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Retour à 1800...

16 Janvier 2012 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

"Comment les technologies du passé peuvent-elles éclairer notre avenir ?".
Dans l'histoire de l'humanité, les inventions et réinventions, les erreurs se re-commettent souvent.
Les technologies du chauffage récentes utilisent des découvertes du XVI, abandonnées entre temps, devant l'abondance du fossile.

 

Que sont les éoliennes actuelles, mariées aux STEP ? Les moulins à vent et à eau, ainsi que les retenues d'eaux signalées sur les cartes de Cassini. C'est à dire, signalées au XVIII° siècle, bien sûr, modernisées.

 

De l'autre côté on a l'aveuglement de la "ressource illimitée". Prenons, un exemple simple, le sel. Les celtes dans l'est de la France brûlaient leurs forêts pour récupérer le sel, jusqu'à ce qu'il n'y eut plus de forêt, comme certaines peuplades africaines de bord de mer.
Après, ils trouvèrent d'autres solutions.
Les Britanniques aussi, flambèrent leur charbon, pour produire du sel. On ne peut pas dire, que dans les deux cas, cela ait été perdurable et efficient.

On peut constater aussi que l'énergie nucléaire est aussi une "énergie de l'aveuglement".

 

Dans ces cas là, on peut dire que cet usage non adéquat, ait pu perduré, parce que sécrétant des circuits économiques puissants.

ça fait vivre beaucoup de monde, de couper du bois, de chauffer les chaudières, etc, au lieu de bêtement attendre le même résultat avec les marais salants.

Et quand le marais salant est bien au point, le roi s'en empare.

 

Mais, je n'irais pas jusqu'à dire que le travail du moulin est essentiellement de moudre du grain, loin de là.

Le travail du moulin est essentiellement industriel. Le moulin permet l'utilisation d'une force inconnue, que des dizaines d'hommes ne peuvent fournir.

Lui seul peut manier les martinets, qui font le si bon acier suédois.

 

Mais, ce sont deux conceptions de la société qui s'affronte. Le renouvelable nécessite des circuits durables, qui perdurent, et emploient beaucoup de personnes, au contraire des industries du pétrole, du gaz, qui n'en emploient guère, ou presque pas, et qui permettent l'établissement de société très inégales et corrompues.

 

Les néerlandais, grand constructeurs de moulins, avaient déjà accompli de grands progrès techniques au XVI° siècle, et cela sera, sans doute, indubitablement lié au développement de l'économie hollandaise, et au basculement sur Amsterdam, du centre de l'économie mondiale de l'époque.

Pierre II le grand ira se former comme charpentier dans leurs chantiers navals. A cette époque, les paysans russes qui construisent Saint Pétersbourg n'ont d'autres outils pour transporter la terre que leurs sarraus, une terre qu'ils ont aussi souvent, gratter de leur main...

 

On a fait mieux encore en cet fin de XX° siècle et début XXI°, on a délocalisé des industries d'Europe et des USA, où le mix main d'oeuvre-énergie, avait une composante main d'oeuvre élevée, mais faible en énergie, pour une Chine, où le coût de la main d'oeuvre permet de masquer un coût énergétique bien trop élevé, avec, en plus, le délice de dépenser encore plus pour les transports...

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B
Mercredi 18 janvier 2012 :<br /> <br /> GB : le nombre de chômeurs à son plus haut niveau depuis 17 ans.<br /> <br /> LONDRES - Le taux de chômage a encore progressé en novembre au Royaume-Uni, où il n'y a jamais eu autant de personnes à la recherche d'un emploi depuis 17 ans, selon des chiffres officiels publiés<br /> mercredi qui confirment la dégradation de l'économie britannique.<br /> <br /> Le taux de chômage a atteint 8,4% de la population active fin novembre, contre 8,3% le mois précédent, a annoncé l'Office des statistiques nationales (ONS), une dégradation pire que celle anticipée<br /> par les économistes.<br /> <br /> 2,68 millions de personnes étaient alors à la recherche d'un emploi, un niveau plus vu depuis 1994.<br /> <br /> Le chômage continue de toucher particulièrement les jeunes de 16 à 24 ans, qui sont plus d'un million à chercher du travail.<br /> <br /> Ces mauvais chiffres confirment que l'économie britannique, affectée par la crise dans la zone euro voisine et soumise à une cure d'austérité drastique par le gouvernement, tourne au ralenti. Elle<br /> basculerait même actuellement de nouveau dans la récession, selon certains économistes.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/_GB_le_nombre_de_chomeurs_a_son_plus_haut_niveau_depuis_17_ans180120121401.asp
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G
Bonjour<br /> la conso mondiale de jus baisse, et les prix ne cessent d'augmenter.... j'aime bien le libre échangisme: pas a la dsk bien sur<br /> <br /> 3 explications pour justifier cela... pour nous empaler davantage selon le language populaire:<br /> <br /> en 1 au nigéria mouloud a perdu la partie de contrée contre mamadou ce qui la mis dans une rage folle:<br /> remontée immédiate des cours du brut et oui on plaisante pas là bas avec la contrée ou le reste..<br /> <br /> en 2 le president iranien a des hémorroides ce qui le rend nerveux il menace de bloquer le detroit d'ormuz israel va lui proposer un traitement je pense<br /> <br /> en 3 LE DOLLAR quand il baisse c'est la merde, quand il monde c'est la merde, ya jamais un bon prix pour le dollar( surtout pour nous)<br /> <br /> <br /> résultats tous les moyens sont bons pour nous presser,<br /> <br /> bonne nouvelle hausse probable 30% des tarifs edf a venir<br /> <br /> heureusement que free va me faire économiser un peu<br /> <br /> <br /> http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0201848780387-la-crise-fait-chuter-la-consommation-de-petrole-de-la-planete-276647.php
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S
P. Reymond:<br /> Esclavagisme ou avec amélioration syndicale le servage, la rente, sont les deux mamelles de la finance moderne.<br /> La matière première d'origine ne les intéresse que peu, ils préfèrent l'acheter aux producteurs petits ou plus grands( souvent pauvres ou en difficultés et ayant besoin de grand fonds de<br /> roulement). Transfert de risques et contrôle des prix. Trois exceptions: or, diamant, pétrole.
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B
Lundi 16 janvier 2012 :<br /> Revue des frets maritimes : les prix des frets secs au plus bas en 11 mois.<br /> <br /> Les tarifs des transports maritimes de matières sèches ont accentué leur recul la semaine dernière, tombant à leur plus bas niveau depuis onze mois, pénalisés par la surcapacité endémique de la<br /> flotte mondiale et un ralentissement de la demande en Asie.<br /> <br /> Le marché pâtit d'une baisse des cargaisons en provenance du Brésil et d'Australie (les deux plus gros exportateurs de minerai de fer, ndlr) en raison de conditions météorologiques défavorables,<br /> ainsi que du ralentissement de la demande chinoise d'acier, ont expliqué les analystes de Deutsche Bank.<br /> <br /> La Chine, par ailleurs, a constitué des stocks importants de charbon à la faveur d'une accélération de ses importations, notamment d'Indonésie, avant Noël, et désormais, sa demande s'est beaucoup<br /> amenuisée, à l'approche du Nouvel an lunaire du 23 janvier, et cela pèse sur les prix des frets secs, ont observé les analystes de l'agent maritime Fearnleys.<br /> <br /> L'indice composite Baltic Dry Index (BDI), moyenne des prix pratiqués sur 24 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a terminé vendredi à 1.053<br /> points, son plus bas niveau depuis février 2011, contre 1.347 points le vendredi précédent, soit une chute de 20%.<br /> <br /> Les récents frémissements d'activité sur le marché des frets se sont vite heurtés à l'implacable réalité : l'offre de navires disponibles surpasse toujours très largement la demande, et donc les<br /> prix ont continué à chuter, ont rappelé les analystes de Fearnleys.<br /> <br /> (©AFP / 16 janvier 2012 18h10)<br /> <br /> http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=BDIY:IND
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