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SOS ...---... SOS ...---...SOS

28 Septembre 2013 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Energie

"Timeo Danaos et dona ferentes". Les géants de l'énergie s'alarment du renouvelable :"Neuf grands fournisseurs européens d'électricité (GDF, ENI, Iberdrola...) ont appelé mardi l'UE à freiner le soutien public au développement des énergies renouvelables. ", car "Nous devons réduire le rythme auquel l'Europe installe des parcs éoliens et des panneaux solaires. Actuellement, il est insoutenable"...

 

Et oui, bénéfices et dividendes sont en cause... L'intérêt général ? Ne me faites par rire. Force est de constater que ce détail, d'habitude est absolument hors du périmètre des préoccupations des grands énérgéticiens...

 

C'est la preuve que ces énergies hier ridiculisées, sont aujourd'hui, matures, et bousculent du monde, et des rentes.

 

Non seulement, le montant de leur production est significatif désormais, même en France, mais la réduction de la demande prend les oligarques en étau.

 

Ils ont donc pris position, contre la démocratie, pour les dîmes de tous ordres, qu'ils ont, après guerre, réinventés, et dont ils se gavent.  

 

Bien entendu, leurs propres subventions sont "avantages acquis", non négociables...

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L
Notre monde se casse déja la guelle manquait plus que la croissance :) :)<br /> <br /> L'avenir va être chaud, trés chaud ....
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S
@Jean-Paul,<br /> En générale il se ramone tout seul ; mais quand il en a marre il vient de temps à autre crier : ramonez-moi ; mais il n’est pas apetissant du tout ; il perd son temps.
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A
Votre ancien co-blogueur (ancien directeur technique d' Alcatel) nie la peak-oil mais sa courbe montre autre chose :<br /> <br /> http://www.leblogenergie.com/2013/09/09/un-doublement-des-cours-du-petrole-dans-le-cours-de-la-prochaine-decennie-apparait-probable/<br /> <br /> Lorsque je vois cette courbe, je veux que ma retraite soit garanti en "barils/mois" car l'argent ne signifie rien.<br /> <br /> On pourrait aussi interdire tous credit de plus de dix ans, en tous cas , la croissance mondiale va se casser les dents et notre monde avec
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J
quel est le rapport entre l'article et les posts de remuglemoi?<br /> ce monsieur exécute un travail de sape philosemite, depuis des mois.<br /> <br /> Cher monsieur, il n'y a pas grand monde a convaincre içi, vous perdez votre temps.<br /> <br /> Et accessoirement nous casser les couilles en cisaillant systématiquement le débat avec des sujet hors de propos.<br /> <br /> Vous faites visiblement une fixette. Vous devriez faire une psychanalyse.
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P
http://www.boursorama.com/actualites/le-nouveau-patron-de-siemens-annonce-la-facture-15-000-emplois-supprimes-8d839b62965a0a5e61978f59f64942fb
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L
En parlant de SOS, le mien est "Allez tous voter, mais ne voter pas UMPS". C'est pas les choix qui manquent :) :)
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B
Lundi 30 septembre 2013 :<br /> <br /> Italie : Berlusconi donne la fièvre aux taux italiens.<br /> <br /> Le rendement des obligations d'Etat italiennes à 10 ans s'inscrit à 4,73% lundi, en hausse de 31 points de base par rapport à vendredi. Cette tension fait suite à la démission des cinq ministres<br /> issus du PDL, le parti de Silvio Berlusconi, qui menace la coalition gouvernementale.<br /> <br /> http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203035494410-italie-le-taux-des-emprunts-d-etat-a-10-ans-remonte-a-4-73-611340.php<br /> <br /> Italie/crise politique : la Bourse de Milan ouvre en baisse de 2,01%.<br /> <br /> La Bourse de Milan a ouvert en forte baisse en réaction à la nouvelle crise politique provoquée au cours du week-end par Silvio Berlusconi, qui menace la survie du gouvernement.<br /> <br /> Vers 07H20 GMT, l'indice FTSE Mib reculait de 2,01% à 17.292 points. Les plus grands perdants étaient les valeurs bancaires qui affichaient des titres en chute jusqu'à 5%.
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E
Elections terminées la danse peut commencer<br /> <br /> Siemens veut supprimer 15.000 emplois au cours de l'année à venir, dont le tiers en Allemagne, dans le cadre d'un programme d'économies de six milliards d'euros.<br /> <br /> http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/20130929trib000787732/siemens-et-15.000-emplois-en-moins-dans-un-an.html<br /> <br /> <br /> "...En Allemagne, environ 2.000 emplois seront supprimés dans l'activité industrielle du groupe et 1.400 autres dans sa division d'énergie et d'infrastructures, a encore indiqué le porte-parole..."
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G
c'est la reprise !<br /> <br /> <br /> Siemens annonce la possible suppression de 15'000 emplois d'ici fin 2014<br /> (reprise de dimanche)<br /> Berlin (awp/afp) - Le conglomérat industriel Siemens envisage de supprimer 15'000 emplois dans le monde, dont un tiers en Allemagne, a affirmé dimanche un porte-parole du groupe à l'AFP.<br /> "Les suppressions de postes en cours ou projetées dans le cadre du Plan Siemens 2014 sont de 15'000 dans le monde entier, dont 5000 en Allemagne", a-t-on précisé de même source.<br /> En Allemagne, 2000 postes devraient être supprimés dans son secteur industriel, 1400 dans le secteur énergie, de nouveau 1400 dans son activité infrastructures et enfin 200 dans d'autres secteurs,<br /> a détaillé le groupe dans un communiqué.<br /> Le groupe précise être aujourd'hui en mesure de communiquer sur ces réductions d'effectifs car il a pu les évoquer en interne. "Les aménagements ont pu être communiqués sur les sites et discutés<br /> avec les représentants du personnel. Ainsi, nous respectons nos engagements: d'abord nous discutons avec les salariés, puis nous communiquons publiquement", a poursuivi le groupe dans son<br /> communiqué.<br /> Ces mesures font partie du plan Siemens 2014, un vaste programme qui devrait permettre au groupe d'effectuer des économies de l'ordre de 6 milliards d'euros d'ici 2014.<br /> En août, le conglomérat de Munich (sud), qui traverse depuis plusieurs semaines une zone de turbulences, avait limogé son patron Peter Löscher et l'avait remplacé par le directeur financier du<br /> groupe, Joe Kaeser.<br /> Arrivé en 2007 du laboratoire américain Merck, M. Löscher avait accumulé les critiques, entre résultats financiers décevants, stratégie trop floue et ratés industriels, comme le retard de plusieurs<br /> années de livraison pour des trains à grande vitesse commandés par la Deutsche Bahn et le laborieux raccordement au réseau des éoliennes off-shore de mer du Nord.<br /> afp/rp<br /> <br /> <br /> et pour mieux comprendre pourquoi :<br /> <br /> <br /> <br /> Le CO2 baisse, au secours !<br /> Tribune parue dans Les Echos du 24 septembre 2013<br /> site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com<br /> ***<br /> NB : le titre et le texte sont ceux de la tribune "originelle". La version publiée a été racourcie (pas par moi, même s'il n'y a pas de contre-sens) et le titre était différent ("Diminution du CO2<br /> : encore un effort monsieur le président").<br /> ***<br /> En proposant que notre consommation d’énergie fossile baisse de 30% d’ici à 2030, Hollande a pris un risque limité. Depuis 2006, cette consommation baisse de 2% par an, ce qui permet par ailleurs<br /> aux émissions de CO2 de baisser presque au même rythme. Prolonger cette tendance jusqu’en 2030 nous amènerait directement à l’objectif proposé. Serait-ce à dire que, depuis Kyoto, nos dirigeants<br /> (économiques et politiques) auraient enfin mis les actes en accord avec les discours ?<br /> Si cela était le cas, les émissions de CO2 par unité de PIB, qui traduisent directement combien nous brulons de pétrole, de gaz et de charbon pour obtenir un dollar de valeur ajoutée (que ce soit<br /> dans le confort thermique, la mobilité, ou l’appareil productif), devraient baisser plus vite au sein des pays qui déclarent agir que chez ceux qui ont dit que ce n’était pas leur problème. De<br /> fait, ce ratio baisse. Entre 1998 – année qui suit le protocole de Kyoto - et 2012, la France a diminué le contenu en CO2 de son PIB de 27%.<br /> Mais, sur la même période, les Etats-Unis - pas écolos du tout comme chacun sait - l’ont baissé de… 28%. L’Allemagne, icône écologiste dans notre pays, affiche -26%, tout comme… l’Australie, pays<br /> du charbon par excellence. La Suède, qui a mis en place une taxe carbone dès 1991 (ce qui n’a pas l’air d’avoir mis son économie par terre), termine à -45%, tout comme… la Russie, un des plus gros<br /> producteurs mondiaux de pétrole et de gaz !<br /> Alors quoi ? Nous n’avons rien fait de plus que les voisins ? Prenons les transports, pour commencer, qui engendrent un tiers du CO2 hexagonal. La seule mesure efficace pour faire baisser la<br /> consommation de pétrole - toutes les statistiques le montrent - est d’en monter le prix, sous une forme ou sous une autre. Or depuis 1998 la vignette (une taxe annuelle proportionnelle à la<br /> consommation du véhicule) a été supprimée (en 2000 sous Fabius), le prix réel du carburant a baissé, et le linéaire routier gratuit a augmenté.<br /> Le bonus-malus reste anecdotique : le malus, qui ne s’applique qu’à l’achat et non à la détention, est trop modeste pour décourager l’envie de paraître, et le bonus encourage l’acquisition de<br /> voitures encore bien trop gourmandes pour permettre une baisse rapide des émissions du parc en circulation.<br /> Dans le bâtiment, les constructions neuves ont fait l’objet de normes de plus en plus exigeantes depuis 1975. Malheureusement, le neuf sert essentiellement à accroître le parc (10% du neuf remplace<br /> une démolition). Sa bonne performance peut limiter la hausse de la consommation d’énergie des bâtiments, mais non faire baisser cette dernière. Pour cela, il faut s’attaquer de manière explicite<br /> aux bâtiments déjà construits, ce qui signifie à nouveau monter le prix de l’énergie, et surtout obliger à rénover, idée qui n’a jamais été mise en application depuis le choc pétrolier. Le<br /> saupoudrage électoraliste – tel celui annoncé par Hollande Vendredi – de petites aides ici et là n’engendre essentiellement qu’un effet d’aubaine, mais n’a que peu d’effet significatif sur la<br /> consommation du parc.<br /> Reste l’industrie, où les axes s’appellent efficacité énergétique et électrification (sans carbone), qui demandent des investissements significatifs. Aides publiques, protection aux frontières et<br /> prix prévisibles de l’énergie et du carbone aideraient bien, malheureusement l’obsession libérale a poussé à faire l’inverse sur tous les plans. Ajoutons que, sous la pression des antinucléaires,<br /> les milliards sont allés prioritairement aux énergies renouvelables électriques, pour attaquer l’atome dans l’électricité (lequel permet pourtant qu’un français émette 40% de CO2 en moins qu’un<br /> allemand), au lieu d’aider à baisser pétrole et gaz dans le chauffage et la mobilité.<br /> Et pourtant, les émissions baissent depuis plusieurs années. C’est que, à force de tergiverser, la contrainte a commencé à faire le travail à notre place. De 2006 à 2012, notre consommation de<br /> pétrole a baissé de 13%. Pas par vertu, mais parce que la production mondiale est stable depuis 2005, et comme il y a de plus en plus de consommateurs sur la planète la part qui nous revient<br /> baisse.<br /> Pour le gaz, la Mer du Nord (60% du gaz européen) décline depuis 2006, et de ce fait notre consommation de gaz baisse aussi. Pétrole et gaz faisant 90% de nos émissions de CO2, ces dernières<br /> baissent en conséquence.<br /> Le hic, c’est que pétrole et gaz représentent aussi les 2/3 de notre énergie finale (celle qui met en mouvement les machines de toute sorte qui permettent à notre monde industriel de se maintenir).<br /> Avec moins d’énergie, nous avons moins de transformation, donc moins de PIB, et il n’y a pas de moyen d’y échapper à court terme, puisque nos infrastructures et usines utilisent ça et pas autre<br /> chose.<br /> Tous ceux qui ont cru que de ne pas taxer les combustibles fossiles pour limiter le CO2 était rendre service à l’économie se sont trompés : ils ont simplement poussé à ce que la récession,<br /> provoquée par la baisse - prévisible - de l’approvisionnement fossile en cours, se charge de faire la même chose, mais dans la douleur.<br /> Notre président a donc raison d’appeler à la décarbonation de l’économie : il ne s’agit que de sauver la stabilité du pays. Mais, pour y arriver, il faudra plus que des paroles, et la taxe carbone,<br /> l’obligation de rénovation, et l’arrêt de l’obsession antinucléaire offriront de premiers tests de vérité pour savoir si les actes vont enfin être là.<br /> <br /> <br /> http://www.manicore.com/documentation/articles/echos_baisse_CO2.html
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R
Encore un excellent post sur l'excellent Alain Soral... À voir de toute urgence !<br /> <br /> http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/dissection-d-une-pensee-sous-57760
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R
Un excellent article sur le clown Alain Soral, à lire de toute urgence !!!<br /> <br /> http://leclownalainsoral.wordpress.com/
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D
ces messieurs oublient de dire que l'essentiel de leurs moyens de production actuels ont ete en leur temps serieusement subventionnés...
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