, et la lutte des classes...

Il suffit de voter de "bonnes lois", et hop, tout est fait.
Vous ne vouliez pas d'OGM ? Vous en mangerez quand même.
Le gouvernement bloquait le prix du gaz ? Pas grave, le conseil d'état le débloque.

Par contre, quand il fut demander d'appliquer le principe constitutionnel de "droit au travail", là, paf, les tribunaux trouvèrent qu'ils n'y avait pas de circulaire d'application.
Et en plus, c'est pour les pauvres, qui, c'est bien connu, préfèrent se complaire avec leur RSA.

Lutte des classes qui se poursuit, par la flambée du chômage, et la baisse des indemnités maladies pour les personnes gagnant plus de 2500 euros bruts par mois (secteur privé).

Bien entendu, notre bon gouvernement, toujours acharné à créer des privilèges, fussent ils futiles, n'appliquera pas la mesure au secteur public.

C'est toujours bon d'avoir à les dénoncer plus tard...

Notons bien que la baisse des indemnités maladies ne s'est pas décidé au parlement, mais entre gouvernement et UMP.

Bonjour la démocratie.

La loi ne s'applique dans toute sa puissance qu'aux petits, et même pas aux petits garnements, mais aux petits qui se tiennent tranquilles.

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[laurent b]

http://finance.edf.com/fichiers/fckeditor/Commun/Finance/Publications/Annee/2011/T32011/EDF_CAT32011_appendices_vf.pdf




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