La réforme des taxes locales.
La plus grande partie de l'immobilier est antérieure à 1970. Et c'est de cette base que dépende les taxes d'habitation et taxes foncières.
Mais, pour qui se souvient de ces années, ce sont les quartiers HLM, tant décriés aujourd'hui, qui possédaient le confort moderne, le bâti plus ancien ne le possédait guère.
La plupart du temps, les immeubles eurent en premier l'électricité, première promue d'un plan d'envergure, mais l'eau courante n'arriva qu'à l'évier dans les années 1950, les wc encore plus tard, et les salles de bains en dernier.
On ne se lavait guère à une époque, pour une bonne raison, c'est que le chauffage des maisons, c'est récent, et l'eau chaude sanitaire aussi.
Aussi, 40 ans plus tard, il est certain que tous ces éléments de confort ont beaucoup évolués, passant dans la consommation de masse.
Les bases d'impositions tenaient compte, en 1970, de l'absence, ou de la présence de ces éléments.
Revoir ces bases serait justice pour ceux qui ont fait construire après, mais entrainerait des hausses monstrueuses, se conjuguant à la hausse monstrueuse qu'on peut espérer pour la suppression de la taxe professionnelle.
Mais pour celle là, ce n'est pas fait, loin de là, à mon humble avis.
Les sénateurs, représentants d'élus locaux, imaginent très bien les répercussions sur leurs fiefs.
Et pour tenir un fief, ils connaissent la musique : embaucher des fonctionnaires, chasser des subventions, etc. Tout ce qui est interdit au monde libéral. Mais n'ayez crainte, même le très intégriste Madelin pratique de cette manière.
Il sait très bien qu'il n'y a pas d'autre moyen d'être réélu.
La suppression de la taxe professionnelle, d'ailleurs, posera vite un autre problème : quel sera l'intérêt pour les communes d'accueillir les entreprises, de leur filer le terrain quasi gratos (ce qui explique la taille des zones en tous genres) , et de se payer les dépenses d'investissements ? Aucun.
De même que pour remettre les clous sur le cercueil, le gonflement de la fonction publique, à partir de la politique Pompidou Giscard, était obligatoire.
On n'aurait pas pu continuer la politique menée pendant 35 ans, sans ces embauches croissantes de fonctionnaires.
Le contrat social est un contrat non écrit. Rien n'oblige les gouvernants à le respecter, et la réaction est finalement, très longue à venir.
Mais on est dans une situation de dominos, la première finalement, de la "théorie des dominos", chère à Mac Namara : laisser en tomber un, et toute la file suivra.
An réalité, Sarkozy prouve le contraire. En attaquant les dominos un par un, on évite une révolte fondamentale.
C'est quand on attaque plusieurs dominos à la fois, qu'on rend les gens fous. Tous les repères de stabilité sautent et en même temps, les attaques se font de plus en plus rapprochés au moins depuis 2002.
C'est l'attaque incessante. l'attaque par vague.
Un médecin psychiatre palestinien a tué 12 personnes et blessés 30.
Mais ce qui choque, finalement, c'est que ça se soit passé dans une base militaire.
En effet, aux USA, les relations de travail se règlent souvent à l'AK 47.
Des tas de personnes sont en prison pour avoir refroidi leur patron ou leurs collègues de travail.
Ici c'est encore exceptionnel.
Quand on semble souffler sur un point, c'est l'autre point qui enfle. L'inflation des loyers semble se calmer, la bulle immobilière dégonfle, ce sont les impôts qui augmentent.
Et que le branquignol de l'Elysée ne disent pas qu'ils n'augmentent pas, ce n'est pas vrai.
" le riche paie peu ou pas du tout, le pauvre paie le prix fort."
On peut aussi rajouter que le pauvre vend mal ce qu'il a à vendre...
Mais, pour qui se souvient de ces années, ce sont les quartiers HLM, tant décriés aujourd'hui, qui possédaient le confort moderne, le bâti plus ancien ne le possédait guère.
La plupart du temps, les immeubles eurent en premier l'électricité, première promue d'un plan d'envergure, mais l'eau courante n'arriva qu'à l'évier dans les années 1950, les wc encore plus tard, et les salles de bains en dernier.
On ne se lavait guère à une époque, pour une bonne raison, c'est que le chauffage des maisons, c'est récent, et l'eau chaude sanitaire aussi.
Aussi, 40 ans plus tard, il est certain que tous ces éléments de confort ont beaucoup évolués, passant dans la consommation de masse.
Les bases d'impositions tenaient compte, en 1970, de l'absence, ou de la présence de ces éléments.
Revoir ces bases serait justice pour ceux qui ont fait construire après, mais entrainerait des hausses monstrueuses, se conjuguant à la hausse monstrueuse qu'on peut espérer pour la suppression de la taxe professionnelle.
Mais pour celle là, ce n'est pas fait, loin de là, à mon humble avis.
Les sénateurs, représentants d'élus locaux, imaginent très bien les répercussions sur leurs fiefs.
Et pour tenir un fief, ils connaissent la musique : embaucher des fonctionnaires, chasser des subventions, etc. Tout ce qui est interdit au monde libéral. Mais n'ayez crainte, même le très intégriste Madelin pratique de cette manière.
Il sait très bien qu'il n'y a pas d'autre moyen d'être réélu.
La suppression de la taxe professionnelle, d'ailleurs, posera vite un autre problème : quel sera l'intérêt pour les communes d'accueillir les entreprises, de leur filer le terrain quasi gratos (ce qui explique la taille des zones en tous genres) , et de se payer les dépenses d'investissements ? Aucun.
De même que pour remettre les clous sur le cercueil, le gonflement de la fonction publique, à partir de la politique Pompidou Giscard, était obligatoire.
On n'aurait pas pu continuer la politique menée pendant 35 ans, sans ces embauches croissantes de fonctionnaires.
Le contrat social est un contrat non écrit. Rien n'oblige les gouvernants à le respecter, et la réaction est finalement, très longue à venir.
Mais on est dans une situation de dominos, la première finalement, de la "théorie des dominos", chère à Mac Namara : laisser en tomber un, et toute la file suivra.
An réalité, Sarkozy prouve le contraire. En attaquant les dominos un par un, on évite une révolte fondamentale.
C'est quand on attaque plusieurs dominos à la fois, qu'on rend les gens fous. Tous les repères de stabilité sautent et en même temps, les attaques se font de plus en plus rapprochés au moins depuis 2002.
C'est l'attaque incessante. l'attaque par vague.
Un médecin psychiatre palestinien a tué 12 personnes et blessés 30.
Mais ce qui choque, finalement, c'est que ça se soit passé dans une base militaire.
En effet, aux USA, les relations de travail se règlent souvent à l'AK 47.
Des tas de personnes sont en prison pour avoir refroidi leur patron ou leurs collègues de travail.
Ici c'est encore exceptionnel.

Quand on semble souffler sur un point, c'est l'autre point qui enfle. L'inflation des loyers semble se calmer, la bulle immobilière dégonfle, ce sont les impôts qui augmentent.
Et que le branquignol de l'Elysée ne disent pas qu'ils n'augmentent pas, ce n'est pas vrai.
" le riche paie peu ou pas du tout, le pauvre paie le prix fort."
On peut aussi rajouter que le pauvre vend mal ce qu'il a à vendre...
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