Le Pentagone s'alarme...
De la vitesse de déclin des champs pétroliers classiques. - 6.3 au lieu des - 3 % prévus, et plus éloquents, il dit que l'investissement dans la recherche et le forage, a, depuis 2000, augmenté de 200-300 % (en réalité, c'est 300 % 240 milliards USD en 2006, 750 milliards en 2014), pour une production en hausse de seulement 12 %.
Le pic des exportations a été atteint. Donc, les élites vont nous faire passer le mur du çon, et ça va péter.
Cela conforte aussi le retrait de l'empire américain, et occidental. Assis sur le pétrole, sa mainmise ne peut que décliner.
Si une production de 10 millions de barils/ jour avait été suffisante pour le constituer en 1945, il est clair que désormais, les habitudes sont très différentes, la voiture, d'exceptionnelle,
est généralisée, et toute la machinerie économique, taillée pour le pétrole. Alors, qu'avant, elle l'était pour le charbon, ou moins encore.
Ce que j'avais prévu auparavant se passe : des effondrements localisées se produisent, après le pic de la consommation grecque, et son pic automobile, se produit le pic de consommation italien. En la matière, le pays est revenu à 1967. 1.2 millions de barils jour, contre 2 millions.
Sans doute, la crise du monde périphérique qui est en train de lever, à savoir sur le Brésil, l'Afrique du sud, la Turquie, l'Inde, la Chine, voir le Japon.
Bien entendu, le coeur de l'empire, en crise, ne rebondit pas non plus. En bref, le crash s'annonce, et son coeur semble aussi la crise pétrolière, sous jacente.
Bien entendu, ça n'empêche pas certains (adjectif censuré et malpoli) de prévoir les hypermétropoles qui vont supplanter les nations, et des riches nomades.
Quelques quartiers biens gardés ? Et le reste ? Et puis, les donjons, c'est fait pour être assiégé, pris, gardes et importants zigouillés, femmes violées...
Quand ce ne sont pas les gardes qui s'en charge...
On a même une droit, récemment, a une émission sur le "rebond" de Detroit.
Comme je l'avais dit, ce sont bel et bien les habitants restants qui démolissent la plus grande partie de la ville, en rachetant 1 $ et démolissant après pendant que certains restes attirent les plus fortunés.
Replanter des arbres et faire du potager...
Comme je l'avais dit, la situation géographique de Detroit implique une renaissance. Bien placé à un carrefour sur les grands lacs, un certain volume d'activité est sûr.
Quand à créer un centre urbain de bureau, c'était déjà tenté il y a plus de 20 ans. Le problème c'est qu'ils n'y avaient amené... que les siéges sociaux des
grands constructeurs automobiles.
Il est sûr qu'avec des coûts immobiliers dix fois moins chers qu'ailleurs, le déménagement de certains groupes est intéressant.
Pour le particulier muté, le coût de l'immobilier est aussi intéressant.
Le zonage, entre zones de guerres (des gangs et de la drogue) et zones plus calmes, permet aussi de vivre sans trop de risques.
Il reste que les destructions massives, en entassant ()ou plutôt déplaçant la population restante dans d'autres quartiers, résoud, mécaniquement les problèmes de délinquance.
De plus, il faut aussi compter l'économie grise et noire. Au carrefour de deux pays, la ville profite économiquement du trafic de drogue, ce qui explique sans doute aussi le niveau d'insécurité.
Comme je l'ai déjà dit, la fin de l'abondance du pétrole génére automatiquement une autre économie, qui peut être très dynamique, surtout si on a fait faillite, et
que, du passé, on a fait table rase.
On peut être sûr et certain, qu'un jubilé de la dette, la fin du crédit (ou plutôt une nette contraction) et de la monnaie dette, l'effondrement des loyers, risque de rendre la vie du simple
citoyen beaucoup plus acceptable qu'elle ne l'est actuellement.
Un gros nominal "risque de disparaître", et nous laisser le réel. Mais un sportif célèbre nous a appris, qu'après avoir vécu à 100 (et plus) à l'heure, il fallait
se lancer dans la culture du légume.
Bon je sais, c'est de l'humour noir et déplorable, j'ai honte, et je