Le suicide économique...
26 Mai 2011 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Politique
Le gouvernement français, particulièrement bien burné au cours des années, en incompétents notoires, présentés comme "incontournables", est tout bonnement, dans la
merde.
Ces incompétents, quand ils ont atteint le 5°dan de la crassitude économique totale, se voient propulsés au FMI, où ils peuvent faire profiter la planète entière du
spectacle de leur manque évident d'intelligence, de leur courtisanerie, de leur veulerie vis-à-vis des puissants et leur mépris des "inférieurs".
Ils adhérent au système, jusqu'à plus soif, jusqu'à la mort.
Les données du problème sont simples :
- les salaires sont bloqués, ou pire, réduits,
- les pensions, idem,
- l'endettement atteint dans le secteur privé et les particuliers, un sommet indépassable,
- pire, il devient judicieux, notamment aux USA, d'enclencher les procédures de faillites. On perd une maison qui ne vaut plus que la moitié de son hypothèque,
-l'endettement public pose problème.
Hors, pour des raisons idéologiques et de lutte des classes, les hommes politiques refusent la seule chose qui peut donner de l'air au système : la monétisation de la dette au profit de l'état.
La loi Pompidou-Giscard-Rothschild a montré sa nocivité à court, moyen et long terme, et permet juste à des branleurs d'héritiers sans talents à bien vivre sans
travailler...
- Pendant ce temps, les excellences se félicitent du refus provisoire et totalement faux-cul du protectionnisme (le "faites ce que je dis, pas ce que je fais", devient la règle, et même la commission européenne, totalement alzheimerisée, s'est aperçue du problème),
- le refus du protectionnisme, se double d'une course généralisée à l'excédent extérieur. On peut citer le cas émouvant de l'ancien président français, qui ne comprenait pas pourquoi TOUS les pays ne pouvait être en excédent.
- Autres temps, autres moeurs. Les goûts de certains pour les femmes noires dans les années 1970 étaient connus, la consommation était grande, et ça tombait de toutes les manières, comme à Gravelotte (même des femmes de présidents furent "enceintées" comme on dit là-bas), aujourd'hui, ça peut mener en prison, même des gens ayant rang de chef d'état : les habitudes changent.
La politique, ça va faire comme les usages : ça va changer. Ne reste plus qu'à savoir quand...
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