Les cons, ça ose tout , ou comment se flinguer soi même...
20 Septembre 2015 , Rédigé par Patrick REYMOND
On pouvait faire confiance à Valls et à Hollande. Il suffit d'accueillir, encore et toujours plus, des réfugiés. Une Europe de 125 millions de pauvres, en attendant que ce chiffre double, et où se précipitent ces réfugiés.
Même les associations s'étonnent qu'on trouve des torrents d'argents pour aider des migrants, pendant que les SDF, eux, s'entassent ou dorment dehors. Pourquoi ne l'avoir pas fait avant ? Raison Budgétaires, nous dit on, mais quand Mutti Angela ordonne, on trouve vite 500 millions, qu'on a chourré précédemment aux familles; pour faire le bien dans le monde. Il est sûr que bien des gens, dans ce pays, aimeraient être dans la situation des réfugiés.
Rien que pour repartir à zéro...
Mais, du côté des belles gueules, on n'est pas en peine pour vouloir donner les portes de l'Elysée à MLP.
D'abord Sarkozy, qui tape sur ses zélotes. Il faudra réduire les RTT des cadres, dit il.
Pour Macron, le statut de la fonction publique, n'est "plus adéquat". Il faut donc le supprimer en vitesse.
Les électorats donc, de l'UMPS, sont donc priés d'aller se faire voir, de préférence chez MLP, car nos grands stratèges sont en train de les chasser à grand coups de pierres.
On peut aussi citer A Juppé, l'homme de la retraite à 67 ans (et + 3 millions de chômeurs en plus).
Ces trois simplets sont donc l'illustration farpaite (merci Obélix) du mot d'Audiard, que je rappelle ici : les cons, ça ose tout...
On demande à la Russie de lever ses contre sanctions, sans avoir lever les sanctions. Les sanctions russes, ce sont deux millions d'emplois perdus en Europe, et zéro en Russie. La Russie pratique le substitut d'importation ou importe de pays amis.
Les agriculteurs UMP sont donc sacrifiés. Ceux dont j'ai des échos, sont dans un ponzi financier. Ils perdent de l'argent à la pelle, mais curieusement, on fait comme si tout allait bien, et on continue, reports de charges et reports d'échéances... Sans doute les maintient on en vie pour maintenir aussi l'illusion que sont devenus leurs dettes.
Bien entendu, la Russie, dont le gouvernement ne rêvait que de l'occasion de diminuer les importations les enverra se faire mettre, chez les grecs... La dite occasion était vraiment trop belle...
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