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Baisse de 10 %...

2 Avril 2015 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Immobilier

Des prix de l'immobilier parisien. Encore une preuve que les parisiens ne sont que des villageois (même si leur village est grand) ignares, parce que, vu les qualités intrinsèques de l'immobilier parisien, c'est encore bien trop peu.

C'est effectivement la capitale, mais la capitale des bouges, cloaques et taudis, quand au dessus, souvent, ça ne vaut pas grand chose. La seule valeur indéniable, c'est le mobil-home au camping...

Bien sûr, il existe des logements neufs et en bon état, mais le haussmann d'époque, c'est encore très fréquent, et ce que j'avais vu le plus, à Lyon, cette fois, c'était aussi de l'immobilier médiocre et très cher en même temps.

Pour les résidences secondaires en bord de mer, la conjoncture est difficile aussi. Mais, il faut faire le tri dans les résidences secondaires. Celles, souvent héritées de l'exode rural sont parsemées sur le territoire, et pas concentrées sur les côtes, qui elles, sont totalement indexées sur la civilisation du pétrole. Avant, c'était des places vides, et les seuls habitants des côtes, des pécheurs ou des saulniers. ailleurs, le prix de possession annoncé (5000 à 10 000 euros), semble démentiel. Il n'y aurait pas 3.2 millions de résidences secondaires avec un prix pareil.

« Toutes les résidences secondaires qui ne sont pas facilement transformables en résidences principales ont du mal à se vendre ».

On en vient donc à ce que j'avais signalé. La RS est renvoyé au marché local, et c'est lui qui fixe la valeur.

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B
Pour l'année 2015, quelles sommes devront être remboursées par la Grèce ?<br /> <br /> Réponse :<br /> <br /> http://www.zerohedge.com/sites/default/files/images/user92183/imageroot/2015/03/Greece2_0.jpg<br /> <br /> Quand on regarde l'échéancier de l'année 2015, on constate que le pire, ce ne sera pas le mois d'avril.<br /> <br /> Le mois de juin sera encore pire qu'avril 2015.<br /> <br /> Le mois de juillet sera encore pire qu'avril 2015.<br /> <br /> Le mois d'août sera encore pire qu'avril 2015.<br /> <br /> Le mois de septembre sera encore pire qu'avril 2015.<br /> <br /> Et après septembre 2015, la crise de la Grèce sera finie !<br /> <br /> Après septembre 2015, la Grèce ne sera plus en faillite !<br /> <br /> Poisson d'avril.
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B
Vendredi 3 avril 2015 :<br /> <br /> La Grèce prépare un plan de retour à la drachme, se prépare à manquer un remboursement au FMI.<br /> <br /> « Nous sommes un gouvernement de gauche. Si nous avons à choisir entre faire défaut au FMI ou faire défaut à notre propre peuple, notre choix est évident », explique un haut-fonctionnaire grec.<br /> <br /> La Grèce est en train d'élaborer des plans drastiques pour nationaliser le système bancaire du pays et pour introduire une monnaie parallèle destinée à payer les factures, à moins que la zone euro prenne des mesures pour désamorcer la crise et adoucir ses exigences.<br /> <br /> Des sources proches du parti Syriza ont déclaré que le gouvernement est déterminé à maintenir les services publics et à payer les pensions alors que les fonds disponibles sont dans une situation critique. Le gouvernement peut être contraint de prendre la décision sans précédent de manquer un versement au Fonds Monétaire International la semaine prochaine.<br /> <br /> La Grèce n'aura plus assez d'argent pour payer 458 millions d'euros au FMI le 9 avril, ni pour couvrir les paiements des salaires de ses fonctionnaires et pour la sécurité sociale le 14 avril, à moins que la zone euro s'engage à verser la prochaine tranche de son renflouement à temps.<br /> <br /> « Nous sommes un gouvernement de gauche. Si nous avons à choisir entre faire défaut au FMI ou faire défaut à notre propre peuple, notre choix est évident », a déclaré un haut-fonctionnaire.<br /> <br /> « Nous pourrions être amenés à ne pas rembourser le FMI. Cela provoquerait un tollé sur les marchés et cela accélèrerait le cours des évènements », a dit cette source au journal The Telegraph.<br /> <br /> Le gouvernement de la gauche radicale Syriza préférerait limiter son litige à ses créanciers de l'Union Européenne, mais les premiers paiements à venir sont dûs au FMI. Alors que le parti Syriza ne souhaite pas déclencher un défaut de paiement vis-à-vis du FMI, il considère de plus en plus un glissement avant défaillance comme une escalade nécessaire dans son bras de fer avec Bruxelles et Francfort.<br /> <br /> Vu d'Athènes, les créanciers de l'UE n'ont pas encore compris que le paysage politique a radicalement changé depuis l'élection de Syriza en janvier, et ils devront faire de réelles concessions si ils veulent éviter une rupture désastreuse de l'union monétaire, un résultat que les créanciers ont écarté à plusieurs reprises comme impensable.<br /> <br /> « Ils veulent nous humilier et nous forcer à la capitulation. Ils essaient de nous mettre dans une position où soit nous faisons défaut à notre propre peuple, soit nous signons un accord qui est politiquement toxique pour nous. Si c'est leur objectif, ils devront le faire sans nous », a dit la source.<br /> <br /> Faire défaut vis-à-vis du FMI - même pour quelques jours - est une stratégie extrêmement risquée. Aucun pays développé n'a jamais fait défaut aux institutions de Bretton Woods. Bien qu'il y aurait une période de grâce de six semaines avant la décision du FMI de déclarer la Grèce en défaut technique, le processus pourrait devenir hors de contrôle.<br /> <br /> Les sources proches de Syriza disent qu'ils sont pleinement conscients que la ligne dure avec les créanciers risque de déclencher une réaction en chaîne inévitable. Ils insistent sur le fait qu'ils sont prêts à envisager le pire plutôt que d'abandonner leurs promesses électorales faites au peuple grec. Un plan de repli d'urgence est déjà en œuvre.<br /> <br /> « Nous allons fermer les banques et les nationaliser, puis nous allons émettre des reconnaissances de dette si nous y sommes obligés, et nous savons tous ce que cela signifie. Ce que nous ne ferons pas, c'est devenir un protectorat de l'UE », a déclaré cette source. Il est bien entendu à Athènes qu'une telle action équivaudrait à un retour à la drachme, même si Syriza préfèrerait plutôt parvenir à un accord amiable et rester dans l'union économique et monétaire. <br /> <br /> http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11513341/Greece-draws-up-drachma-plans-prepares-to-miss-IMF-payment.html
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