Terminus en Vue....

Depuis Bien des mois, BA nous donne la température des taux grecs.

Là, ça dépasse tout. 60 % à 1 An, 45 % à 2 ans, 18 % à 10 ans (et oui, personne ne veut prêter à 10 ans, normal que les taux ne montent pas).

L'intérêt, c'est la prime de risque.

Bon, comme je vois qu'il y en a qui on suivi, je vous le remets (il y en a qui sont gâtés, quand même) :

Le communisme, suite logique du capitalisme...

Comments

[simplet]

@Christophe,
Pour continuer, il faut les "moyens" !
Ils ne les ont plus, encore quelques artifices, deci, delà.
Mais le chrono est passé en mode semaines, voir jour.
Un des signes les plus probants, c'est les zélites qui critiquent leur pairs. Genre Parisot vs Lagarde.
La Loge des pipelletes défouillarant plus vite que leur ombre se met sortir les gros mots qui fâchent surtout s'agissant de quelques vérités. Bientôt, le tour des experts-courtisans qui avaient
tout prévu. Bref comme le titre de ce blog: La Chute mode escalier, marche après marche.

[christophe]

Mais non, mais non, vous n'avez rien compris.

Ce matin par exemple, les taux grecs baissent. Les plus hauts historiques d'hier faisaient mauvais genre.

Trichet le Tricheur est à la manoeuvre.

Et si ce n'est pas la BCE, ce sont des officines en mission commandée.

La BCE a pris officiellement 120 milliards de papier pourri. officiellement donc... elle a de la marge (si on compare avec la balancesheet de la FED).

Mais j'insiste, quand les choses deviendront trop "visibles", alors ils passeront en mode "stealth".

BA s'excite depuis.... plus d'un an.

Et pour l'instant, que s'est il passé ? Concrètement ?

Rien.

Vous continuez de payer, comme de bons veaux, aucune banque (alors que bcp sont au fond du trou) n'a fait faillite, les états continuent de vous tondre, on distraie le prolo avec des débats aussi
ridicules que sans fin (austérité, FESF, etc).

Voilà. Ca dure depuis 2008.

Ca va continuer.

[simplet]

Belle hymne, mais sans intérêt pour l'affaire nous concernant.
Je préfère de Lisle au hit d'octobre 2011.
"Que le sang financier abreuve nos sillons"