Pauvres cubains...
Pensez donc à ces
pauvres cubains. Ils sont dans la misère. A cause de leur gouverneument abjecteuh, ils n'ont pas la chance de payer un loyer exorbitant pour leur logement, et des frais de santé démentiels pour
avoir la satisfaction d'avoir un gros PIB.
En effet, les dépenses de santé se montent à
- 400 $ par personne à Cuba,
- 3000 $ par personne en GB,
- 7500 $ par personne eaux USA.
"Partout où ils sont invités, les Cubains mettre en œuvre leurs holistique axée modèle de prévention, les familles en visite à la maison, la surveillance proactive et santé maternelle et infantile. Ceci a produit «des résultats étonnants» dans certaines régions du Salvador, du Honduras et du Guatemala, du nourrisson et de réduire les taux de mortalité maternelle, de réduire les maladies infectieuses et laissant derrière lui une meilleure formation des agents de santé locaux, selon les recherches du professeur Kirk. "
Là aussi, c'est un des côtés abject du socialisme : le médecin y est considéré comme un trou du cul, et non comme en France, un bénéficiaire économique de l'assurance maladie, chargé de lui faire "une politique de revenu".
Malgré 1/3 de ses médecins expatriés, Cuba bénéficie encore d'un médecin pour 220 habitants.
Ce qui est en cause ici, c'est le poids économique; politique et social d'un certains nombres de parasites du système.
Pour ne pas le troubler, on a eu l'affaire du sang contaminé, puis de la vache folle, puis de l'amiante, et enfin aujourd'hui, du médiator.
Toutes ces affaires se ressemblent. On tue "pour le business, pas parce que c'est personnel" (le parrain), et les responsables ont tous pour trait d'être des personnages très bien en cours, on poursuivra quelques types pour tapage nocturne, et on créera un fond d'indemnisation, pour refiler le bébé à la collectivité.
Dans tous les cas, l'excuse des gardiens des camps de concentrations sera acceptée, "c'était les ordres"... Et puis les victimes, elles l'avaient bien un peu cherché...
Voilà pourquoi, toutes les tentatives d'attentat à l'état providence sont de courte vue. Les besoins de base, logement, santé, nourriture peuvent être couvert par trois fois rien.
C'est un problème d'arbitrages. Le recours au "libre marché", veut surtout dire, laisser augmenter les prix toujours et encore plus.
Surtout que là, on peut constater que les différences d'espérance de vie constatées entre GB, USA et Cuba, ne sont pas significatives. En gros, le système de santé britannique comme US, sont chers et inefficaces.
En comparant seulement les systèmes britanniques et US, on assiste à une ode à l'économie dirigée, car si le "modèle" britannique est très imparfait, il est, dans sa manifestion brute, beaucoup plus efficace que le modèle américain qui pour un coût 1.5 fois plus élevé, arrive à une espérance de vie inférieure.
Le problème est donc de quoi faire du budget santé, choyer les médecins, le personnel médical, les labos, etc, ou soigner la population.
Il est clair qu'ici, comme partout, on doit faire des choix politiques. Et l'intérêt de la population, ce n'est pas l'intérêt des médecins, ni des labos, ni des promoteurs immobiliers pour le logement, ni ceux de la "filière agroalimentaire" pour la nourriture.
Donc le constat est simple. Le système n'approvisionne plus une population, de plus en plus il l'agresse.
Logiquement, le système va être pulvérisé par la population.