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Recul du marché immobilier de luxe...

11 Août 2013 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Immobilier

A Paris... (c'est déjà vieux, mais à remettre en parallèle avec le cas US).

Ah bon, il y a autre chose qu'un immobilier de luxe à Paris ? Quand le prix d'un 35 M2 permet d'acheter un château dans ce qui est appelé du nom imbécile de "province" ?

 

La méthode coué est utilisée à fond, pour tout ce qui est marché de l'emploi (des cadres, bien sûr, pour les autres, c'est le coma dépassé), l'automobile, l'immobilier.

 

Quand à O'bwana, il sombre dans l'imbécilité la plus complète, en liant immigration et prix de l'immobilier.
On se demande avec quels emplois ils pourraient bien payer les loyers, mais ça échappe complétement au maître du monde, pardon, au lecteur du prompteur de la Maison Blanche.

 

Combat d'arrière garde, donc, pour O'bwana-maître-du-monde-et-lecteur-de-prompteur, car l'immigration avec le Mexique est quasiment tombé à zéro, voire est devenue négative, car il y a désormais un flux croisé important, et qu'il vaut mieux être précaire ou chômeur au Mexique qu'aux USA.

 

Le mois dernier, 360 000 emplois à mi-temps ont été crées aux USA, et 240 000 emplois à plein temps détruits. A cette allure, tout le monde sera barman, et les chômeurs viendront boire leurs indemnités chômage au bar.
Après, leur santé ruinée par l'alcoolisme, ils seront surendettés par les soins médicaux.

On me dit que les gens ne se révoltent pas. Enfin pas officiellement. En Grèce, les impayés d'impôts atteignent 60 milliards d'euros. Si ça, c'est pas de la révolte, je n'y comprends rien.

Pour le moment, les inspecteurs d'impôtssont simplement refoulés des villages, bientôt, ils leurs donneront la jouissance éternelle et exclusive de 2 M2.

 

Le taux de chômage des jeunes grecs est de 65 %.

 

Bref, tout le monde l'a compris, c'est la reprise de la croissance. Pour définir ce que c'est réellement, c'est désormais une simple pause, dans le phénomène d'effondrement.

La vraie mesure de l'activité économique mondiale, c'est la consommation US de pétrole. Et on voit la reprise nette en mai : 28 179.6 milliers de gallons consommés en avril, et 24 378.4 en mai.

Ah, merde, la reprise, c'est pas dans ce sens là. Ou alors, il faut tourner le graphique...

Par rapport à décembre 2005 (59 426.1) on peut penser à une consommation diminuée de 10 % par gains de consommation, et pour le reste, la réduction de 50 % des kilomètres parcourus...

 

Pour la première fois, dans une série américaine, il est fait allusion à la consommation de carburant, dans une conversation entre Sheperd et Hunt "tu me fais gaspiller de l'essence" (Grey's anatomy).

Partout, tout devient low-cost, entre les vacances "tout compris" au Maroc pour sauver les meubles, les pas départs ailleurs, la Croatie qui triomphe (et oui, c'est moins loin), etc, etc, etc...

 

Le progrès est en marche et nous vivons une époque formidable.

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V
Bonjour,<br /> <br /> En tout cas le marché de l'immobilier reprend quand même car les demandes accrues. Ceci c'est aussi grâce aux nombreuses possibilités et les solutions de paiement qui sont actuellement disponibles.
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I
Vers un air nouvel? C'est une excellente alternative.<br /> Espérons que le marché immobilier se portera de mieux en mieux avec cet optimisme.
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V
Bonjour,<br /> En général, le secteur de l'immobilier connait une baisse un peu partout dans le monde. En gros, c'est le moment de devenir propriétaire car en plus il y a les réformes qui facilitent les<br /> procédures.
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I
S'il fut un temps où le luxe connaissait un grand succès, ce n'est plus le cas maintenant. L'immobilier connait la crise et il est primordial de recherche au plus vite une solution pour y pallier.
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S
Merci infiniment BA pour tes liens.
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L
Une fois n'est pas coutume mais cela vaut le cout :<br /> <br /> http://www.egaliteetreconciliation.fr/Leur-republique-ou-la-notre-19737.html<br /> <br /> Il n'y a pas que l'immobilier qui chute de 40% :) :) :)
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B
Dette publique de l'Allemagne : 81,2 % du PIB, soit 2150 milliards d'euros. Je dis bien : 2150 milliards d'euros.<br /> <br /> Vendredi 23 août 2013 :<br /> <br /> « Euro-rettung, die rechnung, bitte ! »<br /> <br /> « Sauvetage de l’euro, l’addition s’il vous plait ! »<br /> <br /> Après l’annonce du ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble d’un probable nouveau plan d’aide à la Grèce après 2014, le Handelsblatt consacre un dossier à "l’addition" que les Allemands<br /> doivent payer pour le sauvetage de l’euro.<br /> <br /> Le quotidien économique allemand critique Angela Merkel, qui s’était dite « incapable d’indiquer le montant du sauvetage de l’euro ».<br /> « La chancelière poursuit visiblement un but cet été : garder le calme sur le front de l’euro », commente le Handelsblatt, qui a fait ses propres calculs.<br /> Selon le journal, il en coûte à l’Allemagne quelque « 150 milliards d’euros, dont 42 devraient être rendus disponibles très vite. »<br /> <br /> Handelsblatt pose quelques questions urgentes :<br /> Est-ce que la politique de Merkel sauve le continent, ou est-ce qu’elle ne fait qu’apporter de la douleur ?<br /> Quels sont les coûts du sauvetage de l’euro pour le pauvre brave contribuable allemand ?<br /> L’Allemagne se surestime-t-elle, en voulant sauver la monnaie unique ?<br /> <br /> La une du Handelsblatt :<br /> <br /> http://www.presseurop.eu/files/130823handelsblatt.jpg<br /> <br /> Article en langue française :<br /> <br /> http://www.presseurop.eu/fr/content/news-brief/4079821-sauvetage-de-l-euro-l-addition-s-il-vous-plait
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Y
Concernant ce que dit immobilier marne la vallée, je suis resté estomaqué par les prix demandés.<br /> Un cas concret, celui de mon ancienne maison. Achetée en 2002, revendue en 2008 avec 40% du hausse de prix. Déjà là c'était de la folie et encore, j'avais demandé à l'agent immobilier de faire un<br /> prix bas (!), voulant vendre vite.<br /> Je viens de voir cette maison qui a été remise en vente il y a 3 jours, 25% plus chère qu'en 2008 !!!!! Et encore, c'est la moins chère de celle du lotissement (maisons toutes identiques). Ce ne<br /> sont que les prix d'affichage mais ça reste du grand n'importe quoi.
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I
Il est difficile de balancer la situation car la surélevation des prix en immobilier ne fait qu'empirer.Que faire?
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A
Patrick, la meilleur du jour :<br /> <br /> http://espagneencrise.wordpress.com/2013/08/15/en-espagne-le-soleil-se-privatise-aussi/<br /> <br /> Quoi , tu installes du photovoltaique en Espagne, il faut que te faire payer un surplus....cela me rapelle Roosvelt lorqu' il a interdit la possesion d' or aux citoyens americains
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L
@ Blanchet<br /> <br /> Tout est dans le "les jeunes", lequel implique un facteur de majorité et de minorité.<br /> C'est d'ailleurs tellement évident que l'on ne parle pas des mêmes (sans parler de leurs parents), que je me demande pourquoi je perds du temps à vous répondre.<br /> Sinon tout va bien. D'ailleurs Patrick ne va pas arrêter de vous le dire.
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T
Si l'on a l'habitude d'entendre dire que l'immobilier de luxe ne connait pas la crise, voilà qu'il maintenant qu'il y passe.
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B
Un internaute, JoeLeTaxi, a traduit en français une interview explosive de Kai A. Konrad, conseiller en chef du ministre allemand des Finances, parue dans DIE WELT le samedi 17 août 2013.<br /> <br /> "L'Allemagne ne peut pas sauver la zone euro"<br /> <br /> Kai A. Konrad, conseiller en chef du ministre allemand des Finances, s’attend à l’effondrement de la zone euro. Il propose que l’Allemagne quitte l’union monétaire – c’est l’Europe, non l’euro,<br /> qu’il faudrait sauver selon lui.<br /> <br /> Die Welt: Monsieur Konrad, le gouvernement a reporté toutes les décisions importantes concernant la crise de l’euro à l’après-élections. Tente-t-on de tromper les électeurs ?<br /> <br /> Kai A. Konrad: Je crois plutôt à un statu quo après les élections. Depuis l’apparition de la crise, la classe politique a toujours tenté de remettre au lendemain les décisions et de<br /> procrastiner.<br /> <br /> Die Welt: Considérant le niveau extrême des dettes, presque tous les économistes tiennent des répudiations au moins partielles pour inévitables.<br /> <br /> Konrad: En réalité, les Grecs possèdent suffisamment de richesses pour pouvoir s’acquitter sans aide de leur dette. Mais ils refusent, ou se trouvent dans l’impossibilité, de prendre des décisions<br /> aliénant ces avoirs. De ce fait, un nouveau défaut constituerait sûrement une option.<br /> <br /> Die Welt: Selon les estimations de la Bundesbank, la Grèce aura besoin début 2014 d’un troisième plan d’aide. Admettra-t-on alors enfin que ce pays est un puits sans fond ?<br /> <br /> Konrad: Mais la Grèce est déjà un puits sans fond, personne n’ayant jamais prédéfini une limite à ce qu’elle peut engloutir. Le taux d’endettement grimpe, entre autres parce que l’économie du pays<br /> se réduit comme peau de chagrin. Ce qui n’empêche nullement la Troïka, c’est-à-dire l’UE, la BCE et le FMI,de continuer imperturbablement à publier pour ce pays les prévisions les plus déconnectées<br /> de la réalité.<br /> <br /> Die Welt: Ne vaudrait-il pas mieux que la Grèce quitte l’euro, au moins temporairement ?<br /> <br /> Konrad: Non. Le pays serait alors étranglé par sa dette extérieure. Si l’on veut en finir avec l’Union Monétaire, c’est par les pays du nord de la zone euro qu’il faut commencer. Et si on en arrive<br /> là, alors l’Allemagne doit quitter l’euro.<br /> <br /> Die Welt: Il faudrait que l’Allemagne fasse pour la troisième fois exploser l’Europe ? Aucun gouvernement allemand ne s’y résoudra jamais.<br /> <br /> Konrad: L’euro n’est pas l’Europe. C’est l’Europe, et non l’euro, qu’il s’agit de sauver ! Il est vrai que, pour des raisons politiques, l’Allemagne n’est pas en position de sortir la première.<br /> Mais les autres pays membres pourraient l’y contraindre. Ce vers quoi nous allons, c'est cela. Dans certains pays, les conditions économiques sont devenues proprement insupportables. Par surcroit,<br /> une certaine agitation politique s’y est fait jour. Et si l’Allemagne et quelques autres économies fortes quittaient la zone euro, la valeur de cette monnaie baisserait, permettant aux économies du<br /> Sud de recouvrer la santé.<br /> <br /> Die Welt: Le prix à payer serait la ruine de la capacité exportatrice de l’Allemagne.<br /> <br /> Konrad: Cette capacité exportatrice pourrait au contraire en sortir renforcée. L'Allemagne s’est fort bien accommodée, lors des décennies passées, de l’appréciation continue du mark allemand, et a<br /> ainsi appris à maintenir sa compétitivité. La situation actuelle n’est pas, à beaucoup près, aussi exigeante. Mais pour cette raison précisément, la capacité qu’elle avait eu de réagir sous la<br /> pression s’est évaporée, et cela est dangereux.<br /> <br /> Die Welt: Il n’en reste pas moins que la banque centrale allemande va devoir faire tourner la planche à billet, pour contrer une appréciation excessive du nouveau mark.<br /> <br /> Konrad: En effet, la Bundesbank va devoir acheter des devises étrangères pour des montants considérables, afin de contenir cette appréciation du nouveau mark dans des bornes acceptables.<br /> <br /> Die Welt: Ce qui pourrait précipiter l’Allemagne dans une dépendance sévère – comme la Chine d’aujourd’hui, qui est coincée avec des réserves "himalayesques" de dollars.<br /> <br /> Konrad: Mais les avantages dominent cependant. Les bénéfices dus au seigneuriage seraient gigantesques. On pourrait investir les réserves en devise d’une manière moins conventionnelle, par exemple<br /> en instituant notre propre fonds souverain, qui investirait à l’étranger dans des entreprises, de l’immobilier ou des stocks de matières. Par ailleurs, le pouvoir d’achat de la population allemande<br /> serait dopé: les voyages, l’essence et bien d’autres choses deviendraient meilleur marché.<br /> <br /> Die Welt: Mais ne craindriez-vous pas une guerre des devises, si l’Allemagne, armée de sa planche à billets, se mettait à racheter le monde ?<br /> <br /> Konrad: Tout au contraire. L’Allemagne n’autoriserait une appréciation du mark que dans les bornes de ce qui serait justifié, ce qui reste impossible à faire aussi longtemps que nous faisons partie<br /> de l’euro.<br /> <br /> Die Welt: Revenons au présent. Outre la Grèce, il y aura le Portugal et Chypre, voire peut-être l’Irlande, qui se verront contraints de demander une aide. Sera-t-il possible à l’Allemagne de<br /> supporter ce fardeau dont l’ombre menace?<br /> <br /> Konrad: L’étranger se représente l’Allemagne comme une sorte d’Hégémon hésitant. Mais c’est là une surévaluation injustifiée. Les récentes statistiques comparant les richesses respectives des<br /> divers peuples européens ont montré que l’Allemagne ne se classait pas si haut. La classe politique et les médias sont restés d’une discrétion de violette sur ce sujet. Nous devons cependant<br /> l’admettre: l’Allemagne n’est pas tellement grosse en comparaison de l’UE. Et en comparaison de ses voisins, l’Allemagne, au cours de ces quinze dernières années, s’est sensiblement appauvrie.<br /> <br /> Die Welt: Et donc l’Allemagne ne pourra pas supporter ce fardeau?<br /> <br /> Konrad: L’Allemagne ne peut pas sauver la zone euro. Qui le croit, s’illusionne. Il est vrai que la BCE a la capacité de prolonger la situation présente, à grand renfort de trombes d’argent, et ce<br /> jusqu’à finir par interférer avec les politiques fiscales des pays membres. Mais où cela nous conduit-il ? Le ralentissement de la dynamique économique constaté dans l’ensemble de l’Europe devrait<br /> de toutes façons notablement s’accélérer.<br /> <br /> Die Welt: Concrètement, cela signifie ?<br /> <br /> Konrad: L’Allemagne va continuer, dans les prochaines années, à profiter de la crise et à attirer un supplément de main d’œuvre. Cela va conduire à l’apparition, d’un côté de l'Europe, de centres<br /> de productivité et de l’autre, des régions emplies de retraités et d’autres bénéficiaires de transferts fiscaux. L’Europe va ainsi se retrouver dans la situation du Mezzogiorno. Ce que cela<br /> signifie concrètement, on peut l’observer depuis des décennies en Italie, où le Nord riche et industrieux entretient le Sud pauvre au moyen de transferts fiscaux. Déjà, en Italie, ça ne passe pas<br /> très bien. Les tensions que la même chose produirait en Europe constituent pour l’euro un danger létal.<br /> <br /> Die Welt: Quand en serons-nous donc là ?<br /> <br /> Konrad: Il nous reste sans doute quelques années. En 2010, au début de la crise [de l’euro spécifiquement, NdT] je m’étais dit : maintenant ça va aller vite. Mais l’euro a survécu jusqu’à ce jour.<br /> Apparemment, un processus de ce genre peut jouer les prolongations.<br /> <br /> Die Welt: La Banque centrale a, en se disant prête à acheter, en cas de nécessité, des emprunts d’État en quantité illimitée, ramené le calme dans les marchés. Mais cet automne, le tribunal<br /> constitutionnel allemand va devoir décider s’il y a lieu d’interdire ou de limiter ces achats. Et si c’est ce qu’il décide, que va-t-il alors se passer ?<br /> <br /> Konrad: Rien dans un premier temps. Le tribunal constitutionnel allemand ne peut donner d’ordres à la BCE – et donc ce programme de rachat, l’OMT, resterait intact. Le tribunal pourrait peut-être<br /> interdire à la Bundesbank d’y participer. Mais qu’est ce qui empêcherait alors, disons, la Banque de France, de se charger de la part de la Bundesbank en sus de la sienne propre? Et l’Allemagne<br /> n’en resterait pas moins caution de la BCE pour 27% du total. Tout du moins, aussi longtemps que l’union monétaire se maintient.<br /> <br /> Die Welt: Et qu’advient-il si l'union monétaire ne se maintient pas ?<br /> <br /> Konrad: A ce moment-là, chacune des banques centrales se retrouve avec ce qui figure dans ses livres de compte à elle. De ce fait, ces rachats de titres que prescrit la BCE fonctionneraient comme<br /> un gage politique : si la Bundesbank se trouvait avoir beaucoup participé à ces acquisitions, un retrait de l’Allemagne de la zone euro coûterait plus cher. Conséquemment, il deviendrait plus<br /> facile de convaincre les Allemands de participer à d’éventuels programmes d’aides. Mais si le tribunal constitutionnel interdit ces achats à la Bundesbank, cela apparaitra comme une bonne chose en<br /> cas d’éclatement de l’euro ; et de plus une telle interdiction aurait de toutes façons l’avantage de réduire la pression que les autres pays peuvent exercer sur l’Allemagne..<br /> <br /> Die Welt: Somme toute, est-ce qu’une union monétaire sans union politique peut fonctionner ? Et sinon, est-ce que la tentative de créer un super-état européen ne risquerait pas de mettre fin à<br /> l’Europe ?<br /> <br /> Konrad: Une union monétaire sans union politi
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G
immo moins 40% vos avis...?<br /> <br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=9qOJIJ1ejJU
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B
Mardi 20 août 2013 :<br /> <br /> Pour Schäuble, la Grèce aura besoin d'un troisième plan d'aide.<br /> <br /> Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a déclaré mardi que la Grèce aurait besoin d'un nouveau plan d'aide international.<br /> <br /> "Il faudra qu'il y ait un autre plan en Grèce", a-t-il dit lors d'un meeting électoral dans le nord de l'Allemagne.<br /> <br /> Il a toutefois réaffirmé l'opposition du gouvernement à une nouvelle décote ("haircut") sur la dette grecque.<br /> <br /> Jusqu'à présent, Wolfgang Schäuble avait déclaré que les créanciers internationaux d'Athènes pourraient devoir envisager un nouveau plan d'aide pour succéder au plan actuel, qui arrive à échéance<br /> fin 2014. Mais il n'avait jamais affirmé que cette issue était inévitable, ce qu'il a semblé reconnaître mardi.<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/reuters-00543680-pour-schauble-la-grece-aura-besoin-d-un-troisieme-plan-d-aide-596494.php<br /> <br /> En clair :<br /> <br /> - Les deux premiers plans d'aide ont déjà coûté 240 milliards d'euros aux contribuables européens, mais la Grèce est toujours en faillite.<br /> <br /> Donc maintenant, les Etats européens qui sont déjà surendettés vont emprunter des dizaines de milliards d'euros supplémentaires, et ensuite ils vont prêter cet argent à la Grèce : ce sera le<br /> troisième plan d'aide.<br /> <br /> - Dans deux ans, la Grèce sera toujours en faillite.<br /> <br /> Donc dans deux ans, les Etats européens qui sont déjà surendettés vont emprunter des dizaines de milliards d'euros supplémentaires, et ensuite ils vont prêter cet argent à la Grèce : ce sera le<br /> quatrième plan d'aide.<br /> <br /> - Dans quatre ans, la Grèce sera toujours en faillite.<br /> <br /> Donc dans quatre ans, les Etats européens qui sont déjà surendettés vont emprunter des dizaines de milliards d'euros supplémentaires, et ensuite ils vont prêter cet argent à la Grèce : ce sera le<br /> cinquième plan d'aide.<br /> <br /> Etc, etc.<br /> <br /> L'Union Européenne, c'est des pays surendettés qui se surendettent encore plus, pour pouvoir prêter de l'argent à des pays en faillite qui ne les rembourseront jamais.<br /> <br /> L'Union Européenne, c'est un suicide collectif.
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B
@la gaulle:les jeunes n'ont jamais autant voyagé: à 20 ans ils connaissent en grande majorité New York,Londres,Singapour:génération comblée par les parents(les 2 travaillent plus facile)génération<br /> Erasmus,génération vols low cost.<br /> On vous attend avec impatience Patrick
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B
Lundi 19 août 2013 :<br /> <br /> Banques espagnoles : nouveau record des créances douteuses en juin à 11,61%.<br /> <br /> Les créances douteuses des banques espagnoles ont bondi vers un nouveau record en juin, à 11,61% du total. Ces chiffres, publiés lundi, reflètent la fragilité persistante du secteur malgré le<br /> sauvetage européen.<br /> <br /> Ces créances, surtout présentes dans l'immobilier (crédit de promoteurs et de particuliers risquant de ne pas être remboursés), ont atteint 176,42 milliards d'euros en juin, soit six milliards de<br /> plus qu'en mai (11,2% du total), a annoncé la Banque d'Espagne.<br /> <br /> Indice de la vulnérabilité des banques, les créances douteuses ont commencé à grimper dans le bilan de tous les établissements financiers du pays après l'éclatement de la bulle immobilière en 2008.<br /> Elles ont désormais dépassé le précédent record atteint en novembre dernier (11,37%, chiffre révisé).<br /> <br /> Fortement fragilisé par son exposition à l'immobilier, le secteur bancaire bénéficie d'un plan d'aide européen accordé en juin 2012, dont 41,3 milliards d'euros ont été versés. Dans le cadre de ce<br /> sauvetage, l'Espagne a créé une structure de défaisance, ou "mauvaise banque", baptisée "Sareb".<br /> <br /> Pour la première fois en 17 mois, le taux et le montant des créances douteuses avaient baissé en décembre après le transfert des actifs toxiques des quatre banques nationalisées vers la Sareb. Mais<br /> il est depuis reparti à la hausse.<br /> <br /> Si l'Espagne bénéficie d'une nette accalmie sur les marchés par rapport aux conditions extrêmement difficiles rencontrées il y a un an, avec notamment une réduction notable de ses coûts de<br /> financement, tant le Fonds monétaire international (FMI) que la Commission européenne ont rappelé en juillet le contexte économique délicat pour le pays, plongé dans la récession depuis<br /> mi-2011.<br /> <br /> "Les risques pour l'économie et par conséquent sur le secteur financier restent élevés", avait mis en garde le FMI dans un rapport publié à la mi-juillet. La quatrième économie de la zone euro doit<br /> en effet encore corriger un certain nombre de déséquilibres, via un assainissement budgétaire, une baisse encore plus marquée des prix des logements et une diminution de la dette privée.<br /> <br /> Le taux de chômage espagnol, qui atteignait 26,26% de la population active au deuxième trimestre, inquiétait notamment la Commission.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/Banques_nouveau_record_des_crces_douteuses_en_juin_161_RP_190820131337-12-391309.asp<br /> <br /> Chiffres Eurostat pour le mois de juin 2013 :<br /> <br /> Espagne :<br /> <br /> 26,3 % de chômage.<br /> <br /> 56,1 % de chômage des jeunes de moins de 25 ans.<br /> <br /> http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/3-31072013-BP/FR/3-31072013-BP-FR.PDF
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L
Quel rapport entre une éolienne et un ventilateur simple de bureau ? J'ai l'impression qu'il y en a un :<br /> <br /> http://www.laterredufutur.com/accueil/index.php/category-table/505-linvention-dun-chercheur-japonais-va-revolutionner-le-rendement-facteur-3-des-eoliennes.html
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B
Conversation entre un président de la République française (de gauche ou de droite, peu importe) et un Premier ministre français (de gauche ou de droite, peu importe) :<br /> En 2009 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 10 milliards d'euros !<br /> - On ne les a pas.<br /> - Qu'on les emprunte, et ensuite qu'on les prête à la Grèce !<br /> En 2010 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 50 milliards d'euros !<br /> - On ne les a pas.<br /> - Qu'on les emprunte, et ensuite qu'on les prête à la Grèce !<br /> En 2011 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 100 milliards d'euros !<br /> - On ne les a pas.<br /> - Qu'on les emprunte, et ensuite qu'on les prête à la Grèce !<br /> En 2012 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 150 milliards d'euros !<br /> - On ne les a pas.<br /> - Qu'on les emprunte, et ensuite qu'on les prête à la Grèce !<br /> En 2013 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 200 milliards d'euros !<br /> - On ne les a pas.<br /> - Qu'on les emprunte, et ensuite qu'on les prête à la Grèce !<br /> En 2014 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 240 milliards d'euros !<br /> - On ne les a pas.<br /> - Qu'on les emprunte, et ensuite qu'on les prête à la Grèce !<br /> En 2015 :<br /> - Le Premier ministre : Chef, la Grèce est en faillite.<br /> - Le Président de la République : Qu'on lui prête 300 milliards d'euros !<br /> - Mais le plan de sauvetage de la Grèce a déjà coûté 240 milliards d'euros aux contribuables européens ! Et la Grèce est toujours en faillite !<br /> - On s'en fout ! Les contribuables européens sont des cons !<br /> <br /> Mardi 13 août 2013 :<br /> <br /> En récession depuis six ans, la Grèce s'est vu octroyer deux plans d'aide, en 2010 et 2012, par la "troïka" (FMI, Commission européenne, Banque centrale européenne), pour un total de 240 milliards<br /> d'euros. C'est de l'insuffisance de ces sommes, colossales, qu'il s'agit aujourd'hui. Elles sont versées par tranches, en fonction du respect par le gouvernement grec du programme d'assainissement<br /> fixé avec la "troïka".<br /> <br /> De nouvelles négociations pourraient être nécessaires à l'automne, au moment fixé pour le versement d'une nouvelle tranche d'aide. Des discussions d'autant plus urgentes que le financement du plan<br /> d'aide n'est pas complètement assuré pour 2014 et 2015 : il manquerait 11 milliards d'euros selon le FMI.<br /> <br /> http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/08/13/faut-il-un-nouveau-plan-d-aide-pour-la-grece_3460790_3234.html
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S
Bonjour Patrick,<br /> <br /> Je suis impatient de vous voir revenir à votre rythme habituel. Ne prenez pas garde aux messages agressifs qui vous visent, blindez vous contre ceux là.<br /> Croyez à ce que vous faites, le reste ne compte pas.<br /> <br /> Amicalement<br /> Shaitan
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