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Retour à 1940...

1 Juillet 2016 , Rédigé par Patrick REYMOND Publié dans #Economie

... et dans les pays Baltes. SI anti russes aujourd'hui. Depuis leur indépendance des années 1920, les pays baltes avaient vu leur pib et niveau de vie diminuer de moitié.

Estonie, Lettonie et Lituanie étaient réputés pour leur viande de porc, qu'ils exportaient vers la Grande Bretagne. Enfin, quelquefois.

Parce que certaines années, les britanniques adeptes de Bacon, n'achetaient rien du tout aux baltes. Ou pas grand chose. Ou a prix tellement ridicule...

Le système soviétique était le plus autarcique possible. Les pays Baltes n'avaient pas d'arrière pays pour qu'ils puissent se développer.

Ils vivaient indépendants, mais dans une économie endormie, dans un marché intérieur de 2 millions d'habitants chacun, et "bénéficiaient" des "bienfaits" du libre échange...

Ce même schéma se produit en Bretagne. La demande chinoise fait augmenter les prix, et les éleveurs de porc s'en félicitent.

Il serait urgent, pour eux, d'acheter un cerveau, fut il lent. (vous avez vu ce jeu de mot ? Non ?)

On devient esclave d'un acheteur unique. Bien sûr, il faut d'abord appâter. Prix intéressants, prêts de modernisations et achat d'un minimum de 25 % de la production.
C'est un classique chinois.

Après, le producteur sera lentement étranglé, déposera le bilan, et le prêteur récupère la capacité de production. L'ancien producteur de porc travaillera comme salarié...

Ce même schéma économique apparaît aussi dans la crise pétrolière actuelle, et la lisse, un temps.

Le dépôt de bilan d'une firme pétrolière, n'entraine en rien la fin de sa production. Elle est simplement transféré à un repreneur, et l'impasse est faite sur l'endettement, qui représente les frais initiaux d'investissements surtout, les frais d'exploitations, eux, étant ridicules en comparaison.
Le seul hic, dans le pétrole, c'est qu'il n'y a plus de frais initiaux d'investissements, et, qu'à terme, la production baissera.

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B
Une construction supranationale, ça finit toujours par la dislocation.<br /> <br /> Je veux citer quelques exemples de construction supranationale, rien qu’en Europe :<br /> <br /> 1. l’Empire romain <br /> 2. l’Empire carolingien <br /> 3. l’Empire Plantagenêt <br /> 4. le Saint-Empire Romain Germanique <br /> 5. le IIe Reich <br /> 6. le IIIe Reich <br /> 7. l’Empire napoléonien <br /> 8. l’Autriche-Hongrie <br /> 9. l’URSS <br /> 10. la Tchécoslovaquie <br /> 11. la Yougoslavie. <br /> <br /> À chaque fois, toutes ces constructions supranationales ont fini par se disloquer.<br /> <br /> De la même façon, l’Union européenne va finir par se disloquer.<br /> <br /> Comme d’hab.<br /> <br /> Toujours aussi pathétiques, les bisounours européistes paniquent, s'agitent, courent dans tous les sens, prennent l'avion, multiplient les réunions en Europe, accumulent les rencontres internationales, font des « réunions de la dernière chance » entre dirigeants européens afin, disent-ils, d'éviter « la dislocation de l'Europe ».<br /> <br /> Mais ça ne sert à rien.<br /> <br /> Les bisounours européistes n'ont toujours pas compris que l'Union européenne, DEPUIS SA NAISSANCE, était condamnée à se disloquer.<br /> <br /> Les bisounours européistes n'ont toujours pas compris que la machine infernale est lancée.<br /> <br /> Leurs efforts désespérés n'empêcheront pas l'Union européenne de se disloquer.<br /> <br /> François Hollande : « L’immobilisme serait la dislocation de l’Europe »<br /> <br /> http://actu.orange.fr/politique/francois-hollande-l-immobilisme-serait-la-dislocation-de-l-europe-lesechos-CNT000000qDFjc.html
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